Ce reportage a pour simple ambition de montrer comment se prépare un morceau d’émission télévisée. Notre télévision régionale avait annoncé le départ de Marcelino. Huit mois plus tard elle annonce, dans un sujet de 5 mn, son retour et sa réussite.

En attendant l’arrivée du cameraman, Moustache, le président des Audax Tournai s’entraine à remettre la plaquette souvenir du périple de Marcelino.

02) La plaquette officielle est superbe puisque, au nom de Marcel Lefebvre, elle rappelle la route des 105 héros et héroïnes qui ont pédalé ensemble, avec assistance, sur 12000 km dans 12 pays durant 120 jours.

03) Le cameraman No Télé s’est installé dans le coffre pour faire des images « réalistes ».

Comme au Kazakhstan, sauf que nos pistes ne sont pas (encore) aussi défoncées.

04) N’empêche que la campagne tournaisienne a quelque chose d’exotique.

Les initiés reconnaîtront le lieu dit Chasse à Prévost, sur la commune de Rumillies.

05) Voilà le travail préparatoire de No Télé.

Après la rencontre, d’abord les images.

06) MarcelinEAU roule dans la tenue officielle et sur le vélo de ses exploits qui est, lui aussi, revenu de Chine.

07) Derrière lui c’est le Mont Saint Aubert, flanqué du col de la Croix Jubaru (99m).

Cela va permettre à Gaël Lebrun de No Télé d’alterner sur son commentaire des images de Marcelino en « live ».

08) Et des images filmées au cours de Paris-Pékin par la FFCT

09) Encore des images, mais du vélo cette fois.

Il est en effet question de parler du vélo de Paris Pékin, construit spécialement par la firme française Cyfac, selon les mesures de chaque participant.

10) Puis vient le moment de l’interview avant le montage destiné à alimenter la rubrique hebdomadaire « Sportrait » du jeudi.

11) Marcelino explique qu’il n’a pas été pris au dépourvu par l’aspect physique de l’aventure :

« J’ai l’habitude des longues distances, de la montagne, des conditions météo très diverses et même du cyclo camping. »

12) L’aventure humaine ne l’a pas trop désorienté mais « ce fut quelque chose » que de vivre en groupe et de pédaler en commun durant ce long périple de 4 mois et demi.

13) Et les anecdotes fusent, mais ne seront pas toutes reprises à l’antenne.

14) L’émission Sportrait c’est grand public.

Alors rien, évidemment, sur les Nuits de Chine, nuits …

15) C’est l’envolée pour évoquer les beaux, bons et hauts moments de la traversée du Kirghizistan.

Avec des cols à plus de 3300 m, dans une nature époustouflante et une population accueillante.

16) Après la pluie, la neige, le vent contraire, les pistes défoncées, parfois trop sèches et parfois trop boueuses, le vélo du N° 55, groupe des rouges, en a vu de toutes les couleurs.

Il est encore marqué par la poussière de la Muraille de Chine.

17) Reprise du vélo et des images avant de rentrer sur le parking de No Télé qui est aussi celui de Tournai-Expo et du stade Luc Varennes, à Tournai.

18) Marcelino termine donc là son périple. Là où il l’avait commencé, il y a six bons mois.

Déjà dans Sportrait : le 21/02/08

19) Après la répétition, vue plus haut, voilà donc la remise officielle de la plaquette Paris-Pékin.

20) La satisfaction est aussi grande que la fierté.

Ultime confidence : en janvier 2009, Marcelino repart vers d’autres aventures, en Asie.

En petit groupe cette fois et sous la conduite de Marcel Hendrickx.