72) Décor particulier de la Galibotte qui va de terril en terril. Ceux-ci sont en fait tronqués car l’objet de récupération de matériau.

Ainsi l’exploitation de schiste sur le retour entre Courrières et Harnes.

73) Ce n’est pas le moment de se perdre, surtout si demain c’est boulot à la Française de Mécanique.

D’ailleurs la flèche est là pour indiquer le chemin aux bikers de Douvrin.

74) Regroupement pour aborder le final encore plein de variété, même s’il n’y aura plus de longues montées.

75) L’impression que la platitude nordiste atteint son sommet.

Le terril, en arrière plan n’est plus qu’un élément du décor.

76) A la faveur d’un virage brutal, voilà de nouveau un sous bois aménagé pour la balade dans un espace requalifié.

77) Les couleurs d’automne sont encore bien présentes à la mi-novembre de cette année.

78) Posé sur le sentier, le schiste de récupération est sorti rouge à la suite de l’auto-combustion du terril.

C’est Palot, à l'attaque !

79) La soudaine montée donne un nouveau coup de cœur.

Et l’occasion de voir les choses de haut.

80) Car, sous des airs de bikers amateurs, il est agréable de se prendre pour des touristes en visite de château … d’eau.

81) Voyez le décor servi sur un plateau.

D’un côté la pointe d’un terril, de l’autre la tour de l’église d’Harnes.

82) Les Flandriens s’en donnent à cœur joie sur un parcours généralement bien roulant.

83) L’occasion de se détendre tout en profitant du décor, fut-il sur des vestiges d’une fameuse activité industrielle.

84) Le moment de se muscler la langue. Une activité propre aux Diables qui sont contents d’être à la fête.

85) Déroute pour les Bad Boys d’Houdain : quatre crevaisons pour le groupe, quasi au même endroit.

Il en faudrait beaucoup plus pour les décourager.

86) Une montée en force sur le dévers du talus, par exemple.

87) Le problème se pose quand il n’y a pas la place pour deux mais que trois bikers passent en même temps.

88) « Cessons les broutilles », comme disait celui qui en rajoutait une couche. Le programme qui suit va nous mettre d’accord.

Le premier qui rira sera quoi donc ? Me serais-je trahi?

89) Descendre, à fond de balles, ne fut rien. Tout l’art était de ne pas encombrer la trace des remontants.

90) Biker 2000, le Nivellois est de ceux qui ont mordu sur leur chique pour remonter la pente jusqu’au plateau.

91) Parmi les héros de chez les Galibots, le président de Beuvry qui va se retrouver dans l’Echo du Vélo.

92) Dernière sensation forte. Descendre de son terril. En pensant à ceux qui descendaient chaque matin tout au fond.

Pour des clopinettes et jamais certains de remonter.

93) A cet endroit personne ne sait plus où il roule.

Fallait-il vraiment franchir un pont de bois pour monter les marches de l’escalier ?

A quand le vtt comme ascenseur dans l’échelle sociale ?

94) Grâce à quoi les bikers pourraient côtoyer, dans le domaine des footeux, une équipe de Lens.

Sur une pelouse, "no limit", déroulée comme un tapis vert.

95) Vous avez dit « Allez Lens » ? Voilà justement la Chti connection de Lille qui débarque.

Un derby.

96) Sans savoir comment, mais en suivant les flèches, voilà la dernière haie.

Retour à Noyelles sous Lens.

97) Les Bikers de Mont Cassel sont déjà à l’arrivée.

98) Le président Manu remet déjà les trophées aux clubs, ici les « Rouleux de Wailly », chez les Chtis!

Avec des souvenirs originaux car attachés à la mémoire des (vrais) Galibots.

99) Scandale couvert par Jacques et Eric ! Prise d’otage du sourire de Mont Cassel entouré de vieux barbons.

Enfin c’est ce que les autres prétendent. Jaloux !

On voulait seulement mordre son sandwich, boire sa bière et avaler sa soupe!!!.

100) Le moment de la photo officielle, devant la salle de gymnastique Auguste Gallet à Noyelles sous Lens.

Par les représentants de la presse et de la communication.

101) Que d’huiles !

Un Pop bordelais immigré, Eric, Manu et Eddy (qui a passé sa matinée à dépanner), les leaders de chez Galibots et la délégation municipale.

Monsieur le maire de Noyelles sous Lens au milieu.