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VTT DES CARRIERES A BRUYELLE ANTOING 05 (1e Partie)

Descente dans un Canyon industriel

le Vendredi 11 Novembre 2005

Le 11 Novembre, jour férié en l’honneur des combattants de la 1e Guerre Mondiale, le C.T. Antoing propose la randonnée des Carrières au parcours parmi les spectaculaires de Belgique.

Succès avec 1120 participants dont 835 Vttistes (inscription 2€) pour un circuit tellement « roctier » (travailleur dans les carrières de pierre) qu’il emprunte, exceptionnellement, les sentiers de la carrière Cimescaut, en descendant vers le fond d’extraction puis en escaladant le terril des terres de recouvrement.
Beau temps sec mais un peu trop couvert pour les paysages environnants. Temps sec mais terrain encore très humide. Donc parfois boueux au grand plaisir des bikers. Attention à la boue des carrières qui produisent gravillons et ciment : cela colle au vélo et au maillot. Faudra laver.



01) Les inscriptions se font au terrain de foot de Bruyelle : 235 marcheurs et 835 Vttistes.

02) Inscription VTT, côté Alex Debrue.



03) Inscription VTT, côté Roland Besard. Le CTA se mobilise pour ses grandes organisations.

04) Dans la salle les inscriptions concernent la jeunesse. Le vélo n’est pas mort !



05) Dehors les groupes s’organisent. Ici les BCJ d’Estaimbourg et leurs amis.

06) Là, les Vttistes de Biévène et les cyclos d’Enghien, avec les Deschuyteneer père et fils, réunis à Antoing en attendant la Gadouzienne du 20 Novembre.


      Direction Train Grande Vitesse


07) Petit test d’agilité ou d’audace, dès le départ.

08) Il faut se hisser sur le talus en prenant un bon élan.



09) Le fléchage sera impeccable, même si les mannequins vinrent vite à manquer.

10) Les travaux du TGV sont très présents dans la première partie du circuit.



11) File indienne le long du viaduc qui permet au TGV se franchir l’Escaut.

12) La campagne de Bruyelle ne manque pas de charme.



13) Même si le passage du train a été problématique pour les riverains.

      Attention, c’est le domaine d’une carrière en pleine exploitation.

14) Pas de tirs de mine ce jour, mais l’invasion d’un millier de touristes, friands d’un décor de travail exceptionnel.



15) Un groupe de « bleus », comme la dure roche calcaire extraite ici, et dite « pierre bleue ».

16) Les bikers suivent les sentiers permettant d’acheminer la roche extraite avant sa transformation en gravillons ou ciment. D’où les installations de broyage et de clinckerie (four moderne) dans le décor.



17) Les jeunes français du club des Zouaves d’Annoeullin, partis en éclaireurs, apprécient.

18) De même ces « zouaves » de Templeuve qui tuent le temps avant que les autres n’arrivent.



19) Après l’entrée contournant les installations, on entame la descente vers le site d’extraction.

20) Les sentiers sont bien dégagés mais le sol pierreux et humide.



21) La pente est raide et la descende scabreuse.

      Un site d’exploitation parmi les carrières les plus grandes d’Europe.

22) On entre dans le spectaculaire qui va faire l’essentiel de ce reportage.



23) Ravin avec sentiers méandreux, comme dans un « canyon ». Mais ici la profondeur n’est pas naturelle.

24) Le sentier surplombe la base de stationnement des engins d’extraction.



25) Et c’est l’arrivée aux pieds des roues des camions de transport.

26) Formidable disproportion de taille entre les hommes et leurs machines.



27) Pourtant lancés à vive allure, les bikers sont nombreux à marquer un temps d’arrêt.

28) Et voilà qu’on sort le téléphone portable … pour prendre la photo.
Et si, demain, j’essaie de téléphoner avec mon appareil photo ?


      Ambiance touristique


29) La benne pelleteuse obtient un vif succès avec des bikers qui se prennent pour des petits cailloux.

30) Même scène avec les Bikers « Molécule » photographiés par Willem Penninck.



31) Revoilà des Zouaves qui incitent à continuer le périple.

32) Alors on oublie la dimension des pneus et l’on repart.



33) Cette fois il s’agit de sortir du trou puis de partir à l’assaut des terres recouvrant la roche et déposées en terril montagneux.

34) Les marcheurs (16 km), dont la famille Penninck, font également partie de l’aventure qui se poursuit dans une seconde partie.




C’est grâce à de pareilles trouvailles que le pédaleur, quelque soit sa vitesse, donne une vraie dimension touristique à sa pédalée.
Voir la 2e Partie
Voir la 2e partie en cliquant ici


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