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VOYAGE CYCLO A SANCERRE GRAND CRU (2e Partie/2) 08

Bien pédaler pour bien voir et bien aimer

du Mardi 22 au Vendredi 26 Juillet 2008

Après la première étape en Puisaye vers le nord, nous partirons vers le Pays Fort à l’ouest puis vers le Nivernais au sud. Avec des retrouvailles vespérales au sommet de Sancerre.

25) Voilà un site BCN/BPF bien choisi.

Sancerre se revendique d’être un vin de rois, connu de New York à Tokyo …

et donc pas assez souvent chez nous autres.



26) L’Hôtel du Rempart qu’il nous faut quitter pour de nouvelles aventures.

27) Vue de la fenêtre de la chambre, direction Saint Satur :

photo … Moustache ?


      Direction Chavignol puis Belleville


28) Pas de chèvres en troupeaux sur les routes, donc pas de crottin !.

Mais du côté de Chavignol, les panneaux fleurissent avec la spécialité locale se conjuguant avec le Sancerre.

29) La Loire est restée assez sauvage car on a préféré construire un canal « latéral » qui la longe.



30) Reprise dans le projet de VéloRoute européen traversant le continent d’ouest en est (ou l’inverse !) en suivant la Loire, le Rhin et le Danube, la « Loire à Vélo » vient de s’agrémenter d’un circuit de 45 km dans le Cher.

A nous d’en profiter.

31) Le tronçon convoité conduisait à la centrale nucléaire de Belleville, à la limite de trois départements : Nièvre, Cher et Loiret.

De l’énergie pour tout le monde. Et des retombées aussi …certainement.



32) Le parcours est tranquille mais certaines montées sont terribles.

D’où la nécessité de laisser souffler ... le senior du groupe?

33) En direction de Bonny sur Loire, une partie des Coteaux Giennois, l’un des trois grands crus.


      En Pays Berrichon


34) L’entrée à Beaulieu sur Loire, qui vaut bien tous les autres Beaulieu de France, se fait en franchissant une nouvelle fois le canal latéral à la Loire.

35) Le temps de vivre en cyclotourisme c’est aussi cela.

L’économie locale ne regrette jamais notre passage.



36) Mais le devoir de la route nous rappelle illico la suite du programme.

Finis les délices de Beaulieu.

37) Arrêt à Santranges pour l’une des architectures de Roman Berrichon (XIIe) ponctuant la route du jour.



38) Après tant d’efforts, et un crochet jusqu’à Henrichemont en Pays Fort, le réconfort s’impose.

39) Le final, c’est obligé, nous ramène à travers les coteaux costauds du Sancerrois.

Ne pas manquer Bué. Et donc une bonne … buée !



40) Puis le retour vers Sancerre via la D955. Pittoresque !

41) Inévitable mais grandiose photo de fin de journée.


      Le troisième jour en Nivernais


42) On vous épargne les étirements matinaux. La journée nivernaise impose de passer par Vinon.

Ce qu’on venait de descendre, il faut le remonter. Donc étirement du peloton.

43) Puis les vignobles laissent la place à de nouvelles campagnes.

Avec, devinez quoi …



44) Et puis les châteaux qui seraient prétexte à l’admiration.


Les douves de celui-ci s’honorent d’être enrichies du pipi de … Nadine.

45) Il fallait filer jusqu’à Apremont sur Allier pour profiter de ce nouveau BCN/BPF de la Niévre.

L’un des plus beaux villages de France, doté d'une rare écluse circulaire.



46) L’Allier se jette dans la Loire au sud de Nevers où repose la dépouille de Bernadette Soubirous.

Mais c’est à la Charité sur Loire, devant ce qui reste de l’abbaye clunysienne que la troupe s’arrête.

47) Tels des pèlerins de Saint Jacques qui, au départ de Vézelay, venaient franchir le pont sur la Loire mais aussi chez les moines … quérir la charité.

D’où la Charité sur Loire et son décor gothique.



48) Un double pont permet en effet de franchir les deux bras de la Loire qui reste le fleuve le moins canalisé, et donc le plus sauvage, des fleuves européens.

49) Sur un cours d’eau aussi tortueux que l’était jadis notre Escaut, les anciens « mariniers » qui halaient les bateaux se relayaient en prenant des raccourcis.

Ainsi le chemin des mariniers correspond, à Kain, au chemin des Pilotes !


      La fin n’est pas forcément triste


50) Puis le final des finals … pour les finots.

Dernière re-montée à Sancerre.

51) Donc c’en est en fini des galères assoiffantes sous le soleil.



52) D’ailleurs Jackie a pris les devants.

Un seul verre !

53) Avec la complicité de son homonyme Jacky, notre hôtelier qui le reverra lors des prochaines vendanges.



54) Dernière terrasse, la meilleure, pour les retrouvailles du soir.

55) Réunion de famille où chacun reconnaîtra les siens.



56) En hommage à Jacky Fleuriet qui, en son hôtel du Rempart mais avant nous, avait déjà accueilli quelques vedettes du Show Bizz parisien : Carlos, etc …



L’un des voyages les plus tranquilles et les mieux réussis, tout près de chez nous.

Pour retrouver l'ambiance Rouffach en Alsace 2007:
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