Une seule distance, 160 km, pour l’Echappée belle Lille-Calais et le bénéfice du diplôme d’arrivée distribué par Brigitte et Léon. Deux des 76 Urfistes Lillois mobilisés pour l’accueil de 1503 cyclos.

Mais revenons à la côte de Tournehem, la plus longue et la plus dure ( ?) du jour avant le Ventu d’Alembon, le Mât, et le Cran d’Escalle, entre autres …

42) Les clubs côtiers participent en nombre à cette randonnée qui les ramène à la maison. En action ici la Petite Reine de Calais.

Les clubs les plus nombreux : Coulogne (34), Roquetoire (33), Saint Omer (32), Beuvry (29), Comines (28), Wasquehal (26), Wizernes (26), St Martin Boulogne (24), Houplines (22), Coulogne Petite Reine (21) Mons en Baroeul, …

43) La file est interminable mais permet de mettre en vedette quelques beaux cyclos.

Voyez celui-ci, de Willems, fier comme Artaban.

44) Et Raymond Prince, président de l’Asptt Roubaix, serré comme dans un colis postal.

45) La file indienne des cyclos qui ahanent en attendant le sommet qui ne vient pas.

46) Le groupe de Mouvaux a envoyé son premier éclaireur à l’avant. Il s’agit de dégager la route pour …

47) Toujours la même côte et un deuxième éclaireur mouvallois qui annonce : « Elle arrive ! »

48) Intermède avec Didier Noël qui se rend à la mer avant d’aller flécher le Lille-Val Joly (11 juin) de l’Ufolep-Nord.

49) Le voilà donc enfin le sommet qu’il faut franchir. Un peu de patience. Et encore beaucoup d’efforts.

50) Cyclo sympa de Boulogne, visiteur du site, qui prend le temps d’un brin de causette.

51) Serrement de dents pour témoigner du bonheur qu’il y a dans certaines souffrances…

52) Et la voilà (belle et jeune), Tifany, avec son sourire de légende.

Suivi comme son ombre par son président de club.

Fierté de tout un club qui devrait trouver un 3e plateau pour son héroïne.

53) Alors c’est le regroupement général et la concertation pour la suite des opérations.

54) Arrive aussi une partie de la troupe du CC Wasquehal.

Un club touché par la disparition subite de Jean Luc Vancauwenberghe, l’un de ses animateurs qui disait : « Il est plus facile de serrer les freins que d’aller vite pour aider ceux qui n’ont pas l’habitude ou ne sont pas en forme. »

55) Il est très petit le malheur des cyclos de Wissant, confrontés à la réparation d’une fuite et à l’utilisation d’une bombe pour regonflage dont on a oublié le mode d’emploi.

Mail de Véronique Palacin: "La photo 55, groupe de Wissant, c'était nous! Merci de nous faire revivre ces moments extraordinaires."

56) Tout le monde n’est pas passé mais, à la demande du cyclo, on arrête les frais.

Il y a encore quelques belles côtes au programme.

57) Le parcours a quelque chose de bucolique.

Et cette tour qui vaudrait de voir de face les cyclos amandinois.

58) Le Ventu d’Alembon, après Licques, c’est une route de montagne (sur 1 km!) avec trois ou quatre lacets bien serrés.

59) Le temps s’est provisoirement gâté avec une fine bruine en attendant le retour du soleil.

Comme le dit Lana Attilio, président de Béthune, à ses copains Diagonalistes : « Chez nous, si on devait attendre une météo encourageante, on raccrocherait les vélos. Or cela roule dans le Nord ! ».

60) Les rouges calaisiens sentent qu’on se rapproche du but mais savent que du sommet on ne verra pas encore la mer.

61) A Hermelinghem, c’est l’affluence malgré l’étalement de la procession des cyclos.

62) Boisson pour l’un, car il faut boire... pour conduire à bien sa randonnée.

63) Réparation Shimano pour l’autre car le dérailleur s’est détraqué.

64) Puis guidage par patrick Monfilliette et son adjoint qui envoient les cyclos vers le Mât et les autos vers la côte.

65) Dressée comme un mât, la côte d’Hermelinghem, droite comme un i, oblige à tous les efforts.

66) Les verts de Danville en pleine nature.

67) Notre ami de Boulogne, frais comme un gardon.

68) La même procession vue sous un autre angle.

69) Et le couple Laponche, d’Essars, qui se joue des difficultés : « Tu légenderas qu’on grimpait le Koppenberg ? »

70) Encore un sommet dans la musette.

71) Puis de la couleur en guise de transition avant la dernière rampe.

72) A force de grimper et de zig-zaguer arrive, à la sortie d’Escalle, proche du Cap Blanc Nez, le Cran qui va permettre de dominer la mer avant de plonger sur Calais.

73) Les B and B de Billy Berclau vont se jouer de cette dernière difficulté.

74) Dernier coup d’œil sur l’intérieur des terres.

75) Apparition d’une déesse …

76) tandis que le Calaisien rentre au port.

77) Et le cyclo du Touquet nous fait voir la mer.

78) Le parc à vélo n’est pas où l’on attendait. L’organisation a été contrainte de se replier dans une salle de la ville réquisitionnée en urgence.

La tempête de la veille avait empêché de monter les chapiteaux face à la plage.

Jamais simple la vie d'organisateurs!

79) Ces soucis de dernière minute n’ont pas altéré la bonne humeur du président urfiste de l’organisation, Bernard Hénault.

80) Succédant, sur le site d'arrivée, aux Cycles Vincent, le vélociste de service sera désormais Jean Lebas qui va agrandir ses locaux à Haubourdin et développer, à son tour, une gamme randonneur aux côtés de ses Orbea, de ses Bianchi et d’une nouveauté venue de Belgique.

81) Plein cadre pour le sourire d’Iréna qui nous présente le carbone Thompson, témoin de la montée en puissance de cette marque jusqu’ici cantonnée au vélo de ville.

82) La première mission d’Iréna, et de ses copines, est de distribuer les lots de la tombola express.

Or qui voilà ? Notre Tifany !

Hip hip hip Hourra !

83) La dessus, Stanislaw Sobczak, Bernard Hénault et Bernard Dendievel, prennent la précaution de s’asseoir : « Pour souffler un peu », disent-ils.

Nous on aurait dit pour … siffler !


A Montauban on peut se réjouir. Bernard Dendievel, Hémois ex-président de l’Urfa-Lille est en partance (après les Monts des Flandres du 10 septembre) pour chez eux, dans le sud. Bon vent Bernard, mais dommage pour nous.