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JOYEUSES ETAPES VELO RICCIONE BIKE (3e Partie/4) MARS 2008

Le Paradis du Vélo, comme de juste, à Riccione

du Samedi 15 au Samedi 22 Mars 2008

Si l’on est bien logés à l’hôtel Dory, le programme Riccione Bike empêche de voir passer les journées. Paysages, villages, côte, excursions, visites, rencontres, restauration … tout y passe trop vite

70) Secundo est une nouvelle fois paré pour le départ des groupes qu’il va accompagner en Vespa pour le film.

Son CD souvenir, réalisé en un temps record, sera superbe. Comme les cinq prochains séjours qui vous attendent en Octobre 2008.



71) Chef des guides, Riccardo Steiner a revêtu la tenue Scott de la marque qui permet à l’hôtel de mettre en location des machines de qualité.

Groupe toujours peu étoffé mais toujours aussi costaud.

72) Parmi ceux qui suivent, Quentin est toujours disposé à jouer de ses mollets footballeurs devenus cyclosportifs.



73) Journée d’action pour Stefano, le patron de l’hôtel, qui se prépare pour la célèbre « Nove Colli » qui le 18 mai, part de Cesenatico et … remplit les hôtels cyclistes, dont le Dory, proches de Rimini.

Et Stefano qui parle aussi bien en français, anglais et allemand qu'en italien de déclarer à la presse:

"I ciclisti sono gli amici di casa mia!"

74) Un grand défilé cycliste, digne de la Ducasse d’Ath.



75) Puis l’arrière garde emmenée par Drelli dont la roue n’est pas sucée mais le mollet droit bien mordu.

76) Ne pas oublier que l’on m’attend au sommet des côtes difficiles qui ont creusé des écarts.



77) La pittoresque cité de Santarcangelo est hantée par de nombreux et débonnaires cyclistes quotidiens.

78) Sur la place, avec une large fontaine au centre, le 4e groupe rattrape le 3e qui ne demande pas son reste et repart sur une plus longue boucle.



79) Amicale pose devant le jet d’eau. Coïncidence, mais une heure après cet arrêt nous allons connaître le seul quart d’heure vélo pluvieux du séjour.

      Excursion Santarcangelo

80) Avec le car, ceux qui l’ont souhaité reviendront pour une balade en cette bourgade riche d’un vieux quartiers aux ruelles très escarpées.



81) Visite d’une ancestrale imprimerie sur tissu de lin disposant d’une presse en pierre unique au monde.

82) Retour, via San Michele, rose maillot sur décor d’amandiers roses.



83) Rencontre au sommet pour le repas du soir à l’hôtel.

84) Puis l’étude, quotidienne, du programme cycliste du lendemain. Doigts pointés sur les ambitions, cartes et profils.

Pour la Strada Panoramica cela ira du 70 km, avec 730m d’élévation, au 120 km avec 1270m d’élévation.



85) Pour certaines étapes … mieux vaut en rire … la veille. Et puis aller se coucher.

Chut, alors, sous la couette.

      Le lendemain de la veille

86) Nouveaux départs, donc, le lendemain matin. D’abord avec les costauds impatients d’en découdre.



87) L’indécision donne parfois prétexte à traîner au garage.

Mais quand faut y aller …

88) D’ailleurs Riccardo annonce son groupe : « Limoncino ! »



89) Vittorio ne va pas manquer le départ des Cappucino Super donné par le coup de sifflet de Maurizio.

90) Personne ne loupe le départ du deuxième groupe qui parviendra, une fois et un moment, par rattraper le premier.


      La chance du groupe tourisme


91) A force d’arrêts touristiques les moins rapides vont aussi être les plus lents.

Halte, guidée par Drelli, dans le bourg de Gradara, célèbre pous ses greniers à blé enterrés.

92) Pittoresque traversée via des ruelles étroites dont les seuils de maison portent un numéro.



93) Il s’agit, devant chaque maison, de greniers à blé dont faisaient usage les Seigneurs d’antan.

95) La suite du parcours ne sera pas de tout repos. Mais pas question de s’arrêter au château de la Malatesta.

Mal aux jambes, plutôt !



96) Après Pesaro le retour se fait suivant la Strada Panoramica. Encore faut-il atteindre le sommet de Fiorenzuola di Focara, au terme d'une côte de 3 km.

97) Après la strada très montante, le panoramica est superbe.

A vous clouer le c. sur la pierre.



98) Et puis, alors que tout le monde s’apprête à prendre de la hauteur …

99) C’est le septuagénaire Drelli qui se sent mal : « A moi les petites Anglaises ! »




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