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POUR SOUTENIR L EQUIPE DE FRANCE RUGBY FRANCIS PROVO EN NOUVELLE ZELANDE (1e Partie/3) ANTIPODES 201

Sport et tourisme de Francis avec Marc Bouet Aventure

du 09 au 29 Novembre 2010 inséré le 2011-10-20

Si le coeur du site bat au ralenti il bat encore pour soutenir les chances des rugbymen de France en Nouvelle Zélande ce dimanche matin.

D'où la mise à jour du reportage de Francis Provo revenu d’un Tour de Nouvelle Zélande organisé par MBA, donc des Antipodes.

01) D’habitude ce n’est pas du voyage aller et retour que l’on parle à propos d’un beau périple cyclo.

Mais ici, force est d’évoquer un long voyage aérien de 20000 km qui dura 29h entre Paris et Auckland.

Avec escale à Dubaï (Emirats Arabes) puis Sydney (Australie).


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02) Or l’étape Dubaï-Sydney se fit à bord d’un A380, soit l’Airbus de la nouvelle génération.

Avion transportant quelques 800 passagers bénéficiant, à bord, d’un formidable confort : sièges, écrans de vol, ravitaillement (plus que cyclo !) … sans parler de la compétence des hôtesses de l’air.

03) A Sydney (Australie), Francis sait qu’il ne lui reste plus qu’un saut de puce de 2000 km pour arriver à Auckland, l’aéroport principal de Nouvelle Zélande, même si la capitale du pays est Wellington.



04) En transit à Sydney, Francis, cyclo de Comines 59 officiant comme pompier à Marcq en Baroeul, n’oublie pas d’où il vient (= de France) ni où il va (= dans un pays de rugby) à savoir la New Zealand.

05) La Nouvelle Zélande, grande comme la moitié de la France pour 4M d’habitants (comme la Wallonie ou le Nord!) se compose de deux grandes îles, nord et sud.

En couleur le tracé du voyage cyclotouriste de 2000 km en trois semaines qui, partant du Nord, fera un grand tour du Sud.



06) La trentaine de voyageurs, dont la majorité se connaissent via le canal MBA, débarquent en pays inconnu mais dans une organisation de Marc Bouet Aventure.

D’où la prise en charge des bagages et des voyageurs.

      Avant de rouler

07) Puis les préparatifs de départ cycliste … même si le décor, déjà idyllique, inspire plutôt le farniente.



08) L’expédition Néo-Zélandaise, du 09 au 29 Novembre 2010, concerne 32 personnes accompagnants et organisateurs compris.

On l’a dit presque tout le monde se connaît déjà pour avoir voyagé sur la Route 66, en Grèce ou à Madagascar..

09) Les organisateurs, Corinne et Marc Bouet désormais installés en Thaïlande, auront à cœur que le programme annoncé sur 2000 km se réalise comme prévu et dans les meilleures conditions.



10) Le voyage itinérant, comprend de longues étapes, avec escorte motorisée pour les bagages.

Du sport et du tourisme à la portée de cyclotouristes motivés.

Bien équipés si l’on en juge par les maillots.

11) Chaque matin le Briefing de Marc Bouet.

Le maillot de l’organisation est tout un programme :

il évoque à la fois, outre les montagnes du pays des Maoris, la faune de kiwis et sa flore de fougères.



12) A propos de faune et de flore, dans la troupe pédalante trois courageuses féminines.

Là encore voir sur le maillot les grandes destinations de l’« Happy Bike » :

Aukland, Nelson, Canterbury et Wellington.

13) Le plus beau … c’est Francis !

Voyez son vélo marqué : « MBA chez les Maoris » et « New Zealand » sur le cadre.


      Premières impressions


14) La première étape, Tairua-Rotorua, va donner le ton de l’aventure aussi touriste que sportive :

départ sur les chapeaux de roue, en toute amitié.

15) Puis la variété des paysages d’un pays jamais vraiment plat.

Donc jamais monotone, par bonnes conditions météos, sauf une journée de pluie et un vent (trop) souvent contrariant.



16) Dans cette ancienne colonie britannique, indépendante depuis 1947 mais toujours membre du Dominion, on roule à gauche.

17) Comme les routes sont peu nombreuses, les grands axes sont très fréquentés.

Avec des camions énormes qui attendent des cyclistes qu’ils restent … sur le bas coté matérialisé par une bande blanche.



18) Une bande blanche que vise le cycliste soucieux d’atténuer le désagrément du revêtement très rugueux.

19) Impossible d’en faire l’inventaire mais, en ce printemps austral, les beautés de la végétation donne maintes occasions de contempler.

Et de photographier.

Souvent devant, Francis ne va pas se priver.



20) Impossible aussi de faire état de tous les moments de restauration et de tous les lieux d’étape, mais « ils » ont bien mangé !

21) Et bien logé, comme ici au Volcanics de Rotorua !

Impossible d’ignorer que le pays des illustres « All Black » organisera la prochaine coupe du monde, en septembre 2011.


      Ile volcanique


22) L’île du Nord est, marquée par une intense activité géothermique, très volcanique et donc très particulière.

23) Premier grand moment du voyage, la visite du site des geysers de Rotorua avec l’eau chaude qui affleure et parfois jaillit du sol.

Au repos comme ici c’est de la boue brûlante qui grouille dans le cratère.



24) Le site est aménagé pour la visite mais avec des règles de précaution strictes :

il faut rester sur le ponton … et contempler le bassin d’eau sulfureuse en ébullition dans cette réserve thermale très colorée.

25) Avec des conséquences sulfureuses et oxydantes sur la flore voisine.



26) A 50 km de Rotorua, le parc naturel de Waiopatu vaut le détour des touristes, tandis que les poids lourds continuent leurs transports.

Souvent du bois.

27) La « Piscine de Champagne », ainsi appelée à cause des bulles qui remontent à la surface.

Puis, pas loin de là, la "piscine thermale" naturelle de Waiopatu où l’on prend son bain dans une eau presque trop chaude en plein air.



28) La rivière Waikato dont les eaux sont d’une pureté inouïe.

L’occasion de rappeler que la Nouvelle Zélande est l’un des pays au monde les plus soucieux de protéger son environnement.

      Culture Maori

29) Au-delà des geysers, la ville de Rotorua (60000 habitants) est surtout la capitale de la culture Maori.



30) Les Maoris (15% de la population actuelle) sont arrivés dans ces îles un peu avant l’an 1000.

La découverte du pays par les Européens date de 1769-1770 avec James Cook qui, à bord de l’Endeavour, cartographia cet espace lointain.

31) Les touristes, s’ils n’ont pas peur du célèbre Haka Maori, sont invités à une soirée découverte au village, bien nommé, de Te Whakarewarewa (ouf !).



32) La visite se termine par la dégustation du « hangi », le plat traditionnel à base de patates douces cuit dans des fours souterrains chauffés à même la boue brûlante.

      Direction Antarctique

33) Après quoi, toujours dans l’île Nord (Te Aka-a-maui) il faut poursuivre la route en direction de l’île du sud (Te Wai pounamu).

Avec un beau lever de soleil, 6h du matin dans la station de ski Whakapapa, sur le Mont Ruapehu (2797m), qui est un volcan actif, pour l’étape Turangi-Wellington.



34) Pour les cyclistes la chose est maintenant bien entendue :

le partage de la route fait que l’on se tient, en file indienne, sur le bas-côté.

35) Ce qui n’exclut pas de s’arrêter à chaque bonne opportunité.

Ainsi pour prendre des nouvelles de deux Suissesses roulant avec armes et bagages à travers le monde.




Pour vérifier que, en Nouvelle Zélande, le Sud vaut aussi bien que le Nord … CLIQUEZ ICI


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