31) Le ravitaillement, en pleine campagne du côté de Landas pour la courte distance, donne droit à un bol de soupe chaude.

Et à un bon accueil.

32) Mais on ne traîne pas. Tout l’art est de prendre les bonnes roues pour rentrer avant midi.

33) Pourtant le malheur insidieux est toujours là, à l’affût.

Fuite !

34) Cela fait bien l’affaire du peloton qui remonte de deux places au classement général.

Vous vous dites que ce n’est pourtant pas une course ? Le vent est favorable!

35) Voilà un cyclo qui n’est plus que l’ombre de lui-même ! La preuve qu’on ne réussit pas toujours la photo.

Que l’intéressé, qui avait pourtant dit « merci d’avance ! » pardonne.

36) Celui-là, avec sur les épaules le boyau à la Robic, on ne pouvait pas le rater.

Mais que lui arrive-t-il ?

37) C’est sa troisième fuite du jour qu’il fait réparer par les sociétaires de son club.

Engagez-vous au Lamain Sport, il y aura du sport … et de la bonne humeur.

38) Quand ça repart, ça ne rigole plus. L’art de rattraper le temps perdu.

39) Tout comme le Quiévrain, le ruisseau Elnon fait, sur une partie de son cours, limite à franchir entre la France et la Belgique.

Quand on habite de l’autre côté de l’Elnon … on est habitant d’Outre Quiévrain ?

40) Le passage de l’ancienne douane, à Rumegies, est aussi débonnaire que le douanier.

Raoul raconte que, chaque jour dans les années 50 et 60, il passait la frontière avec sa sacoche de guidon pleine de sable. De quoi intriguer le douanier qui cherchait chaque jour l’objet de contrebande certainement caché. En vain !

A l’heure de la retraite, le douanier demanda à Raoul : « Maintenant tu peux me le dire : qu’est-ce tu passais dans le sable ? »

Et Raoul d'avouer : « Chaque jour, un nouveau vélo ! »

41) Outre Elnon, donc, les cyclos abordent Rongy, la cité des vergers. Les poiriers sont en fleurs.

42) Superbe drève (allée bordée d’arbres) conduisant au château que personne ne connaît.

Même les cyclos ne la reconnaîtront pas.

43) Le temps de la nuit avait été favorable aux batraciens qui ont, en cette saison, une autre bonne raison de traverser la route pour aller voir dans la mare voisine.

44) Après le moment des jonquilles, les bois d’Howardries sont très fréquentés.

45) La ferme-château sur la place d’Howardries présente une superbe façade.

46) L’un des sites les plus remarquables mis en évidence par la Route Paysagère du parc Naturel des Plaines de l’Escaut.

47) A condition de marquer l’arrêt, sur les hauteurs entre Howardries et Rongy, un panneau rappelle qu’on serait sur le Sentier des Gueux.

Ce coin de terre reste marqué par la résistance et la permanence du protestantisme.

48) Au village suivant c’est Lesdain en Brunehaut, un pays de la fraise mais aussi de pépinières.

49) L’église qui, chaque année donne lieu à un festival de la Rose de Lesdain, reste plantée au milieu des pépinières.

50) La route restaurée entre Lesdain et Bléharies a repris un peu de pavés.

Une sorte d’hommage dans l’entourage de la vedette des lieux qui s’annonce.

51) Moment stratégique pour la crevaison. Voyez le décor, en arrière plan.

52) La réparation prenant beaucoup de temps (oubli du mode d’emploi !), du renfort propose ses services et montre ses vélos insolites.

53) Retour à la Pierre de Brunehaut, encore plus megalithique qu’un vélo couché et le vélo à assistance à électrique.

54) Puis retour à la base ADEPS du Grand Large à Péronnes après franchissement de l’Escaut.

55) Particulièrement motivés pour la bonne organisation de leur Picarde, les cyclos d’Hollain ont souhaité la photo … de famille.

Avec seulement ceux qui pouvaient quitter leur poste!

56) Une dose de bonne humeur permettra d’évincer l’intrus qui voulait absolument montrer qu’il en tenait « une », bien en main.

57) Comme cet olibrius a failli gâcher la photo, voici de nouveau l’équipe des cyclos disponibles du T.C.H.B.

58) Un nouveau et jeune vélociste, ancien bon coureur amateur, vient de s’installer, rue Blanche, à Wiers : Aloïs Lievens.

59) L’invitation est générale : Johan Museeuw viendra présenter la gamme des vélos Museeuw (cadre carbone à base de fibres de lin), ce vendredi 18 avril, de 18 à 20h.

Il y aura foule !