72) Pied à terre pour accéder au premier point de ravitaillement de la Grinta !, au cœur de Frasnes lez Anvaing.

73) Pour certains, la première urgence est le poste de dépannage technique.

Les deux voitures Mavic sur le parcours ne pouvaient pas tout voir.

74) A Frasnes c’est le vélociste de Wiers (toutes marques, dont les Pinarello, les Museeuw, …) Aloïs Liebens qui officie.

75) Ce fut de la mécanique non stop : surtout des problèmes de dérailleurs, de freins ou de roues.

Ici c’est un pédalier qui était mal serré.

Pas de problème pour Aloïs Lievens.

76) Régional de l’étape et véritable « public relation », Edmond Delaunoy, alias Momont, applique les préceptes de Vélocio : « Il faut manger (des Chiquita !) avant d’avoir faim ».

77) On avait prévu pour 3000 participants puisque tout le monde passait à Frasnes.

Il y eut quelques 2700 passages très étalés, donc sans bousculades ni bouchons.

78) De son côté, Sylvie applique un autre principe du même apôtre du cyclotourisme français : « Il faut boire (de l’Isostar !) avant d’avoir soif ».

79) On reviendra bientôt pour un deuxième ravitaillement à Frasnes.

L’occasion de retrouver des cyclos de la région de Maubeuge.

80) Mais aussi de remarquer les beaux maillots « De Reisduif » symboliques du WTC Oostnieukerke.

81) On ne pouvait pas manquer non plus le Plein Cadre d’Hérinnes, sur leurs terres d’entraînement.

82) Ici de deux choses l’une :

ou vous regardez la fine équipe du VC Fleurus …

ou vous enviez la belle monture Eddy Merckx, roue Campagnolo Bora Ultra !

83) La sortie du parking se fait par l’arrière des installations.

Donc sans anicroche.

84) Très peu connue, parallèle à la route Frasnes-Ath et à l’autoroute A8, la côte du Saule Pendu est surprenante : pas difficile mais longue et pavée.

85) Les femmes d’abord ? Pour 1140m de montée dont 1000 pavés.

86) La desserte du hameau conduit vers un sommet de pleine nature.

87) Bien échelonné, le peloton des cyclos ayant opté pour le 105 et le 150 km ne cesse de défiler.

88) Avec, au premier plan, l’un des cyclos d’Annay sous Lens qui ne regrette pas le déplacement.

89) Soulagement avec le final, sur tarmac, qui s’enfonce en sous bois.

Puis direction le Mont de Mainvault.

90) Plus d’un cyclo aura eu l’impression d’être bel et bien dans la « m… » en grimpant Bousée.

Dans certains groupes il y a ceux qui arrivent avant puis qui attendent les autres.

91) Il y a aussi celui qui n’est ni premier ni dernier.

92) Puis ceux qu’on ne va pas laisser tomber … dans leur malheur.

93) Une côte difficile qui conduit près de l’ancien musée du Tour de France, sur la route Frasnes-La Hamaide.

94) Avec des passages aussi raides que pittoresques.

95) Le Fleurusien Christian Colinvaux, debout sur les pédales.

96) Derrière lui c’est l’effort total dans une nature printanière.

97) Il y a ceux qui courbent l’échine.

98) Et ceux que rien n’effraie : bientôt le sommet.

99a) Les circonstances s’aggravent quand les cyclos doivent pousser la remorque qui peine à sortir de l’ornière!

99b) Sous la bonne garde de l’Audax Claude Cange, les pédaleurs tournent bientôt à gauche pour une magnifique plongée.

99c) La photo montre le souci des signaleurs.

Comme ils sont « protégés », les cyclistes prennent leur virage très (trop !) à gauche.

99d) Avec l’impression qu’ils pourraient « rencontrer » l’automobiliste (trop) pressé !

99e) La descente n’a pas duré longtemps.

Les regards se braquent sur le nouvel obstacle.

99f) La plus dure côte des Monts de Frasnes :

le Hameau des Papins, 1100m à 7,5% et un maximum à 16%.

99g) L’exemple de « l’atroce beauté », comme disait le poète … qui n’avait jamais roulé à vélo.