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EURODIAGONALE BUDAPEST STRASBOURG DONAU (2e Partie/3) 07

« Ich liebe dich », comme dit mon PC qui aime l’aventure

du Mercredi 13 au Mardi 19 Juin 2007

L’EuroDiagonale se poursuit en Basse Autriche avant d’aborder l’Allemagne bavaroise. Avec Jackie qui relance l’allure, Marcelino qui interpelle le GPS et tignona qui pense PC … et reportage.

35) A Grein (km480 sur 1200) nous sommes au milieu de la 3e étape quand nous débarquons sur la place de Grein après avoir de nouveau suivi la Donauradweg (lire : piste cycliste du Danube) autrichienne.



36) Tout l’art pour réussir une Eurodiagonale à trois équipiers est de pédaler à suffisance tout en veillant à trouver la bonne route, à boire avant d’avoir soif et à manger avant d’avoir faim.

Or, en ces derniers points nous sommes experts : restaurants matin midi et soir. Plus des arrêts intermédiaires.

37) Ne croyez pas que nous ayons fait sensation avec nos vélos (Rad).

C’est plus de 1000 touristes à vélos que nous avons croisés sur la piste signalée pour longer le Danube.



38) Dans une ville d’escale comme Grein nous avons trouvé de l’huile pour les chaînes qui avaient pâti de la pluie lors de la traversée de Vienne.

39) Rien ne nous laisse indifférent. Surtout pas les rencontres inattendues.

Pas de problème de langue.


      Jamais seul à pédaler


40) On avait quitté la piste du Donau ? On ne tarde pas à la reprendre car elle est bien balisée, très agréable et, surtout, à l’écart de la circulation.

En revanche il faut bien reconnaître qu’elle ne convient pas pour une pratique « sportive » du vélo.

41) Parmi les aléas de la piste, outre les trottoirs dans les villes, certains passages tortueux ou scabreux.

Mais avec le sourire.



42) Scène ordinaire de la descente en Vallée du Danube, en ce vendredi 15 juin.

On dirait la Descente de la Lesse !

43) Et toujours cet aménagement pour le confort du touriste qui va jusqu’à prévoir des points d’eau.



44) A nous, touristes, de profiter de ces bonnes conditions pour marquer des arrêts intéressants. Un peu avant Linz, nous voici à Mauthausen.

Une belle cité mais marquée par l’horreur de l’un des plus tragiques camps d’extermination nazis.

45) Dans le camp, à 4 km de la ville, périrent environ 150000 « Prisonniers de Guerre » (selon la terminologie officielle) qui étaient soumis au travail forcé et/ou exécutés.

La barbarie.



46) Un brin de toilette avant de trouver le gîte et le couvert à Asbach a Donau, à l’Ouest de Linz.

Km560, fin d’une étape de 212 km, 550m d’élévation.

      Quatrième étape le samedi 16 juin

47) Départ sans déjeuner, après une nuit pluvieuse. Là nous décidons de quitter les méandres du Danube pour atteindre Suppingen en ligne droite.

Economie de 15 km, mais au prix d’une élévation de 400m !



48) Nous franchissons la frontière allemande, à Passau.

Dans cette ville la rivière Inn vient se jeter dans le Danube que nous continuerons de remonter, jusqu’à Vilshofen, puis plus loin.

49) La ville est accueillante. Un petit tour à la pharmacie pour l’un, au magasin d’alimentation pour les autres.



50) Dans une bourgade campagnarde suivante, alors que le relief fait prendre de la hauteur, Jackie trouve le moyen de remettre de la pression.

Un petit coup de gonflette.

51) Cette après midi va nous surprendre par son paysage de vastes campagnes ondulées, par ses routes tranquilles évitant les villages et par une quiétude quasi inquiétante : allons-nous rencontrer âme qui vive ?



52) C’est avec difficulté que nous allons trouver le seul restaurant ouvert à Eichendorf en ce samedi midi.

Notre route des brasseries de Bavière ne nous rassure … qu’à demi... litre.

53) L’après midi « désertique » devient maussade pour nous. Nous décidons, après Landshut, d’abandonner le parcours pour terminer l’étape dans la ville la plus proche : Moosburg a Isnar.

Km767, 207 km et 1126m d’élévation.


      Soirée mondaine


54) Arrivés tôt (18h30) dans un petit hôtel sans restaurant mais avec la promesse d’un früstück servi à 5h, on part faire un tour dans une ville morte.

Galerie de vins inaccessibles.

55) Des Deux Roues (Zweiräder) qui ne nous conviendraient pas.



56) Acquisition de souvenirs vélocipédiques impossible…

57) Heureusement, il y eut Kova… et son savoir faire « yougoslave ».

Ils ne sont pas prêts d’oublier ses bras chauds !


      Cinquième jour : Dimanche 17 juin


58) Départ matinal (5h30) de Moosburg sous un soleil encore frisquet. Avec des ombres plus grandes que vos héros.

59) On parlait hier des brasseries de Bavière ? Voici les houblonnières bavaroises.



60) Détail de la vie quotidienne et matinale du randonneur : arrêt bosquet !

Bien naturel.

61) Toujours cette tranquillité ! A croire que les Bavarois ne se lèvent pas le dimanche.



62) Dernières retrouvailles avec le Danube allemand, à Lauingen Donau.

      Ménager la monture pour aller loin

63) Traversée de la ville dont la première « terrasse » permet d’anticiper l’arrêt de midi prévu à Gundelfingen.



64) Marcel, qui rêve d’aventures, s’intéresse aux bagages du tandem et fait connaissance avec les tandémistes.

65) A la sortie de la ville c’est l’heure du dessert avec un stand de fraises : self service avec dépôt de la monnaie dans la boîte aux lettres.



66) A la sortie d’Ulm l’information, en français, est savoureuse : « Par là c’est bien Blaubeuren. Mais vous allez devoir monter ! »

67) Alors logement à Blaubeuren, à l’hôtel Adler (***) qui fait la part belle aux cyclistes en voyage : « bett and bike ».


Km906, 20’ km et 1130m d’élévation.




Pour la troisième partie et l’arrivée à Strasbourg cliquez ici


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