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PARIS PEKIN AVEC MARCELINO EN UKRAINE (19-27 avril) 2008

Un peu d’aventure et beaucoup de blé dans ce nouveau pays

du 19 au 27 Avril 2008

La République d’Ukraine a bien accueilli le peloton du Paris-Pékin à vélo en proposant, outre de nombreuses réceptions, un logement au lieu d’un bivouac. Mais l’escorte policière fatigue le groupe.

01) Vous êtes nombreux à avoir pris Marcelino en sympathie dans sa grande aventure. Voici de ses nouvelles en Ukraine, en attendant la Russie.

Le passage de la frontière entre la Moldavie et l’Ukraine a donné une idée de la complexité de certaines administrations. Ce qui prend du temps pour un, se traduit par une sacrée perte de temps pour un peloton de 102 cyclos.

A mettre au rayon des désagréments.




02) L’escorte motorisée est soumise au même régime. Ce qui retarde d’autant l’intendance.

D’où les insinuations de ceux qui maugréent : « Quand est-ce qu’on mange ? » - « Qu’est-ce qu’on va manger ? » - « Quand est-ce qu’on dort ? » - « Où est-ce qu’on va dormir ? » …

L’aventure humaine, au quotidien !

02x) Marcelino, notre héros, a pris le parti de la grande aventure. Même pas le temps de manger, ni de dormir.

« Qui l’aime le suive ! »



02xx) Avec le renfort d’André, l’effet est immédiat : tout le peloton dans la roue des Belges … qui ont promis une frite à chacun.

La moule, Marcelino se la réserve.

03) Ici, il faut plaindre les chefs de groupe chargés de trouver la bonne direction et la bonne route. Pas facile, et même déjà un peu chinois, de déchiffrer l’écriture dite cyrillique.

Le cyrillique est un alphabet de 30 lettres créé au IXe siècle par des disciples du frère Cyrille, à partir du grec. Cette écriture est utilisée par les langues slaves et presque toutes les langues de l’ancienne URSS.



04) Faut pas chercher midi à quatorze heures : Odessa … c’est tout droit.

      Voir le pays en pédalant

05) Avant d’arriver dans cette grande ville portuaire et industrielle de plus d’un million d’habitants, les pédaleurs doivent profiter de la campagne.

Une plaine céréalière qui serait le grenier à blé de l’Europe…



06) Traversée par une route monotone bordée de villages tous semblables avec leur alignement de maisons presque identiques.

07) Les kilomètres sont d’autant plus longs que le vent est contraire. Comme hier, et comme demain !



08) Ce qui ne signifie pas que tout soit triste. Le bleu de cette maison joyeuse, par exemple.

09) Les couleurs généreuses de cette église orthodoxe, non plus.



10) Pas plus que la vie économique, ici très ralentie. De purs produits du terroir.

      Vie de bohème bien encadrée

11) Le peloton mène donc sa vie de bohème très organisée.



12) Avec le bénéfice d’une escorte qui prépare des prises de vue pour une télévision locale.

13) Voilà une escorte qui n’a pas fini de faire parler d’elle. La police impose de rester en un seul groupe et décide de l’itinéraire.

Cela pourraît faire sortir Marcelino de ses gonds, lui l’adepte du « Vélo Liberté », cher à son club et adopté par sa Fédération.



14) Bon moment, évidemment, quand on pique-nique sur le bord de la route. C’est l’heure du ravitaillement si apprécié dans les brevets cyclos. Et encore plus dans les grands rendez-vous.

Pour Marcelino, c’est la Grinta ! … tous les jours !!

15) D’ailleurs, même son vélo (qui a trouvé la solution du problème des câblages !) participe à l’épopée.



16) Pour bien voyager mieux vaut être curieux de tout. Ainsi ces radis, présentés par ce fermier local, seraient, selon notre héros qui n’y connaît rien en agriculture, les plus gros du monde.

Il faudrait que Marcelino file bien vite au Japon pour voir et déguster les « daïkons », les radis de là-bas.


17) Moment de méditation sur la petitesse de la planète humaine.

Et si Peter Dressen, qui vit en Suisse, n’était pas Belge … comme tout le monde … censé ?


      Retour à la réalité du terrain


18) A cet endroit, par temps clair ou par photo réussie ( ?), on devrait apercevoir la Mer Noire.

Côté jardin.

19) Côté cour, comme au théâtre, voilà la route qui conduisait les vélos à Odessa. Moment de panique.



20) Le nordiste, parole de chti, Lionel Barbotin se montre soudain très empressé de gagner l’hôtel du jour qui donnera lieu à une journée de repos à Odessa.

21) Il n’avait pas tort le Lionel. Une belle et bonne table l’attendait.

C’est l’aventure.



22) James, le chef du groupe des « Rouges » (donc de Marcelino!) avait lui aussi décidé de profiter de la journée de repos.

23) Quant au repos de Marcelino … passons !

Cela ne nous regarde pas !



24) D’ailleurs dans ses songes, il ne rêve que de matriochka sous le cerisier en fleurs !

25) La réalité c’est qu’il faut quitter Odessa sans pouvoir éviter ces immeubles comme décor.



26) Direction, toujours dans la belle Ukraine, Nikolaiev.

27) « Comme dans la Grinta ! », diront certains, l’état de la route laisse parfois à désirer.

Les optimistes remarqueront que cette fois les plaques d’égout sont à leur place.


      Nouveau bivouac


28) Le bivouac en pleine nature n’aura pas lieu, car le peloton de Paris Pékin est invité à loger dans une salle de sport.

29) André Vaneeckhout est parmi les premiers à donner le coup de main pour sortir le matos des camions.



30) D’autres, aussi volontaires, s’empressent pour le montage des lits de camps.

31) L’ancien cuisinier, à la retraite, donne le coup de main pour mélanger la tambouille.



32) Au grand bonheur de l’assemblée attablée. Comme à la cantine.


33) pendant ce temps là, Henri Dusseau prépare le compte-rendu quotidien diffusé ensuite sur le site de la FFCT.



34) A l’heure du dessert, les barbus, en Belgique on dirait les Léopold ( !), animent la soirée.

Barbu et avec des lunettes, il sous sera facile de reconnäître Jean Pierre Eouxel, et puis ... et ...

35) Barbu lui-même, mais de seconde main, Marcelino a mieux à faire.

Il dédicace le calendrier où son portrait remplace celui des pin up.

C'était un soir, à Berdansk, entre Melitopol et Mariupol, en Ukraine.



36) Et puis il se rend utile pour la bonne marche du monde. Le voilà, aux côtés de jeunes Ukrainiens, préparant avec eux une lettre, écrite en anglais, qui sera envoyé aux correspondants d’une école de Liévin (62). S

Si la paix survient dans le monde, on saura grâce à qui !



C’est beau l’aventure. Pour la suite en Russie … CLIQUEZ ICI

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