Le soleil est revenu, bon et doux, en s’approchant de l’Asie où les P.P. vont rapporter la grippe.Marcelino peut parader.

A Gyor et Budapest il retrouve les premières villes de son EuroDiagonale (Budapest-Strasbourg) de l’an passé. Mais au-delà de Budapest ce sera désormais l’inconnu pour lui.

02) Tout le monde est heureux d’aborder la Hongrie. L’émotion de franchir la frontière de ces anciens « Pays de l’Est ».

Megyèben! Soit Bienvenue, en Magyar.

03) Etape à Gyor, troisième ville du pays. Si le Danube est toujours présent, les rives en sont moins touristiques et belle la ville.

04) L’accueil y est chaleureux et très médiatique. Télévision locale.

05) Réception en présence des autorités. Responsable du protocole, Henri Dusseau est désormais très routiné.

06) Etape au Raba Hôtel qui accueille toute la troupe.

07) La photo serait sans intérêt … Sauf que Marcelino a un coup de blues… Des bières ! Mais n’importe quelles bières : Hoegarden, Belle Vue, Duvel.

Il comprend que la Belgique existe encore.

08) Reprise de la route par les envahisseurs modernes, au pays de Jozef Attila le roi des Huns (434-453).

09) Les modes de vie, et les moyens de locomotion, commencent à interpeller les occidentaux.

10) Les boutiques ont un charme qu’on qualifiera de suranné.

11) Et la campagne porte la trace des expéditions cavalières d’Attila.

Ne disait-on pas que « l’herbe ne repousse plus là où son cheval pose son sabot » ?

12) Entrée dans la capitale hongroise, Budapest.

13) Franchissement du pont sur le Danube qui relie les deux villes riveraines : Pest et Buda.

14) Lors de la journée de repos, la télévision hongroise a invité les PP a passer par ses studios.

15) De bonne volonté, notre compatriote André Vaneeckout veut bien se dire enchanté du voyage. Mais il peine à comprendre la question en langue Magyare.

Voir ici la video de www.hircity.hu (rubrique Sport)


http://http://www.hircity.hu/cgi-bin/hircity/index.cgi?view=ck&tID=619&nID=17272&nyelv=hu

16) Trois journées en Hongrie (2-3-4 avril) ont créé des liens. Mais Henri indique qu'il faut se quitter.

17) La sortie de Budapest sera d’autant plus facile que la police propose son escorte.

18) C’est le moment de s’accrocher dans le peloton car l’escorte n’hésite pas à conduire les vélos sur l’autoroute.

19) A cette allure les PP ne tardent pas à atteindre la frontière Serbe.

Cette fois la frontière est plus marquée. On sort de la Communauté Européenne.

20) La Serbie ne tient pas trop rigueur aux Français d’avoir, si vite, reconnu l’indépendance du Kosovo.

Le peloton a droit à son escorte motorisée.

21) Désormais chacun est prié de conserver sur soi son passeport.

22) D’un point de vue cyclo c’est comme avant, mais par beau temps. Avec les aléas de la route.

23) Puis le défilé des villages qu’on n’a pas le temps de visiter.

24) En revanche s’attendre et attendre continue de rallonger les journées.

Ici attente, patiente, pour la remise des clefs des chambres d’hôtel.

25) Vous êtes nombreux à demander des détails croustillants sur la vie privée de Marcelino. Voyez comment il occupe l’espace …

Et voyez le bon ordre de son compagnon de chambre : ce soir là c’était Nathalie !

26) L’aventure de Paris-Pékin bénéficiant de la magie médiatique, les cyclistes locaux se mobilisent pour conduire les héros.

27) Et voilà, pour Marcelino …, la première touche !

« Elle » caresse … sa selle de vélo.

28) La population Serbe se réjouit de voir passer les aventuriers.

La jeunesse s'en souviendra longtemps..

29) Et les cœurs se nouent. « Revenez nous voir ! »

30) Après Novi Sad qui a laissé un bon souvenir aux participants, c’est l’entrée dans Belgrade, la capitale de ce pays d’Europe Centrale. Déjà dans les Balkans.

31) Les cyclistes de l’escorte ont bien rempli leur mission. Dernières salutations.

32) Oh ce regard … Si, un jour, Marcelino retourne en Serbie, on saura pourquoi.