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ROBERT MINTKEWICZ CYCLOSPORT (3e Partie/3) RETOUR FINAL 08

Au bout du brevet, que des vainqueurs

le Dimanche 29 Juin 2008

Une cyclosportive permet une pratique sportive du vélo dans un climat de saine émulation et de vrai dépassement de soi. C’est pour cela qu’on y parle moyenne horaire et qu’on refait sa course.

Le moment de la séparation s’est finalement vite passé et sans heurts.

Les premiers du 110 Senior rentreront en 2h43 (40,23km/h) sur un parcours toujours roulant.

Plus exigeant avec le relief de l’Avesnois, le 180 km conduit la majorité des inscrits au Vaj Joly.



75) L’arrêt a permis de voir la séparation. La moto va nous ramener petit à petit en tête de course.

Dans la traversée de Dourlers il n’y a plus que les dossards rouge du Masters 180.

76) En tête de ce petit groupe, maillot Quick Step, Dieten Ostyn (128e) qui terminera en 5h15 (34km/h).



77) On remonte. Voici l’Orchésien Gérard Lagger (107e), 5e de sa catégorie d’âge en 5h01.

78) Dans les roues on avance bien, mais les bosses du Val Joly imposent de s’accrocher.



79) Même pas satisfaite de sa performance du jour, 98e au scratch en 4h55 (36,5 km/h), Stéphanie Gros n’en était pas moins la meilleure (et seule !) féminine.

80) Toujours du relief marquant même si les côtes répertoriées ne seront que Wargnies, Saint Rémy, Val Joly, St Herman et de Plouy.



81) On retrouve le gros peloton. Avec ceux qui se relaient devant.

Et ceux qui sont bien contents, derrière, d’être toujours là.

82) Parmi les actifs, Philippe Cassette (58e) et Hervé Williate (51e) catégorie F et G.



83) Passage des premiers à l’entrée du site du Val Joly, mi-parcours du 180 km.

      Etonnant ravitaillement

84) La modestie du stand de ravitaillement, près du Val Joly, étonne. Comme,hormis les motards et les autos de l’organisation …, personne ne s’y arrête cela suffit.



85) La mission des ravitailleurs consiste à tendre des bouteilles d’eau.

86) Un ravitaillement au vol qui nécessite une certaine expertise.

Beaucoup d’échecs !



87) Le brevet sportif poursuit son cours et les bosses se succèdent.

88) Nicolas Leleu a frôlé la catastrophe. Un écart au ravitaillement l’a envoyé dans le décor.

Avec courage il va retrouver le peloton et terminer 62e.

Alors qu’il se sentait super … avant.



89) Re-voilà d’ailleurs le peloton qu’il a réussi à ré-intégrer.

Côte de Plouy.

91) Devant, le groupe des cinq roule à bloc et grignote des secondes pour creuser un écart de 7mn.



92) Le calme avant le final permet de faire connaissance : les motards de M.S.O. sont rentrés le matin même de leur escorte de 350 cyclos britanniques sur Londres-Paris.

93) Pour la Gendarmerie nationale, escorte de routine. « No problème » a dit le chef.


      Petits coups de fatigue


94) Pas eu le temps de visiter Maroilles.

Un 2e ravitaillement est annoncé sur la hauteur en sortie de bourgade.

Les premiers n’ont même pas un regard pour la bouteille d’eau qui les ralentirait.

95) Le passage du témoin de la soif se fait parfois de manière acrobatique.



96) Lors du passage du gros peloton, les uns sont mieux servis que les autres.

A droite il y a Philippe qui a loupé sa prise.

Facile de lire « M… » sur ses lèvres.

97) Le Béthunois Denis Duquesne (92e) est le premier à s’accorder un temps d’arrêt.

Il explique avoir été embarqué, comme une centaine ( ?) d’autres sportifs sur une erreur de parcours !

Coup de fatigue ?



98) Là c’est un début de tendinite qui contraint le sportif, pourtant fringuant au Val Joly, au désarroi.

99) Le service d’accueil se sent un peu démuni devant tant de souffrance et de désarroi.

Heureusement l’arrivée est (assez) proche. Courage.



100) Pleine d’émotions, une nouvelle fois, la moto de Freddy va remonter jusqu’en tête.

101) Olivier Steenkiste (59e), Copain Cyclo de Wasquehal, est lui aussi dans le gros peloton. A l'aise!


      Sur l’aire d’arrivée


102) La tête du brevet, vue entre la voiture du directeur de course et de la moto du commissaire FFC.

103) Et puis, sans plus tergiverser, le passage sous le portique d’arrivée.



104) Les temps pris sur le transpondeur placé sur le vélo permet de distribuer immédiatement les diplômes avec le résultat personnalisé.

105) On refait la course, après avoir roulé 180 km dans le même « paquet ».



106) L’heure aussi des congratulations montoises entre compagnons de club et de sport.

107) Récupération de la caution versée pour le transpondeur qui a permis de relever les temps individuels.

Comme dans les organisations les plus huppés. Et un fameux progrès technique.



108) Les parrains, Robert et Olivier, rhabillés depuis longtemps, invitent les sportifs et les bénévoles à passer au buffet compris dans le montant de l’inscription.

109) Alors à table les amis, en attendant la proclamation des résultats.



110) Le podium des 110 km qui, bien entendu, sont arrivés avant ceux du 180 :

Yann Baefcop (E), Kevin Brians (D), Armando Ceci (F), André Reco (H), Régis Delhaye (G), Claudine Leblanc (C) représentée, cités dans l’ordre de leur arrivée.

111) Le protocole se termine, en présence des autorités et des parrains, par une invitation à la Laurent Desbiens, du Chti Bike Tour, le samedi 23 août.



112) La salle, en plein air, ne peut qu’applaudir et attendre la suite des festivités …



Ce jour là, tout le monde a gagné, même les Espagnols.


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