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02 ALLEMAGNE AUTRICHE PARIS PEKIN MARCELINO Neige et Danube

Mise à l’épreuve du temps sur les 2000 premiers kilomètres

Fin mars 2008

Le peloton des 103 Paris-Pékin a connu, fin mars, une météo défavorable avec chutes de neige. Les groupes ont appris à s’organiser pour progresser en bonne solidarité.

45) Rappelons que Marcelino, mais aussi ses copains et ses copines, est parti du pied de la Tour Eiffel.

Celle de Paris et celle d’ailleurs.



46) Il ne s’est pas attardé dans l’est de la France. Même pas à Belfort. Forteresse imprenable.

47) Franchir le Rhin fut pour lui le franchissement du Rubicon : « Alea jacta est », a-t-il dit, tel Jules César qui rentrait à Rome, en pénétrant en Allemagne.



48) Le premier des douze pays étrangers du périple. C’était bien parti.

49) Du moins le croyait-on. Voici la photo qui défraya la chronique : Marcelino risquait de disparaître sous les congères.

Alors que la France envisageait un rapatriement : Marcelino a dit « Qui m’aime me suive ! ». Tout le monde a suivi.



50) Avec courage, donc, le peloton entreprit de franchir la Forêt Noire, cette montagne qui en Allemagne est le pendant des Vosges françaises.

51) Le tout était de bien se couvrir et de ne pas se perdre de vue.



52) Le manteau blanc … Les âmes poétiques s’en sont données à cœur joie.

53) La progression suit son cours car demain sera une autre neige.



54) Joli effet et bon réflexe de photographe. Le cerveau de notre pédaleur n’est pas gelé.

55) Pose aux sources du Danube, à Donaueschingen. A 678 m d’altitude et à 2840 km de la Mer Noire.



56) « Donau » en Allemand. Ce fleuve sera désormais le fil conducteur jusqu’en Roumanie.

Après Bucarest il faudra suivre son affluent qui s’appelle le Prout, mais ce sera une autre histoire.

57) En attendant, certains ont déjà mal au ventre. Demain ils auront mal à la gorge.



58) En groupe on peut se remonter le moral. Le chef a dit : « Tout va bien ! Alors on y va ! »

      Encore un peu de neige

59) Marcelino a une idée de génie : « Il faudrait que les chasse-neige remplissent leur mission ! »



60) Le plus gros de la neige est donc rabattu sur les côtés.

61) Et les Paris-Pékinois reprennent leur progression.



62) On finit par y croire car l’état de la route s’améliore.

63) Coup de chance très germanique, les pistes cyclables sont même dégagées.



64) Que se passe-t-il soudain ? Pourquoi cette concentration de vélos abandonnés ?

65) La solidarité du groupe joue. Il suffit que l’un crève pour les 19 autres se chargent de réparer.



66) C’est tellement beau à voir que le ciel décide d’une ultime tempête de neige. En attendant que le soleil revienne et que les températures remontent.

67) En Bavière, l’idée de tourisme reprend ses droits. Un coup d’œil et une oreille attentive pour découvrir les charmes d’une ville comme Sigmaringen, fief des Hohenzollern.


      Scènes de la vie quotidienne


68) Marcelino reste, pour l’instant, très discret sur sa vie privée.

Voici pourtant une image qui illustre les joies des soirées d’étape. Auberge de jeunesse à Ingostald.

69) Et puis ravitaillement en cours de route. L’organisation ne déçoit pas.



70) Surveillez bien le n° 55. C’est le vélo de Marcelino. En pleine forme au sortir de la neige.

71) Scène de la vie du bon cycliste : maintenant que les routes sont sèches, il faut nettoyer et huile la machine.



72) Et scène de la vie de bohème : deux vélos sur le bord de la route.

Cela fait penser mon P.C. à quoi ?

73) Les vélos sont toujours bleus et les maillots rouges. On approche de l’Autriche.



74) Le Danube suit son cours et les cyclos aussi. Avec parfois ces bons moments : le bac pour passer d’une rive à l’autre.

      L’Autriche, entre l’Allemagne et la Hongrie

75) L’Autriche, en voilà justement la frontière.

Frontière franchie le samedi 29 mars.

le soleil d'Austerlitz annonce son retour.



76) Emprunter la piste qui suit le Danube c’est merveilleux.

On l’a fait avec Marcelino l’an passé au cours de l’EuroDiagonale Budapest-Strasbourg.

Mais en groupe organisé ce n’est pas aussi pratique.

77) Le long du fleuve, quand c’est possible, les paysages sont de toute beauté.



78) Pour aborder les villes d’accueil, il suffit parfois de changer encore de rive.

79) Il y a des étapes émouvantes : Mauthausen c’est le souvenir de l’un des plus sinistres camps d’extermination tenus par les Nazis.



80) Le cortège Paris-Pékin à vélo ne passe pas inaperçu. Consignes pour répondre à la demande locale.

81) Le groupe est alors précédé par une équipe de télévision régionale. La notoriété qui en découle facilite la progression dans les grandes villes et le passage des frontières.



82) Après quoi la vie ordinaire cycliste reprend ses droits.

Casse-croûte en bord de route.

83) Escale encore civilisée. Les abri-bus viennent à point.



84) Vienne, la capitale de l’Autriche. Les cyclos sont en réception.

Et donc très attentifs.

85) L’accueil des officiels. Ces réceptions quotidiennes font aussi partie de l’organisation.




Les Paris-Pékinois, nos ambassadeurs, sont maintenant en Roumanie.

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