Arrivés à Trévise (dans la plaine, tout près de Venise) par un vol Ryanair au départ de Charleroi, nous découvrons une ville d’eau et d’art … mais aussi une ville de vélos.

C’est à Trévise que la firme Pinarello (vélos de l’ex-équipe Fassa Bortolo et maintenant de laCaisse d’Epargne-Iles Baléares) a son siège social, tandis que le montage se fait à Villorba, tout près de là.

01) Dans les rues du cœur de la cité le vélo est roi de la pratique quotidienne. Avec une belle tolérance des autres usagers car les automobilistes (Italiens !) nous ont paru bien complaisants.

02) L’hôtel Clarion, à l’écart de la ville, met à disposition des vélos de ville qui permettent à Moustache et à votre serviteur de jouer les parfaits touristes.

Et de vous offrir ce reportage exceptionnel.

03) Notre premier souci est cependant de nous rendre au « retrait des dossards » pour recevoir notre plaque de cadre du « Gran Fondo Pinarello » où l’on annonce 4000 participants.

On en profite pour voir l’organisation et étudier le parcours.

04) Au centre de la ville, le magasin Pinarello.

05) Un magasin qui ne laisse pas le choix de la marque, mais qui présente toute la gamme des Pinarello (y compris piste et contre la montre) et le nouveau Opera.

06) Nous avons la chance de rencontrer Giovanni, dit « Nani », Pinarello un champion des années 50 qui a lancé les vélos à son nom. L’affaire est aujourd’hui dans les mains de ses trois enfants, dont Fausto que nous verrons bientôt.

07) Pour l’heure nous rencontrons Daniela Fassini qui joue les « public relations » et nous fixe les rendez-vous qui vont s’enchaîner sans répit.

08) Première grande réunion : « Presentazione in anteprima del modelli 2007 », en anglais mais traduction gestuelle ( !) par Luciano, directeur de Production.

09) Réunion on ne peut plus internationale, sous la présidence de Fausto Pinarello, Directeur.

10) Le tout nouveau "Opera" donne une alternative de prix intéressante au très haut de gamme Pinarello.

11) Représentant Pinarello pour le nord de la France, Antonio Correia présente l’un des modèles les plus prisés : le Paris Carbone FP que la revue Le Cycle a sélectionné parmi les "trois vélos de l’année 2006".

12) Alors, comme Paolo qui nous servit de pilote entre les réunions, on peut le photographier.

Pour l’acquérir, il faut d’abord économiser.

13) Gros succès aussi pour le tandem « Puissance 4 » présenté par Julia et Pamela.

114) Redoublement du mitraillage photos. On peut rêver.

15) Réunion autour d’un Pinarello pour Antonio Correia, André et Catherine Sauvage, les nouveaux Barelli à Croix (59).

16) Nos rencontres sont diverses et cordiales.

Ici des amis Japonais.

17) Là, le Norvégien Justein Wilhmann, vainqueur d’un Tour de Romandie qui termina 14e du Tour de France 1981 dans l’équipe Caprisonne.

Il est aujourd’hui vélociste à Trondheim.

18) Fausto Pinarello, dans son habit de lumière, va conduire un groupe de 80 volontaires pour tester le « Paris Carbone FP ». Le test-bike est surtout une rencontre de prestige.

Avec les salutations du représentant pour le sud de la France, Yves Couillault-Danonville

19) Barelli, tout près du grand patron, porte la tenue de circonstance.

20) Plus de 100 vélos ont été préparés, avec des tailles adaptées, avant mise à disposition.

21) Installation des pédales et réglage de la position pour Moustache qui ne restera pas insensible aux charmes de son beau vélo.

22) Vous attendiez de voir le plus beau ?

Le voilà … le Paris Carbone FP qui fait fureur dans les salons.

23) Rassemblement général devant les portes de l’hôtel Maggior Consiglio Treviso.

24) C’est le patron qui va prendre la tête du peloton et dicter une allure très raisonnable.

25) On est là, bien groupés, avec l’occasion de faire connaissance.

26) Et, en roulant, qui va piano, va bene !

27) Retour en salle de réunion pour le « debriefing ».

29) Puis, avec Daniela, la confirmation de l’inscription au Granfondo Pinarello et le retrait du collier à puce pour le chronométrage.

30) Rassemblement de presse, avec le collègue italien de Bici-Sport, pour l’interview de Fausto qui se dit bien affûté et prêt pour la grande distance de demain.