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VOYAGE 2010 EN PYRENEES DU VELO CLUB ROUBAIX (1e Partie/2) 2011

Du col d’Otxondo au col de Marie Blanque

Début Septembre 2010

L’idée d’André Lefebvre était de joindre l’Atlantique à la Méditerranée via les Pyrénées avec des amis du Vélo Club Roubaix. En attendant le final en 2011 la moitié a été faite, avec 19 cols en 2010.

01) C’est parti pour 4 étapes pyrénéennes et quelques 430 km de grand cyclotourisme plus deux jours d’aller à Biarritz (Pyrénées Atlantiques) et retour de Saint-Béat (Haute Garonne).

La camionnette et la remorque du Vélo Club de Roubaix rend un bon service à l’équipe qui compte six pédaleurs et un chauffeur.



02) L’arrêt sur une aire d’autoroute pour le premier pique-nique met dans l’ambiance solidaire.

Savoir que les photos montrées ici sont d'André Lefebvre, Emile Mulliez et Francis Lajus.

03) Le premier logement, à l’intérieur des terres pour éviter les embarras de Biarritz, a été retenu à Saint Pée sur Nivelle, au km14.

C’est donc là qu’on débarque les machines et, une première fois, les bagages.



04). Manque Yvon Pacteau, le doyen de l’équipe, qui prend la photo du groupe avant de prendre le volant pour l’assistance.

05) Les choses sérieuses commencent au petit matin suivant par l’étape Saint-Pée sur Nivelle - Larrau (126 km).



06) Soit 126 km et 2000m d’élévation en Pays Basque, tel que l’indique l’itinéraire préparé par André Lefebvre qui a aussi recruté l’équipe des courageux aventuriers.

      Equipe Vélo Club

07) Sur décor d’un village basque typique voici l’équipe pyrénéenne du Vélo-Club.

De gauche à droite :

Jean Quenssière, Francis Lajus (président cyclo du Vélo-Club), Bernard Lanssens, Michel Peganessi, Yvon Pacteau (chauffeur et assistance), Emile Mulliez, et André Lefebvre l’organisateur.



08) Départ en douceur avec un passage en Espagne.

Pour l’instant dans la roue du leader hiérarchique.

09) Et déjà une première victoire : le Puerto de Extondo (602m), un (petit) col d’Espagne.



10) L’occasion de se regrouper mais aussi de prendre des photos.

Grâce à quoi ce « reportage » démontre que l’aventure fut très réussie.

11) La montée suivante, encore en moyenne montagne, laisse deviner la majesté des lieux traversés.

C’est toujours du vélo mais c’est un tout autre vélo.

Il fallait venir là pour voir cela!



12) L’incursion espagnole est déjà terminée (km61) avec le col frontalier d’Ispéguy (672m).

13) Les premiers jours la cérémonie est immuable : photo à chaque panneau de col.

Par la suite on s’en tiendra aux cols de légende !


      Le Burdincurutcheta


14) Le Pays Basque est riche de cols épouvantables : aussi impossibles à escalader qu’à prononcer.

Nos Roubaisiens vont descendre à toute allure le Bagargui(1325m par l’est) parce qu’auparavant, comme ici, ils auront grimpé au ralenti le Burdincurutchetat (1135m par l’ouest).

15) Un épouvantail qui veut dire « Petite Croix de fer » et se prononce : « bourdinekouroutcheta ».

Tout le monde aspire au repos ! Ah les vaches !!



16) Ils ne savaient pas à l’avance que l’élévation sur les 8 derniers kilomètres du Burdincurutcheta est de 815m.

Soit plus de 10% malgré un replat à 6% au milieu.

Mais tout le monde y est !

17) L’endroit, sur la route Saint-Jean Pied de Port-Larrau, valait le détour.

Admirons, autour du lac, la célèbre forêt d’Iraty dont les plus beaux hêtres étaient utilisés pour fabriquer les mâts des grands navires à voiles d’antan.



18) Voir c’est bien, boire c’est mieux.

D’où le moment venu pour nos galériens de prendre place en terrasses aux Chalets d’Iraty.

Quitte à repartir avec du vent dans les voiles !

19) Les regroupements programmés par l’organisateur permettent de retrouver l’assistance d’Yvon qui se charge aussi de l’intendance.



20) La fibre touristique fait que le pédaleur s’intéresse à la particularité des lieux.

La Forêt d’Iraty a permis de nombreux faits de résistances quand il était question de gagner l’Espagne, via les vallées d’Aspe et d’Ossau, pour échapper à la fureur Nazie.

      Larrau-Arudy

21) La table est mise quand les cyclos terminent leur première étape pyrénéenne.

Puis extinction rapide des feux car demain sera une autre étape de montagne entre le col de Suscousset (1216m) et Marie Blanque (1035m).



22) Au matin de ce deuxième jour survient un renfort en la personne de Joël Delignies (à gauche).

Joël est un ancien nordiste, de Hem, rencontré à l’Ariégeoise. Il habite désormais du côté de Foix en Ariège.

23) Tout l’art de rouler comme un cyclo c’est de la jouer « modeste ».

Par exemple en se fondant dans le paysage grimpant.



24) C’est ainsi qu’avec modération et obstination on arrive, après Sainte-Engrace et tout près de la Pierre Saint-Martin, au col de Suscousse (1216m).

25) A cet endroit la route n’est pas facile à trouver.

D’où le recours à la Michelin pour André l’organisateur qui propose d’enchaîner, en 15 km, le col du Soudet (1540m), le pas de Guilhers (1436m) et le col de Labays (1351m).



26) C’est alors qu’intervient, en « assisteur » expérimenté, Yvon :

« Moi je me rends directement au col de Houratate (1109m). Bon courage d’ici là ! »

27) Alors, quatre cols plus loin, chacun mérita sa pitance.

Mais pas le droit à une méridienne car le plus dur était à venir en final de cette étape de 100 bornes.


      Marie Blanque


28) Les valeureux cyclos ne sont pas trop pressés : ce serait bête de ne pas contempler le paysage.

29) Ainsi le contrebas de la vallée d’Aspe leur permet-il de réaliser la chance qu’ils ont d’être arrivés là.



30) Puis, avec le panneau annonçant 13% après deux km à 11%, de se glorifier :

« Plus le cyclo grimpe, plus il s’élève ! »

31) « Oui, certainement », conviendront-ils.

Quitte à avouer que grimper Marie Blanque … c’est autre chose que la Maïté du coin !




Pour voir si, après cela, ils ont osé le Tourmalet ... CLIQUEZ ICI


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