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Ambiance Voyage Club Grandes Alpes du VC Roubaix (2e PARTIE/2) jusqu’au Galibier 2013

Plus on grimpe, plus on s’élève !

du 23 au 28 Juin 2013

Bien lancée sur la Route des Grandes Alpes l’équipe du Vélo Club Roubaix va se trouver confrontée aux difficultés du relief, au temps capricieux et aux problèmes techniques. Mais avec un moral à la hauteur !

41) Le col des Aravis (1486m) est atteint sans coup férir dans cette étape royale de quatre belles ascensions alpines.

Comme de juste, l’équipe roubaisienne est toujours au complet pour la pose au sommet.



42) Une équipe bien organisée qui n’oublie pas de se restaurer.

Pique-nique du midi organisé quotidiennement autour de la camionnette qui joue parfaitement son rôle d’assistance.

43) Le Col des Saisies (1650m), gravi dans l’enthousiasme de cette belle étape sportive laisse de très beaux souvenirs.



44) Sa descente aboutit à l’Hôtel des Cascades de Villard sur Doron au terme des 120 bornes du jour.

      Etape 3 Villard sur Doron Bessans

45) Le profil de l’étape n’annonce que deux grandes montées ?

Mais, excusez du peu, avec le Cormet de Roselend (1963m) puis le col d’Iseran (2770) via Bourg Saint-Maurice (744m) pour finir à Bessans après Bonneval sur Arc.



46) Le principal c’est de partir, de bon matin, joyeux et plein d’entrain.

47) Les routes savoyardes sont désormais équipées de bornes kilométriques « intelligentes ».

Mais est-ce un bien ou un mal de savoir que le sommet est à 19 km alors que la pente du kilomètre à venir est à 7% ?



48) Quoiqu’il en soit l’équipe roubaisienne s’accorde un temps d’arrêt au premier palier portant le nom du Col de Méraillet (1605m).

49) L’endroit, en pays Beaufortain, est sublime tandis que l’effort est tout sauf … minime !


      Décor époustouflant


50) Un décor à couper le souffle alors que la photo soigne le premier et l’arrière plan.

Du grand art!

51) Tout cela pour une récompense très terre à terre puisqu’il s’agit, alors que les cyclistes se bousculaient au portillon ( !), de poser devant le panneau du sommet Cormet de Roselend méritoirement atteint.



52) Comme il faut bien que tout le monde vive, voilà un étal de produits du terroir hautement situé !

53) Le Cormet de Roselend, au-delà de Chapieux, c’est aussi une formidable descente de 20 bornes jusqu’à Bourg-Saint-Maurice.



54) A Bourg Saint-Maurice l’équipe roubaisienne est fort marrie de ne pas trouver au magasin Inter Sport, pourtant empressé, une patte de dérailleur pour le vélo de Cathy.

55) Une Cathy encore plus fort marrie de devoir prendre place à son tour dans la camionnette d’assistance.

Et d’y jouer désormais au photographe de la pédalée des autres.


      L’Iseran, monter et descendre


56) Arrive alors la montée de l’Iseran, le col routier le plus haut de France puisqu’il culmine à 2770m.

Sur son versant nord la montée est coupée par la station de Val d’Isère.

57) Puis par le Barrage de Tignes qui donne un extraordinaire décor de haute montagne.



58) Dans cette interminable ascension nos cyclos se font rattraper, puis doubler ( !), par les jeunes skieurs de l’équipe de France qui s’entrainent, sur route, en attendant l’hiver.

59) Deux vélos au sommet de l’Iseran alors que le temps se gâte au point de rendre très dangereuse la descente.



60) D’où le recours à la camionnette pour suivre une route étroite entre deux murs de neige !

61) La situation redevient plus normale dans la vallée et le tourisme retrouve ses droits dans ce merveilleux village minéral de Bonneval sur Arc.



62) Après quoi l’Hôtel de la Vanoise, à Bessans, est le bienvenu en fin d’étape magnifique.

D’autant plus que le repas y sera … sans tartiflette !

      Etape 4 Bessans Monêtier les Bains

63) La 4e et dernière étape du voyage alpin prévoyait, au-delà de la vallée de Maurienne une ascension du Galibier (2654m) mythique avant de plonger, via le col du Lautaret, en direction de Briançon jusqu’à Monêtier les Bains.



64) Au lever du jour le groupe est un peu refroidi en découvrant du givre sur le toit de la camionnette.

L’étape sera d’autant plus fraîche, voire héroïque, que la pluie s’en mêlera et que la remorque posera problème.

65) Les nuages sont bas lorsque nos Roubaisiens défilent dans Lanslebourg qui se présente comme Espace Baroque en vallée de Maurienne.



66) Hautement sympathique arrêt des cyclos qui s’écartent pour laisser passer le peloton de vaches en transhumance.

67) Autre peloton sympathique que ce groupe militaire de skieurs alpins partant en vadrouille sous la conduite d’une cheffe.



68) Dans la troupe Laurent Cornet repère un soldat originaire de Roubaix !

D’où la pose avant le salut militaire.

69) Saint-Michel de Maurienne se trouve au pied du col du Télégraphe lequel col est lui-même, au-delà de Valloire, au pied du Galibier.

Très prisée des « cyclos », la ville invite les cyclistes à se chronométrer pour l’ascension du Galibier, Télégraphe et Valmeinier 1800.


      Les pentes du Galibier


70) Tout sourire, Bernard certifie que la camionnette est en pleine forme pour l’ascension du Galibier.

Mais c’est la soupe à la grimace quand il constate que le support des vélos sur la remorque est brisé.

Réparation de fortune à Saint-Martin de la Porte.

Ouf !

71) A partir de Valloire c’est le dernier assaut de nos joyeux baroudeurs qui se profile mais les prévisions météo font craindre le pire.



72) Et, comme redouté, le temps se gâte avec la pluie qui glace nos valeureux pédaleurs.

73) La camionnette en forme et sa remorque réparée arrivent à point pour récupérer quelques défaillants.



74) Plus haut, toujours plus haut, les lacets du Galibier exposent leur splendeur.

Ceux qui sont déjà passés par là savent comment ce lieu mythique est beau.

75) D’autant plus beau quand Philippe Cuvelier y passe entre deux murs de neige.



76) Splendeur du Galibier marqué d’un petit point roubaisien sur une route désertique de mauvais temps.

77) Puis la pose suprême au sommet pour les trois rescapés de l’aventure : Laurent Cornet, Philippe Cuvelier et André Lefebvre.



78) Par temps glacial, la descente du Galibier, via le col du Lautaret (2058m), n’est pas une sinécure.

Seul Laurent souhaitera relever le défi et parviendra à descendre en vélo jusqu’à Monêtier les Bains.

      Point final

79) Tout le monde se retrouve à l’Hôtel de l’Europe à Monêtier les Bains au terme d’un périple fantastique mais joliment perturbé.

Mais, finalement et heureusement, pas de bobos pour les valeureux cyclos.



80) Donc bilan positif pour l’équipe Roubaisienne revenue à l’état civil.

Avec une question qui fuse :

« Quand est-ce qu’on programme le reste de la Route des Grandes Alpes, jusqu’à Antibes, via l’Izoard et la Bonnette ? »



Car tout voyage qui se termine bien mérite son prolongement sachant que plus le cyclo grimpe plus il s’élève.


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Pour voir ou revoir le périple de l'équipe roubaisienne dans les Pyrénées en 2011 ...
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