Ce samedi 7 juin, il allait faire sec et doux mais sur sous un ciel gris et sur des routes humides. La pluie de la veille a découragé la moitié des participants prévus : près de 1700 au lieu des 2250 de l’an passé.


Le parcours tournicote, à partir de Renaix/Ronse, entre le Mont de l’Enclus et Brakel, avec deux crochets aux alentours de Oudenaarde. Très beau parcours de Géants allant chercher tout ce qui grimpe.

01) Il faisait un peu tristounet dans les installations de Golazo, sur la Grand Place de Renaix avant 8h.

On espérait un meilleur soleil.

02) Si la moitié des participants s’étaient inscrits à l’avance, l’autre moitié s’appliquait aux formalités.

03) Parmi les inscrits du jour, l’organisateur de la Davitamon de Nazareth, Bert qui porte un cuissard … à son prénom : « Drukkerij Bert » (Imprimerie).

04) Les tables d’inscription sont organisées pour éviter toute attente.

La mine triste des demoiselles ce n'est pas le coeur mais le manque d’ouvrage.

05) La France est représentée par ce qui se fait de mieux.

A côté de ses parents, Philippe et Sylvie, Elyse Delzenne, championne de France en titre des dames Juniors, tant sur route que sur piste.

06) En cyclosportive, ici, la voilà installant sa plaque de cadre.

07) Rassemblement, au village Lotto Cycling Tour, d’un groupe de Noord Holland venu explorer les Ardennes Flamandes et donc les côtes du Ronde.

08) Des côtes qui sont proposées dans le désordre. Mais peu importe pour les cyclos de Koekelaere.

09) Cela redonne le sourire aux demoiselles qui maintenant ont de l’ouvrage.

Et le cœur y est.

10) A Renaix, impossible d’échapper au « Fiertel », même si ce n’est pas le jour de la grande procession (32,6 km) en l’honneur de Saint-Hermès.

La première pente s’annonce courte mais rude.

11) On était prévenu : 500m à 11,4%. Fameuse mise en route.

12) En prenant de la hauteur les uns deviennent tout vert.

13) D’autres passent au bleu, quand ils ne sont déjà pas noir … carbone !

14) Cela ne dure pas. Le virage annonce la première plongée.

15) Les côtes se succèdent à un rythme incroyable. On va donc se contenter d’en présenter ici que quelques unes, sur la première partie, commune aux deux parcours.

Schapenberg est d’une belle longueur, en deux paliers.

16) Voir, en partie caché à droite, le panneau amovible qui indique le sens unique.

Un avantage obtenu par l’organisation pour la protection des cyclos sur des routes très étroites.

17) A la sortie de Renaix, le chemin conduit vers des résidences construites à flanc de collines.

18) L’occasion de préciser, et d’expliquer la qualité des photos, qu’il fait sec mais que le ciel va rester franchement gris.

19) Après le Kraaiberg, l’Horlitin et le Kluisberg sans photos, nous voici, sur les pavés, aux abords du village de Vieux-Quaremont (Oude Kwaremont).

20) L’affluence y est moindre qu’au jour du Ronde.

Alors on « profite » pleinement ( ?) du pavé.

21) Voilà une cyclote, sans doute hollandaise (sacoches Agu Sport), qui affiche fièrement son palmarès :

elle porte un maillot « Alpe d’Huez ».

22) Derrière elle, on s’accroche. Avec une extrême concentration.

23) Le fléchage des étapes du Lotto Cycling Tour est irréprochable.

Avec, en plus, l’indication de la souffrance suivante. Ici le Paterberg, à 2 km.

Dommage cette traduction du mot « helling » par « col » au lieu de … « côte ».

24) Au pied du Paterberg, toujours en alerte compagnie.

Mais c’est déjà l’heure des adieux. Dommage en cette veille de la fête des Pères !

25) La pente du Paterberg est comme aggravée par l’humidité du pavé.

26) Le paysage est ravissant. Mais qui, sauf vous, peut en profiter ?

27) Ce n’est pas une pluie. Juste un bruine tenace.

28) Et des grimaces, en veux-tu ? En voilà !

29) Et puis, à cause d’une roue arrière qui patine sur le pavé, c’est la chute.

Sans gravité.

30) L’éternel problème des chaussures qu’il faut tenir en main, au risque de salir les chaussettes.

31) Dès que la pente s’adoucit, les machines sont relancées.

32) Le signaleur, du club de Brakel, est là comme pour encourager.

Il n’y a pas de danger d’arriver trop vite au sommet !