01) La côte des Papins, l’Encyclopédie Cotacol en atteste, est la plus difficile dans ce qu’on appelle aujourd’hui la Walonnie Picarde.

Et donc du parcours de la Grinta ! Tournay … même si, comme le démontre le Péruwelzien de passage, tout est relatif.

02) Quoiqu’il en soit la pente est rude : 1100m à 7,5% et un maximum de 16%.

03) D’où l’élégance de Véronique et Tania (les Tournaisiens connaissent !)qui vont franchir l’obstacle tout en papotant !

( ?)

04) Le peloton de la Grinta ! Tournay sait qu’il devra recourir à un « plus petit » … que souvent il n’a pas !

05) L’impression de rouler à travers champs ?

06) Et de braver une pente impressionnante ?

07) Pitié ! Une pareille montée conduit directement au ciel !

08) Retour à l’équilibre et ne pas faire appel à la Mutuelle.

09) le sommet des Papins, c’est bientôt … mais encore plus haut.

10) Les Audax Tournai ont prévu que chaque poste soit « Bilingue » (Français et Néerlandais).

A Flobecq l’accueil est trilingue car Antoine parle Ch’ti : « Cha va Biloute ? ».

11) Gilbert fait connaissance :

« Vos papiers svp ! Et ch’est queoi c’maillot fruité ? »

12) Les préposés au contrôle ont le tact de saluer avec empressement… le Champion du Monde … des journalistes.

Frédérik Backelandt (26 ans), de Zottegem, est le nouveau rédacteur en chef (hoofdredacteur van Grinta !) de la revue Grinta !

13) Pour les pédaleurs l’essentiel est de savoir ce qu’il y a au fond des bacs.

« A manger ! » disait Firmin dans la langue de Vondel.

14) « A boire, dans les gobelets Isostar » précisait Lydia, dans la langue de Voltaire.

15) « Nous on est, « from Armentières », bien rassasiés » certifiaient les concitoyens de Line Renaud !

16) Le parcours de la Grinta ! Tournay est franchement rural :

pas un seul feu tricolore.

17) Mais certains carrefours sont protégés … pour le confort des cyclos et des automobilistes.

Ainsi à Flobecq/Vloesberg avec Alain et Brigitte Dutilleul.

18) Plus loin, c’est le Moulin du Cat Sauvage avec la route des cyclos coupant la chaussée Ellezelles-Renaix.

19) Là c’est une protection « sportive » assurée par les Audax Yves et Christian, cinq heures durant.

20) Tout cela pour arriver fatigués et préoccupés au sommet du Beau Site, côté pavé.

21) Dur-dur pour le commun des cyclos.

Qu’il soit porteur du maillot rouge incognito ou de la Tour de Saint Amand les Eaux.

22) Deux de front c’est plus facile ?

Ceux-là portent le maillot jaune Cycles D’Hondt de Nazareth.

23) La côte du Beau Site, versant sud en provenance de Saint Sauveur, est aussi dure que le Koppenberg (qu’il nous pardonne !).


Mais la voie est large et « oubliée » des grandes courses, sauf le Franco-Belge.

24) Depuis longtemps le président des Cyclos de Richebourg (59), Joël Pruvost, ne se fait plus d’illusions sur la « platitude » de la Belgique.

25) Juste à l’issue du pavé, le dégagement sur Renaix/Ronse est superbe.

26) La descente des Monts n’en est que plus belle.

27) Que la grande Kriek le croque, l’Audax signaleur Arthur n’a rien vu venir … en matière de ravitaillement.

De quoi passer du Mauve de cœur au Rouge de corps.

28) 13e côte du 150 (et 7e du 105 km) la Croisette fait figure d’aimable plaisanterie ?

Sauf qu’elle est loin d’être la plus courte ! 1750m !!

29) Plus c’est long, plus c’est bon ?

Sauf si c’est interminable !

30) La jeunesse cyclosportive s’en donne à cœur joie.

31) Le programme se veut rassurant : l

e prochain « col », à savoir la Croix Jubaru, est à … 34,5 km.

32) Il y a lieu de s’offrir du bon temps lors du 2e passage au contrôle-ravitaillement de Frasnes.

33) Moment de détente en attendant les commentaires généraux.

34) Pour boire, les gobelets sont remplis à ras bord.

35) Pour manger, il y a l’embarras du choix.