35) « e pluribus unum », la devise des paras-commandos rappelle que l’union c’est la force et qu’il y a plus de joie à pédaler entre amis.

Même si le chemin est parfois difficile.

36) Mise à l’épreuve : que faites-vous quand le chemin est barré ?

Droit dedans ? Ben mon colon !

37) Dans ces cas-là il y a au moins le photographe … qui se « marre » au canard.

38) Car … tombera ? Non, tombera pas !

Un vrai para-biker reste droit sur les pédales.

39) On ne va pas faire tout un débarquement avec cette vulgaire flaque qui a tout juste mis un peu de piment.

40) Les chemins de terre carrossables reprennent leur droit pour conduire vers Papignies et les bords de la Dendre.

41) Passerelle réservée aux cycles et piétons pour franchir l’affluent de l’Escaut, canalisé mais au gabarit trop modeste pour la navigation moderne.

Alors à quand l’idée d’exploiter la force du courant de nos rivières au lieu de dresser des éoliennes ?

42) N’en déplaise aux partisans de l’énergie éolienne, la force du vent n’est ce matin même pas suffisante pour déployer les drapeaux sur la place de Lanquesaint.

De gauche à droite le drapeau de la Région Wallonne, de la Belgique et de la ville d’Ath.

43) De l’énergie, il y en aurait à revendre si on voulait capter celle des bikers qui se hissent au sommet.

44) L’on pourrait éclairer de mille feux les moindres masures du Pays d’Ath.

Et d’ailleurs.

45) La montée suivante rappelle que plus tu pédales moins vite, moins tu avances plus vite.

46) Mais on a tout le temps.

Y compris celui de batifoler entre les folles herbes.

47) Nouvelle secousse cependant avec le chemin du Haut Marais.

Courte, raide et belle ascension pour ceux qui, comme dit l’autre, : « n’ont plus 20 ans ! »

48) Au sommet (78m), le temps de souffler dans les virages.

49) Puis c’est la descente, via le chemin de la Justice, vers la grande route (N7) Ath-Enghien.

Tout près de Meslin l’Evêque.

50) Les ex voto fixés sur la façade de la Chapelle Notre Dame aux Cailloux sont formels :

« J’ai prié ND et j’ai été exaucé ».

51) Ici les « cailloux », placés dans nos chaussures par les organisateurs, prennent la direction du chemin d’en face avec une longue montée herbeuse en ligne droite.

Alors que prendre, à gauche, la chaussée ramenait direct!

52) C’est du costaud. Pour être ex-haussé, prier ne suffira pas.

Mieux vaut appuyer sur les pédales.

53) Ou alors tout miser sur la petite dope suggérée par le fléchage.

Chacun aura compris que la pointe de la flèche est remplacée par le goulot.

54) A partir de là, il suffira d’avoir une bonne descente.

55) Et même, pour certains, de débouler à toute allure la rue du Pic de l’Esquinterie (sic).

56) Pas mal ces points de repères affichés au local.

Un rapide calcul permet d’établir que, sur le 52 km, il y avait 30 km de chemins divers (environ 58%) répartis en 25 tronçons.

57) Parmi les heureux arrivés, Thierry et François, qui profitaient de cette organisation sur leurs terres athoises pour reprendre leurs activités vtt.

Pose devant les panneaux de l’Amicale des Parachutistes.

En attendant les parachutes … dorés ?

58) L’équipe organisatrice soutenue par, à gauche, la présence de Raymond Vignoble, échevin de la ville d’Ath.

59) Le trio organisateur biker, car « e pluribus unum », Jean Delbecq, Michel Rasson et Jean Loosveldt.

Ces deux derniers étant membres de l’Amicale Régionale des Paras Commandos.

65) Après reportage, de bons clichés nous arrivent de jean Loosveldt, l'un des organisateurs. On en retient trois.

En premier lieu ce joli trio de féminines à qui l'on doit le beau temps de la randonnée.

66) Et puis cette photo, très Audax, où je me retrouve avec Jean Delbecq.

Toujours prêts pour le coup de main.

67) Fallait pas nous inviter ...

Voilà les ceusses ... qui ont épuisé le stock de Moinette.

Un formidable "inter-clubs". La sympathie en plus.

Après cela, on était prêts à s'embaucher chez les paras-commandos! Ou dans la Marine ?

je ne sais plus! HIC !!!!