36) Le tandem était au pied de la butte qui en fit grimacer plus d’un ?

Il sera bientôt au sommet.

Sans défaillir car … avec un cœur gros comme ça !

37) Les couleurs de Méricourt se sont à leur tour élevées sur le pavois.

Alors on pavoise.

38) Faute de recevoir une pelle, le Palot montre qu’il n’est pas totalement anémié.

39) La bouche toute grande ouverte, c’est pas le moment de tomber à l’eau.

40) La grimace de celui qui y prend goût a quelque chose de sublime.

41) Arc-bouté sur la machine, c’est le cadre qui risque de plier.

42) Le parcours n’hésite pas à envoyer les bikers en exploration d’une zone où la nature peine à retrouver ses droits.

43) L’espace abandonné est loin d’être plat. Fameux terrain de sport.

44) Nouvel assaut sur un sentier qui n’est même pas encore tracé.

45) Le décor parle de lui-même.

Omniprésence du terril que l’on a contourné il n’y a pas si longtemps.

46) C’est alors que déboulent les B.C.J. du Tournaisis.

47) Il s’agit des organisateurs, Bruno, Christian et Joël, d’une randonnée VTT qui amorce la saison d’hiver.

48) Autre espace à sensation, le plateau arasé du terril de Fouquières.

Encore faut-il y accèder.

49) La plus longue montée, en ligne droite, du parcours.

50) La différence de force provoque une sorte de bouchon avant le basculement.

51) Le panorama parle encore de lui-même.

52) On dirait que le cortège des bikers embellit la nature.

53) Pourtant, vus de près, les bikers sont souvent grimaçants.

54) Puis l’impression qu’ils sortent de la mine en pédalant.

55) Au risque de donner l’impression d’un décollage.

Vu d'un Pyramide Passion sur fond de terril.

56) Alors c’est l’extrême jubilation. Précoce.

57) Retour à la réalité du charbon : l’ardeur reste de mise.

58) Sauf que le gamin met tout le monde d’accord :

« C’est une belle randonnée ! », convient-il.

59) Un petit tour du plateau conduit évidemment au portail qui invite à la plongée.

60) Alors, sans frémir, il suffit de redescendre ce que l’on avait monté.

61) Une sorte de pâlotte plongée vers l’inconnu.

62) Avec le souci de garder l’équilibre en préparant l’atterrissage.

63) Puis le retour au calme à l’issue de sentiers tourmentés.

64) Véritable intermède avec cette plantation de bouleaux.

Cet arbre qui investit naturellement les terrils dégradés mérite d’être encouragé.

65) Après les bouleaux … le ravito.

Du gâteau.