Cette année le départ et l’arrivée se faisaient de la Piscine Olympique Max Dormoy qui a l’avantage d’être située à la sortie de Lille et de fournir un vaste parking.

La première halte survient avec le premier obstacle : le Mont Kemmel, avec ses pavés, se franchit sans problème pour les uns (01).

Mais pour d’autres c’est le travers de la route. Attention, il y a danger, Mam’zelle ! (02).

Et voilà que le Crédit Agricole, en personne, se retrouve à terre. Pas de mal heureusement (03).

Pour les survivants qui atteignent le sommet de Kemmel encore embrumé, le réconfort du ravitaillement est bienvenu. Grosse affluence mais l’équipe de l’Urfa-Lille est forte et empressée (04).

Après l’arrêt à Kemmel, la deuxième étape, plutôt vallonnée, se termine au sommet du Mont des Cats signalé Urfa-Lille, le club du président Jean Claude Hennebicq (05).

L’équipe urfiste de service est composée, outre du bon vieux Beranrd Dendievel (2e à gauche),de jeunes (!) baroudeurs, dont Yvon Tinel, à droite, qui revient d’un Paris-Brest en 55h30 (06).

Les contemplatifs peuvent profiter de l’arrêt pour jeter un coup d’œil sur la plaine des Flandres, là où, vous le savez, la platitude atteint son sommet (07).

Le point ultime, et le plus élevé, de la randonnée passe par le Mont Cassel (134m) que l’on gravit par la Voie Romaine, montée ouest, très spectaculaire (08).

Avec un maximum d’énergie quand on est jeune et costaud. Noter que le malheureux Crédit du Nord, à gauche, s’est bien remis en selle (09).

Avec énergie certes mais aussi, parfois, avec l’énergie du désespoir ? (10).

Entre les Monts Noir et Kemmel on retrouve la plaine des Flandres mais dans une zone presque bocagère (11).

Ce qui permet de beaux regroupements pour mieux aborder le Monteberg, dernier point d’accueil avant le retour à Lille (12).

Selon une vieille tradition pratiquée par de nombreux cyclos, l’arrêt au Monteberg est utilisé pour déguster la célèbre, mais rare, Carolus qui fait fureur en cet estaminet. On reconnaît, pour les Audax de Tournai venus à dix, Muriel Cordier, assise entre son père Michel Cordier et son mentor Jackie Devreese (13).

Pour certains, dont un certain Pascal qui réclame l’anonymat, le ravitaillement se prolonge… (14).