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SOMMETS ALPINS DES CYCLOS SAINT ROCH LESSINES 08

Pour toiser les grands noms mythiques

du 06 au 12 juillet 2008

Le programme annoncé aux Cyclos Saint Roch Lessines a décuplé les ardeurs et les bonheurs : Iseran, Glandon, Galibier et Alpe d’Huez pour 14 d’entre eux en 5 étapes début juillet. Voyage et photos club.

La troupe Lessinoise avait débarqué à Aussois, en vallée de Maurienne entre Modane et Lanslebourg, mais prenait chaque jour les autos pour se rendre au départ de l’étape. Celle-ci prévoyait une centaine de bornes et au moins un grand sommet.

Nos cyclos roulent de manière sportive et n’arrêtent pas dans la montée. D’où des photos prises … soit au pied, soit au sommet. Beau temps durant le séjour, sauf le premier matin dans le brouillard.



02) Le « Bon Plan » c’était d’abord celui du président Patrick Rocher qui se fait une belle et haute idée du cyclotourisme.

Et qui, dans ce projet apprécié par les sociétaires du club, a répondu aux ambitieuses attentes de sociétaires.

Avec Patrick, le cyclotourisme c’est sport, loisir et culture.

03) La première étape fut donc une bonne mise en jambes (96 km avec 2050 m d’élévation) passant par le peu connu mais sympathique col du Bon Plan (1440m), avant de regagner la vallée de la Maurienne, via Saint Jean et Saint Michel.



04) Essayez donc le col de Chaussy (1533m) qui se prolonge, via un muletier, pour arriver à La Chambre.

Patelin au pied du col de la Madeleine (1903 m) que nos célibataires Lessinois ne vont pas monter… (le col !)

05) Quand, le deuxième jour au départ de La Chambre (encore !), les Lessinois partent à l’aventure ils savent que trois cols les attendent : le Glandon, la Croix de Fer et le Mollard.

Tout le monde d’accord ?



06) Voilà déjà le sommet du Glandon, où chaque Lessinois arrive vaille que vaille.

L’un après l’autre, sans donner de nom.

07) Puis c’est la pose devant le panneau du col : 1924m.

D’abord à deux.


      Sur les hauteurs


08) Puis à plusieurs quand on connaît déjà bien les lieux.

Etc…

09) Or, au sommet du Glandon, savez-vous quoi il y a ?

Une route d’encore deux kilomètres montants.



10) Des kilomètres tranquilles quoique fort « moutonnants », à 5 ou 6 %.

11) Car arrive en effet le sublime col de la Croix de Fer (2067km).

L’un des plus beaux sommets de France.



12) Le panneau, plus facilement ( ?) que la croix, mérite bien une photo de groupe des « Rochtiers » de Lessines.

Ont participé : Carlo Melison, Jonathan Gauguier, Denis Connart, Sébastien Dupont, Patrick Rocher, Pascal Plaitin, Christian Mortehan, Alain Bureau, André Leseultre, Gregory Vanderstichelen, Michel Jaivenois, Michel Letouche, Christophe Rennoir, Jean Claude Corbeau.

13) Le paysage dans la descente vers Saint Michel de Maurienne n’est que du bonus.



14) Sauf que certains ont tenu à mettre, en plus et en tournant à droite, le col du Mollard (1638m) à leur palmarès.

      Le troisième jour, Iseran

15) Au pied de l’Iseran, le plus haut col routier de France, les Saint Roch de Lessines réunis.


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16) Au-delà de Bonneval sur Arc, une photo de sublime paysage.

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17) Et vue typique d’un village de haute montagne des Alpes du Nord.


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18) A force de grimper … la très haute montagne.

19) Puis le sommet routier passant par le col de l’Iseran, 2770 m.

Qui dit mieux ?



20) Les routes de haute montagne sont rarement aussi tranquilles que celle-ci.

Etape de liaison.


21) Puis, au détour d’un effort supplémentaire consenti par certains, le col du Mont Cenis (2083m).

A ne pas confondre à l’incertain « Mont Génisse » bien connu au pays de la Blanc Bleu Belge.


      Galibier


22) Chaque journée méritant sa peine, c’est reparti vers les hauteurs.

Encore en surplomb de la Maurienne.

23) Puis repos, très provisoire, au col du Télégraphe (1566m) qui, tant en hiver qu’en été dans la station de Valloire, n’est que le marche pied … de l’immense Galibier.



24) Là, même les « roctiers » de Saint Roch se sentent tout petits, face à la grande montagne.

25) Les derniers lacets, versant nord, y sont aussi sublimes qu’incommensurables.

Souffle coupé.



26) Le panneau, bardé de « vélo »-collants parle de lui-même : haut lieu du cyclisme.

27) En toute modestie, le cyclo ordinaire Saint Roch de Lessines … au sommet.


      Huez aussi


28) Au lendemain du Galibier, il fallut remobiliser les énergies pour partir à l’assaut d’un autre monument.

29) Rien moins que la désormais légendaire, et balisée comme telle, montée vers l’Alpe d’Huez.



30) En vrais cyclos qui ne s’en laissent pas conter, certains cyclos Lessinois ont dépassé la station pour prolonger l’effort.

31) D’où la consécration de leur passage au col de Sarenne qui, à 2m près, serait dans les plus de 2000m !


      Ambiance club


32) Les plus hauts sommets ayant été atteints, par les uns et presque tous les autres, les cyclos Saint Roch de Lessines sont bons pour le compte-rendu de leurs exploits.

33) Ce n’est vraiment pas le moment de révéler que, chaque soir, ils se retrouvaient … au Barillon !



34) Or le dit Barillon n’avait jamais liquidé tant de Leffe.

Ni tant de Périer !.

35) D’ordinaire Aussois est un village de montagne tranquille où il fait bon … ne pas pédaler.



36) La Roche du Croué, chambres et table d’hôtes (3 épis), est une adresse recommandée.

37) En cas de coup dur, les pompiers d’Aussois sont là … même pour le folklore.




C’était, parmi tant d’autres sans doute, le témoignage d’un club à la hauteur.

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