37) Sur les hauteurs, l’Ardéchois Gerbier de Jonc (1551m) rivalise avec le Mézenc voisin culminant en Haute Loire.

38) A plus de 1000m d’altitude, les versants forestiers sont largement exploités.

39) Il faudra dire à Marcelino que ce bois ne sert pas qu’à fabriquer des cure-dents.

On le scie aussi pour des charpentes, des parquets, etc .

40) Du côté des Usclades, la Loire est restée d’autant plus « Sauvage » qu’on a renoncé au projet de barrage pour se contenter d’aménager des bassins de rétention.

41) N’hésitant pas à franchir une clôture électrique, Marcelino prend le risque gourmand de cueillir des champignons qui foisonnent en automne.

Ceci aurait pu être sa dernière photo !

42a) Par bonheur il a trouvé le meilleur contre-poison qui soit : la Bourganel, une blonde brassée en Ardèche.

A base de châtaignes ou de myrtilles? En faut-il vraiment pour tous les goûts!

43b) Bière disponible à l’Hôtel Panoramic du Lac d’Issarlès, … un établissement recommandé par la FFCT.

44) Par précaution supplémentaire, notre Marcelino a eu aussi recours à la charcuterie locale.

45) Avec le sourire de la charcutière, maison Gineys, pour le servir.

46) Route de Lafarre, à Souchon, on ne peut pas louper la Ferme-Auberge Illa Fara.

Impossible d'oublier, après une rude journée de 120 km et 3200m d’élévation, l'accueil qui nous y fut réservé!

47) L’établissement est d’ailleurs habitué à recevoir du beau monde.

Les ruines qui font partie du décor de ce gîte auraient accueilli, en son temps, rien moins que Vercingétorix !

48) La ferme, qui a été reprise par la famille Silvestri, élève quelques 150 chèvres avec production de fromage et de charcuterie.

Cinq chambres d’hôtes permettent aussi un séjour de pleine nature.

49) Partager le repas du soir avec nos hôtes fut un luxe, pour ne pas dire un bonheur, inestimable.

50) En direction du Puy en Velay, les montées sont maintenant moins longues que les descentes.

Ce qui permet d’apprécier aussi la brume matinale qui estompe justement ce relief.

51) On apprécie aussi le patrimoine (XIIe) tranquille de Salettes.

52) Et le caractère rural, en murs de pierres typiques, d’un petit village comme Espinasse.

53) Notre périple se termine, mais pas sans un dernier ravissement.

Voici Solignac, sur une nouvelle hauteur.

54) L’église, en pierres de lave, valait le détour.

55) La nature bordant la Loire Sauvage abrite de belles habitations à proximité du Puy en Velay.

56) Sur ce circuit sauvage les pentes furent à répétition et parfois sévères.

Le balisage du circuit « Loire Sauvage » veillera à se montrer encourageant.Comme dans la côte de Chaspignac

57) Retour au 45e degré parallèle Nord à Coubon, sur le pont reconstruit après les inondations de 1980.

Il est l’heure de ranger les vélos.

58) Et descente sur la ville, si caractéristique, du Puy en Velay, chef lieu du département de la Haute Loire.

Un point de départ pour le chemin de Compostelle.

59) Escale sentimentale mais obligée au Tam Tam Bar.

"Simplement pour prendre des nouvelles de Maryvonne", qu'on disait.

60) Le circuit testé se présente comme un formidable parcours cyclotouriste, bien dans la lignée des « 1000 kilomètres de la Loire ».

Ici avec la partie la plus spectaculaire.

61) Une randonnée « corsée » qui s’appréhende selon les aptitudes et selon les motivations de chacun, en terme de vitesse et de durée.

62) Les intérêts « sauvages » sont multiples et suffisants mais la compagnie d’Altiligériens est une chance supplémentaire.

63) Question faune, ne craignez rien.

La petite (pas si petite que cela !) bête sauvage … n’allait pas manger la grosse !