Le signaleur, de Brakel, est l’un des nombreux signaleurs qui assurent la sécurité et donnent la preuve d’une bonne qualité d’organisation.

D’ailleurs les participants sont sensibles à leur dévouement. Nombreux remerciements.

33) Au sommet du Paterberg les invitations à suivre la bonne route sont multiples. Les panneaux hexagonaux bleus sont plus faciles à suivre à vélo qu’en voiture.

Par ailleurs c’est Eddy Merckx d’un côté et Ronde de l’autre. Sans oublier la flèche « Cyclo » du jour.

34) Sur les hauteurs, les pédaleurs virevoltent à qui mieux mieux.

35) Cela ne dispense pas de partager la voie étroite avec les engins agricoles.

36) Intrigante attitude de ce cyclo, porteur de plaque, qui a fait demi-tour au sommet?

37) C’était pour mieux revenir. Et pas seul, cette fois !

38) Le virage, après le sommet du Waaienberg, annonce une nouvelle plongée.

39) Deux kilomètres plus loin c’est en effet l’illustre Koppenberg qui s’annonce.

Là encore avec une belle redondance d’informations.

40) Les cyclos suivent les flèches et ne vont donc pas tergiverser.

41) Les cyclos de Koekelaere ne se posent pas de questions.

A droite toute pour la direction…

42) Mais à gauche toute, question braquet.

La première ligne droite, en début de pente raide, est déjà impressionnante.

43) Chacun devine, ou sait par expérience, que la montée sera très difficile.

Surtout sur pavés mouillés.

44) Le paysage, malgré la grisaille, a quelque chose de bucolique.

45) Mais il arrive qu’on éprouve le besoin de souffler : « On n’est pas des bœufs », disait l’autre.

46) Cent mètres plus loin, après le pourcentage le plus infâme sous les frondaisons, c’est enfin l’impression de sortir du trou.

Du néant !

47) A l’étage supérieur, le problème reste un peu le même malgré une pente plus douce.

48) Sylvie s’emploie alors à refaire une partie de son retard.

49) Tel un Géant de sa bonne ville, l’Aiglon d’Ath reprend son vol sans avoir jamais douté.

Ni faibli.

50) Ce qui n’est pas le lot commun.

Encore une chute à cause d’une roue qui se dérobe alors que le sommet était en vue.

51) Le moment de serrer les dents car il s’agit ici d’un vrai duel fratricide.

L’envie de devancer l’autre. Réflexe aussi vieux que le vélo.

52) Tous deux sur la même ligne et le village de Melden, tout au fond, derrière eux.

53) Cyclo équipé Pinarello, maillot et vélo ultra-léger. Remarquer le souci du détail : la plaque de cadre a été découpée.

Moins de poids et meilleur aéro-dynamisme.

54) Avec la robustesse légendaire d’une voiture et l’élégance d’un camion Volvo !

55) Le sommet du Koppenberg est atteint, mais avec des fortunes diverses.

56) Ici le problème est celui du rail plastic sous le pédaleur chargé de guider les câbles.

Une vis perdue.

57) Par chance le ravitaillement n’est pas loin. Contrôle des plaques de cadre et de la carte de route.

58) Comme de juste, le ravitaillement est bienvenu. D’abord en boisson énergétique.

59) Et le service bien organisé. Il en ira de même pour les deux autres ravitaillements sur la boucle du 140 km.

60) Occasion toute trouvée de se restaurer. Et de se regrouper, avant de repartir.

61) La camionnette de dépannage Dhondt est très sollicitée.

62) Le vélociste de Nazareth n’est pas du genre à s’énerver.

Il suffit d’attendre son tour.

63) Les dernières photos de côte du jour seront pour le Kortekeer ramènant à la chaussée Oudenaarde-Ronse.

64) Juste le temps de déraper avec un flou que le visiteur voudra bien juger « artistique ».

Merci, Dank U.

65) Retour à Ronse, une cité flamande où les Francophones bénéficient de facilités linguistiques pour dire Renaix.

66) La surprise pour les inscrits à l’avance : un bon de cinq euros échangeable contre des billets du Lotto.

Imaginez que j’aie, moi, gagné le gros lot !