Nombreux sont les compte-rendus sur ce magnifique rendez-vous Ardéchois. Nous avons trouvé très vivant celui de Pierre, alias Peter ou Pierrot, Carlier qui tient à jour son blog :

http://colsderousies.blogvelo.com/

Avec son accord, reprenons donc les photos d’ambiance et les grandes lignes de son texte.

02) Complice de Peter pour l’organisation de l’expédition, Roland Noiret exhibe le maillot spécial « Che te mi » des cyclos associés Maubeuge et Rousies.

Les dossards étant nominatifs, pas moyen de rouler incognito.

03) Nos Che Te Mi n’ignoraient pas que l’Ardèchoise se pratique aussi en 3 ou 2 jours mais ils avaient opté pour la journée du samedi.

L’équipe, bien affûtée se compose de :

- en bas de gauche à droite : Frédéric Leroy, Roland Noiret, Delphine Le Floc’h, Carole Houriez, Jean Michel Brousmiche, Thierry Houriez, Pierre Carlier.

- au centre : Kevin Pinson, JLouis Borkowki, Didier Dupas.

- en haut : Nicolas Lamoot (Wavrin), Henriet Blanchet et Fabien Six.

04) L’ambiance Ardéchoise a commencé le vendredi, quand tout le monde s’est retrouvé au gîte du Fouard.

A 7 kilomètres de St Félicien, donc du départ du lendemain.

05) En fin d’après midi Peter accompagne Jean Michel et Kevin pour une première découverte du sol Ardéchois : paysages magnifiques et contrastés, déjà sous le soleil.

06) Puis l’heure de passer en cuisine. Préparation, avec amour, du couple de meneurs, Thierry et Fred.

A votre avis, ils préparent quoi ?

07) Un spaghetti bolognaise, pardi. D’ailleurs tout le monde en raffole.

Le repas sera interrompu par l’explosion d’un pneu Maubeugeois, trop gonflé : du bon air du Nord qui s’est échappé en Ardèche.

08) Le lendemain matin, les nordistes décampent à 6h. Peter résume les questions du jour :
- « Ai-je opté pour la bonne distance ? »

- « La chaleur ne sera-t-elle pas insupportable ? »

- « Comment va se passer le dernier col, le plus dur en pourcentage? » …

09) Voici déjà les Che te Mi, dans les sas de départ, en bonne position non loin de la cellule de comptage.

Le manque de fraîcheur matinale présage déjà de ce qui attend les héros du jour

10). L’ambiance est bon enfant. Le speaker repère l’équipe Maubeugeoise et tente de lui arracher ...

« Un clair de lune à Maubeuge » !

11) On n’entre pas dans les détails de la randonnée. Mais impossible de manquer le premier temps :

l’arrivée au col du Buisson qui sera aussi, au retour, le dernier sommet.

12) Il faudrait décrire l’ambiance dans les villages, l’abondance dans les ravitaillements.

Voilà plutôt une image de bord de route : un repos bien mérité !

13) L’Ardèchoise c’est un parcours fantastique, un accueil exceptionnel, mais aussi une incroyable foule de cyclos.

14) L’image qui fait sensation : le Gerbier de Jonc, aux sources de la Loire.

15) De l’avis des nordistes, l’Ardèche c’est un Enfer aussi sympathique que celui du Nord, car c’est un Enfer vert.

16) Retour à Saint Félicien, au terme d’une sacrée pédalée où tout le monde a bien mérité du courage Ch’ti.

Regroupement pour le bilan.

17) Le grand prix de la cascade revient à Delphine qui, gênée par un insecte dans ses lunettes, s’est plantée à 300 mètres de l’arrivée.

Elle en sera quitte pour une bonne peur, une poignée Shimano cassée et … une brûlure sur la cuisse, qu’elle a d’ailleurs fort belle (pas la brûlure).

18) Et cela lui rappelle le bon temps où elle caracolait dans les côtes de la randonnée de Rousies.

19) Repas du soir, au restaurant, avant de regagner le gîte, puis le Nord

(où il faisiat encore plus chaud!).

20) La fête ne pouvait se terminer sans mettre à l’honneur le doyen de l’équipe, Henriet Blanchet : 78 ans … et les Bouttières !

21) Le maillot du Célérifère de Rousies, par temps normal et lors des sorties nordistes.

22) De même le maillot des cyclos et cyclotes de Maubeuge.

23) Le maillot de fête en Ardèche.

Les « Che Te Mi » se souhaitent la bienvenue.