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2e RAID PARIS ROUBAIX VTT (1e Partie/5) DEPART ARENBERG

Quelques 1300 inscrits … et des poussières.

le Dimanche 10 Mai 2009

Bien né en 2007, pour alterner avec le Paris-Roubaix Cyclo des années paires, le 2e Raid VTT en Enfer du Nord s’est montré rude et savoureux. Ceux qui venaient pour déguster … en ont bavé.

01) A l’arrivée le cri était unanime : « Paaaa – triiiiiiick ».

Une journée de galère pour Pascaline et Tania, deux tournaisiennes sur le même tandem récalcitrant. Mais à la fin … que du bonheur.

Patrick Lamoitié, responsable de l’organisation, n’oubliait pas d’évoquer l’équipe des Bikers qui lui fait confiance et les Routiers du Vélo Club de Roubaix qui soutiennent l’infernal événement.



02) Le bonheur c’est de finir les 120 bornes du Raid par un tour du vélodrome de Roubaix.

L’émotion est intense pour Chantal qui sprinte pour entrainer dans son sillage l’équipe des cyclos de Wavrin.

03) Après avoir bouclé cette longue distance où les secteurs pavés bondissants le disputaient aux chemins creux on pose.

Ainsi le groupe compact Vélo Santé Loisir de Saint Python (59).


      Au petit matin d’Arenberg


04) Les premiers départs seront donnés à 7h dans l’enceinte du site minier d’Arnberg.

On y retrouve, en compagnie de Patrick, Gaétan Catrice qui est l’auteur de l’affiche « 2e Raid Paris Roubaix Vtt ».

05) Plus de 1100 Bikers s’étaient inscrits à l’avance. Par rapport au nombre total c’est une proportion énorme.

Un Raid de Paris (Arenberg, en réalité !) ne s’improvise pas. Surtout si l’on s’organise en club.



06) 200 inscriptions du jour, pour un total de 1303 inscrits, reçues par Monique Ruiz et encodées par le président de la section Cyclotourisme FFCT (route et vtt) du Vélo Club Roubaix, Francis Lajus.

07) S’agissant d’un « ville à ville », un service transport de bagages a été organisé.

De même une navette en bus pour ceux qui, le soir à Roubaix, voulaient récupérer leur véhicule laissé à Arenberg.



08) La plaque de cadre (au guidon chez les Bikers) fera office de beau souvenir.

Pour l’heure il s’agit de l’installer.

Avec application chez les jeunes de Créteil.

      ``

09) Dans toute leur splendeur : Pascaline et Tania ont formé le seul tandem « féminin » du raid.

Avec une ardeur d’avance quand les problèmes techniques (chaines et pédalier) ont été résolus.



10) Elles ont eu droit à une fameuse « Escort Boys » qui suivait … tant bien que mal.

      Devant le chevalet

11) Le site minier d’Arenberg où furent tournées de nombreux scènes du film « Germinal » de Claude Berri, offre un décor allégorique : aller au charbon et rouler en enfer.

Ainsi les Bikers d’Aalst (Alost).



12) Mais aussi le trio formé par Cyrille et Alain accompagnant Claude, endeuillé par le décès de son papa.

13) L’humour ne perdant pas ses droits, Kiki dicte la bonne conduite à ses compagnons de la Chti Connection :

« Leffe te … et roule ! »



14) Plus rusé que les Renards des Sables de Flines les Râches, le représentant des Bikers d’Aniche.

15) Scène ordinaire de départ d’un grand événement :

pose du groupe frais et dispos.



16) La même scène, revue et corrigée, pour la postérité des Bikers de Roost-Warendin, près de Douai.

17) Au hasard de retrouvailles: point commun entre PSA Peugeot et la SMAN, en Valenciennois.



18) Enchantés de l’édition 2007, les Bikers de Nivelles 2000 sont revenus à la charge.

Au final ils seront encore plus enchantés d’un parcours modifié pour franchement faire du Vtt.

      Première vague

19) C’est de là qu’on « dépar … », à en croire la banderole qui déborde de la photo.



20) On parque les Bikers impatients, avant 7h, sous le contrôle de Jacques Montagne et Serge Declercq.

21) Prêts à rugir, les fauves qui vont se jeter en Enfer en partant dans la première vague.



22) Dans une grande envolée lyrique, Patrick (pensez au cri des filles : Paaa – triiiiick !) explique que l’organisation a tout prévu :

« Un parcours infernal et une organisation au top ».

23) Son propos est tout en nuances : « Je vous jure que vous allez en baver ! ».

On s’en fout, c’est parti !



24) La première vague c’est par sage précaution ou avec la furieuse envie d’en découdre.

Le « premier » va boucler le raid à 30 km/h de moyenne.

Voir, en orange, l’ancien triathlète anderlechtois Patrick (lui aussi !) Van Vlierberghe.

25) A chacun de reconnaître son poulain dans le paquet.

Ou alors les Renards des Sables.



26) Et bonne chance aux Bikers, en jaune, de Nivelles 2000.

      Quand c’est fini …

27) On recommence avec la 2e vague. Puis ainsi de suite.

En musique grâce à la complicité d’Yvon (78 ans) l’accordéoniste et l’homme de service du Vélo Club.



28) On ne verra pas tout le monde, mais on s’en voudrait de manquer les représentants de Saint-Omer.

Les journées de la Semaine Fédérale proposent aussi des parcours vtt.

29) Autour de Lesquin des maillots divers.

L’occasion de se retrouver pour traverser le Nord.



30) La jeune équipe de Courbevoie a campé sur place.

Encore mal réveillée mais compacte au début de cette journée d’aventure.

31) Les Bikers de Gravelines vont passer de la côte à l’intérieur des terres de la région Nord-Pas de Calais.



32) Scène cocasse d’un auto-reportage avec un fort accent du midi : « Comment se fait-il qu’il ne pleut pas ici … dans le Nooooooooooord ? »

Che te mi … le soleil a répondu.

33) En compagnie des Velotrainer, avant de les retrouver sur internet.




Pour d’autre partants et les premières pédalées … CLIQUEZ ICI


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