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AUTOUR DU PUY EN VELAY VIVRE LA LOIRE SAUVAGE (1e Partie/2)

Un Festival des Sports nature

du Mercredi 03 au Vendredi 06 Octobre 2007

Dans l’ardeur des vélos qui remontent la pente il y a le plaisir d’atteindre, au travers des Gorges de la Loire jeune, la source du plus long fleuve français. A vivre sauvage sans modération.

Avant l’industrieuse Loire Atlantique, les châteaux Renaissance de la Loire, les vins de Loire et le climat nord ou sud de la Loire de la météo, il y a, en amont du département de la Loire (Saint Etienne), la Haute Loire (Le Puy en Velay).

Ce département montagneux donne par son relief volcanique et sa nature préservée un espace « sauvage » qu’il faut vivre … et pédaler. Ce sera 3 étapes pour 260 km en compagnie de Marcelino, sous la recommandation du Comité Départemental de Tourisme.



01) Quand on vient de Belgique, du Nord, de Paris ou, tout simplement,de Saint Etienne, la Haute Loire Sauvage commence à Aurec sur Loire (432m).

Or le fleuve prend sa source au Gerbier de Jonc (1551m).

02) Sur le pont d’Aurec, Elodie donne le signal de départ:

« Vivez la Loire sauvage … et donnez m’en des nouvelles … si jamais vous revenez à la civilisation !»



03) Alors, avec notre allure de Betsen (groggy dès le premier quart d’heure) et de Chabal (la carrure en moins), nous relevons le défi d’une randonnée on ne peut plus touristique.

Avec logements prévus à Vorey sur Arzon puis à Lafarre.

04) Laissons donc derrière nous l'attrayant village médiéval d’Aurec sur Loire, cher au président Georges Théillière.



05) Cette courte première étape, au cœur des Gorges de la Loire, ne sera que douce sauvagerie, du genre 600m d’élévation sur 50 bornes.

06) Le village de Bas en Basset rappelle que son micro-climat lui permet de revendiquer le titre de « Petit Nice ».

Et nous aurons en effet, trois jours durant, la chance d’un beau temps d’arrière saison.


      Saveurs d’un pays


07) On peut vivre la Loire Sauvage et avoir des goûts raffinés.

Le village de Beauzac s’illustre, entre autres, par ses salaisons de La Roche.

08) Et par sa fromagerie industrielle produisant le Saint Agur (« force et fondant ») ainsi que le RocheBaron (« bleu au lait de montagne »).



09) Au cœur de chaque village une belle église avec, le plus souvent, un clocher dit « à peigne », comme ici.

10) Retournac, c’est l’entrée dans l’Emblavez : une terre à blé dominée par les « sucs» formés par les plus anciens volcans d’Auvergne.

Un espace de liberté représenté par Cécilia Guillien de l'Agence Tourisme de la jeune Loire.



11) Parmi les sommets régionaux, le Mont Gerbizon qui donne son appellation à ce bistrot haut perché sur la place de Retournac.

12) Nouveau franchissement de la Loire qui traverse ce riche pays de l’Emblavez.

Sur le pont des Droits de l'Homme.



13) Dans cette partie indiquée « Gorges de la Loire » conduisant jusqu’au Puy en Velay, chaque remontée donne lieu à un nouveau belvédère.

Pour nous, autant de prétextes à l’arrêt.

14) Perle romane de l’Emblavez, Chamalières sur Loire avec son église prieurale.



15) Et puis Vorey sur Arzon, du nom d’un affluent rive gauche du fleuve, où nous ferons étape.

16) L’Hôtel-Restaurant (Logis de France **), Rives de l’Arzon, qui nous héberge, s’est organisé pour convenir à toutes formes de randonnées : à pied, à moto comme à vélo.



17) Vivre la Loire Sauvage impose, en effet, un minimum de civilité.

18) Nous ne faisons que passer dans les Gorges.

Il y aurait moyen de séjourner en visant, par exemple, Bellevue en Montagne ou le circuit 13 du Topo Cyclo du Comité départemental.


      Début d’une grande étape


19) Le lendemain matin …

Elodie nous attend sur le pont de Coubon, en amont du Puy en Velay et à l’amorce d’une remontée aux sources de la Loire.

20) Dans ce "Midi de l’Auvergne", tout rappelle qu’on circule dans un milieu d’anciens volcans.

A commencer par ces roches basaltiques taillées en forme de tuyaux d’orgue.



21) Notre matinée « cyclo-montagnarde » sera placée sous l’amicale conduite de Jacques Mathieu, secrétaire du Groupe Cyclotouriste du Puy en Velay.

22) Notre guide a la patience d’adopter notre rythme de contemplatif. Sa connaissance des lieux lui permet d’annoncer les « montagnes » qu’il faudra franchir.

Presque toujours une côte de 3 ou 4 km « pas tristes » précise-t-il !



23) Preuve de notre lenteur dans la campagne de Chadron, un troupeau de vaches double les vélos ?

24) Si chaque sommet fait entrer dans un village animant le plateau, chaque retour à la Loire témoigne d’un passé glorieux.

Ainsi le village médiéval de Goudet, sur la D 49.



25) Subtil, Marcelino constate la présence d’un vieux château dominant le fleuve :

« Ne serait-ce pas l’un des premiers Châteaux de la Loire ? »

      Sur les hauteurs

26) Arlempdes figure, à juste titre, dans la liste des plus beaux villages de France.



27) D’où l’arrêt, à hauteur de l’eau, pour voir le décor fabuleux et les ruines d’un autre premier château.

28) Le hameau de Vielprat, m'est prétexte pour souffler en admirant, dans la montée vers les Arcis.



29) Nouvelle plongée vers la Loire du côté de Lafarre qui, au retour, nous offrira un inoubliable hébergement.

30) Tel La palisse, notre guide rappelle qu’il faut monter pour atteindre le sommet.

Pressé par ses obligations associatives (trésorier de l’école de cyclotourisme du Puy), il va alors regagner ses pénates.



31) Notre ardeur s’en ressent alors. On marque un long temps d’arrêt au Lac d’Issarlès.

32) Puis voilà l’illustre Mont Gerbier de Jonc. N’ergotons pas sur la véritable source de la Loire.

Nous y sommes!




Pour vivre la descente de la Loire Sauvage … CLIQUEZ ICI


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