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TOURNAI JUBARU BIKERS AUDAX AMBIANCE CRAZY (3e Partie/3) 08

Un passage follement Crazy

le Dimanche 26 Octobre 2008

Il n’y a pas que les roues qui sont folles aux Crazy Wheels. Le final de la Jubaru Bikers, teintée d’Halloween, n’est pas resté au ras des betteraves. Des sentiments divers se sont exprimés.

72) La prime de l’élégance pourrait revenir à Michel Moulin, président des cyclos d’Antoing qui trouvait que le parcours 2008 mieux structuré:

« Plus dur mais finalement plus roulant avec la disparition des passages impossibles. »



73) Ce passage là, du côté de Kain la Tombe, donc dans le jardin ne votre serviteur, n’est pas impossible, sauf si l’on veut doubler.

74) En fait les Bikers arrivent à point pour montrer que le sentier existe toujours bel et bien.

Et qu’il ne doit pas disparaître dans la pâture voisine.


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75) Pour Fred, que Muriel suit dans ce « single track », le sentier conduit tout droit dans l’impasse prolongeant la rue de Breuze.

76) La rue de Breuze traversée, c’est l’espace du stade Luc Varennes.

En arrière plan on devine le Mont Saint Aubert que les bikers ont arpenté dans tous les sens.



77) Ici mieux vaudrait ne pas rater son virage. Et prendre la bonne trace.

Le laboureur n’est pas généreux sur l’espace consenti : la largeur d’un boyau.

Or les bikers roulent sur gros pneus !

      Un malheur aux folles conséquences

78) Pour certains, normalement constitués, par exemple pour les routiers-bikers de Lys, cela se passe bien.


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79) Et pour d’autres c’est le coup des boules sur le cadre.

Plus grave que Zidane!

Eclatement cataclysmique !!

80) Puis la chute, le roulé-boulé. En hurlant de douleur, bien sûr.

Comme quelqu’un qui comprend qu’il ne sera plus comme avant.



81) Nous allons alors assister à une horrible scène.

Complètement Crazy, de chez Crazy Wheels, car derrière les masques se cachent des personnalités hideuses.

82) La malheureuse victime de la chute parvient à se relever.

En espérant secrètement encore pouvoir concourir, mais en handisport, catégorie des impuissants.



83) La folie fait alors rage dans l’escorte complètement folle du malheureux.

On vous le disait : « Derrière les masques se cachent des … folles»

84) S’en suit une hideuse mêlée. A la manière du footballeur américain dont on reconnaît la tenue.



85) Puis c’est l’implacable placage. En plein champ. A noter que la tenue américaine est affublée d’une sinistre mention : « Hennebert » .

Autant dire ce qui se fait de plus horrible au moment d’Halloween.

86) La scène devient alors insoutenable : la fessée en public !

Comme à l’école, mes frères ! Du Crazy de chez Crazy Wheels.



87) Et il y en a qui rient de tout cela ! Hideux, n’est-ce pas ?

      Reprendre ses esprits

88) Parmi les rescapés, la fraîcheur d’un cordial bonjour dans ce monde de folles : celui de Laurent Ladevèze, des cycles Ladevèze à Mons en Baroeul.

Il a promis de ne pas raconter ce qu’il a vu.



89) Le coup de folie passé, la Jubaru Bikers reprend son cours final. « A la queue leu leu » dirait la victime de l’accident.

On ne veut plus en parler mais on ne cesse de penser à son malheur.

90) Une tornade blanche efface tout sur son passage : c’est la file des Roubaisiens sportifs.


      Au ras des betteraves


91) Changement de décor avec des bikers qui se retrouvent en plein champ de betteraves.

Là encore le passage du VTT permet de rappeler au laboureur qu’un chemin existe bel et bien là.

92) Comme en pèlerinage sur la route de Saint Jacques, la procession se fraie un chemin entre les betteraves sucrières.



93) Certaines betteraves ayant été arrachées à coup de pédalier, le passage devient acrobatique.

94) Tout l’art est de pencher de l’autre côté qu’on risquait de tomber.



95) Ne pas perdre de vue les Bikers de Bellegem.

Pour eux tout va bien, dans le droit chemin.

      Haut les coeurs

96) Dernier passage technique avant de retrouver Warchin et ses plaisirs de réconfort.

Dernière vue, en arrière plan, sur le Mont Saint Aubert.



97) Ici c’est le premier plan qui retient l’attention : deux « Popettes ».

L’une, Marie, dont on connaît le sourire.

Et l’autre, Pascale, qui nous rappelle quelque chose, dans une vie passée.

98) Si vous parlez de Popettes souriantes, il y a les Pops jaloux ( ?) qui rappliquent vite fait.

En commençant par DDR, Greg et les autres…



99) Cà y est, concernant Pascale, le lien est fait. Voilà 26 ans, elle quittait le Lycée Jean XXIII avec le bac en poche et (du moins je suppose) une très bonne note en Histoire Géographie.

D’où la jalousie de DDR qui n’a pas connu si bonne école.

100) A l’arrivée, Moustache et Marcus se plaisent à remettre les récompenses promises aux « costumés ».



101) En primeur voici la fine équipe de Bikers qui songent à former un club à Bernissart.

On les tuyaute pour s’affilier.

102) La citrouille, sortie du jardin de Marcus, pesait 18,340 kg.

Le Galibot repart avec car, à 40g près, il avait le bon poids.




Une Jubaru Bikers très réussie.

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Vous verrez que le parcours change mais toujours sur la même hauteur.


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