39) La route Principale de Wismes oblige donc à s’employer sur un long faux plat montant.

40) Comme dans chaque village traversé, les hanitants de Wismes sont prévenus du passage du Lille-Hardelot 2013.

41) Ils doivent savoir que les cyclos s’arrêtent au village , au 91e km de leur parcours, devant la salle des fêtes.

L’occasion d’y saluer des Randonneurs du Douaisis.

42) Et de couper dans leur élan les cyclos de Saint-Saulve.

Pour rappel leur Quercitour de sept jours à travers la France en direction de Cannes commence début juin.

43) Joyeuse et habituelle rencontre aussi des cyclos de la Roue libre de Steenwerck.

44) Et le fier escadron des cyclos de Wavrin qui a réussi à tenir un bon tempo de 25km/h.

45) La table qui est mise à Wismes confirme la bonne impression de Roquetoire.

C’est Byzance.

46) Avec une variété de mets qui épate.

Ainsi le réassortiment en figues sèches.

Sans oublir les petits sandwiches au jambon!

47) Puis une boisson très au goût du jour, de couleur rose.

48) Si tout va bien pour la plupart, les 110 premiers kilomètres ont fait souffrir certaines musculatures.

Alors, en ce jour de fête des Mères, maman est à la fête et les enfants s’inquiètent un peu.

49) Christian Palka a la mine des jours de forme tandis que Michel Pluquet se réjouit d’être à ses côtés.

50) Notre journaliste sportif nous ménage une pose avec l’humoriste Arnaud Tsamère (au look irrésistible, dit ma voisine !) et du directeur du Vélodrome couvert de Roubaix, Stéphane Pouilly.

51) Un stand Shimano sur la place permet de soigner les machines et surtout d’ajuster les dérailleurs:

l'usage du petit plateau est essentiel!

52) A ce moment la randonnée est déjà bien engagée.

Alors les cyclos SMCA, sous la conduite de leur patron Jacky, sont confiants pour la suite montagneuse.

53) Ils ont même l’occasion d’encourager un néophyte qui, sur un nouveau Trek Domane 4.3, voulait entamer sa carrière de cyclo par un Lille-Hardelot.

Ce qui en jette, au boulot, à la maison, à la Région et dans le Monde.

54) Ici le cliché sera en deux temps car le groupe des cyclos de Lys les Lannoy n’est, parait-il, pas au complet.

55) Un peu plus tard (beaucoup plus tard, jurent certains) il l’est avec le renfort du chauffeur de la camionnette et l’arrivée de Thierry.

Mais où était donc passé Thierry ?

Il travaille trop le mécano de chez Barelli ?

56) De Sallaumines, Jacqueline Troy et l’escorte qui, dans les grandes montées, doit la laisser s’envoler.

57) Grande largeur pour le groupe imposant des cyclos de Beuvry ici motivés par leur président reporter Jacques Ryckewaert.

58) Le groupe a aussi la bonne fortune d’être encouragé par Jean Marie Leblanc, le parrain du Lille-Hardelot 2013.

59) Le parrain et le président de l’organisation, Philippe Crépel, ont l’occasion de complimenter les Lillois Héléne et Dominique Farçy qui ont un palmarès de grands randonneurs et de grands voyageurs époustouflant.

60) A la sortie du ravitaillement de Wismes, les choses sérieuses reprennent même si l’on ignore toujours le nom des montées, à l’exception des plus célèbres.

61) Mais qui voilà ?

C’est Kiki qui a troqué le maillot rose des « Leffe-toi et Roule » lillois pour le maillot vert de Lillers.

N’est-ce pas un peu riquiqui ? Son homme, lui, porte casaque d’Isbergues.

62) Première ligne des cyclos de Wizernes, un grand club des alentours de Saint-Omer, donc proches des lieux traversés.

62) Puis une seconde salve alors que, derrière, le peloton est longuement étiré.

64) A l’aise Blaise, ou plutôt Arnaud Tsamère et Stéphane Pouilly tous deux à la socquette légère.

65) A croire que le printemps avait attendu Lille-Hardelot pour son apparition sous le pommier en fleurs.

66) Les beautés de la nature n’empêchent pas les souffrances du genre humain.

Ainsi raisonne peut-être Daniel Gozet du Dunkerque Littoral Cyclisme!

67) Si la montée en pleine nature a quelque chose d’infernal, les Diables Verts sont doublement ravis.

68) Un kilomètre plus loin, après Drionville, l’escorte sallauminoise est victime du mauvais sort.

69) Puis vint le moment où l’on voulut connaître le nom de la côte tellement elle était longue et raide.

70) Avec, pour commencer, un beau virage que certains abordent le plus à l’extérieur possible.

71) Mais, à en juger par le sourire vêtu de blanc, la souffrance n’est pas la même pour tous et toutes.

72) Pas de problèmes pour ceux dont le cuissard porte la mention « Confort Gaz » !

A toutes fins utiles ?

73) Recadrement ( ?) d’image pour que le virage puisse se prendre le plus largement possible.

74) On serre les dents pour maintenir sa position car c’est fou de voir la différence des forces.

75) Juste le temps, au passage, de reconnaître Jacqueline qui a laissé les autres derrière.

76) Puis Hélène qui, elle, a laissé partir son Dominique … devant.

77) Arrive le sommet et donc le moment de s’enquérir du nom de la côte :

« C’est le Mont Bart … mais tu me l’as déjà demandé l’an passé ! »

Sympa et connaisseur l’informateur, venu en voisin et sociétaire du club de Wizernes.