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Les Paris-Roubaix d'antan

Sur une route de légendes

Sous le soleil ou sous la pluie, dans la boue ou dans la poussière, mais toujours sur le pavé, le Paris-Roubaix Cyclo n’est jamais une randonnée comme les autres. Sa longueur et son recrutement international en font même une épreuve très particulière.

Les Paris-Roubaix d’antan remontent à la fin des années 70 avec l’audace de Louis Delobel alors président du V.C. Roubaix Cyclo. Ils ont ensuite été maintenus avec Jules Crupelandt puis Serge Gossart, avant d’être poursuivis par Guilluy. Aujourd’hui on l’organise les années paires avec Francis Lajus. Donc en juin 2004.

Dans les années 80, Paris-Roubaix-Cyclo connut un extraordinaire engouement. Il fallut refuser du monde pour ne pas dépasser les 5000 participants. Aujourd’hui la fièvre est retombée. Ceci parce les pavés sont vraiment indigestes et, selon nous, parce l’organisation ne s’est pas adaptée à la mentalité actuelle : parcours beaucoup trop long, surtout pour un ville à ville.



01) Paris-Roubaix ce sont d’abord des champs de colza en fleurs. Mais ce serait trop beau. Car les Paris-Roubaix d’antan, surtout les années humides, c’était surtout les crevaisons. Ici, fuite pour Luc Vansaingele qui allait rentrer à Roubaix, non sans avoir réussi, ensuite, à ressouder son cadre du côté de Templeuve.

02) La fuite, à Paris-Roubaix comme ailleurs en fait, c’est toujours prétexte à solidarité. Imaginez le réconfort « moral » pour Oger Leclercq, ici assisté par J. Leblanc, G. Quiévreux, JC Pluvinage et C. D’Heygere.



03) Jadis, dans des années catastrophiques, le nombre de crevaisons étaient telles que les boyaux venaient à manquer. D’où la marche à pied de ces cyclos anonymes. Remarquer aussi leur système de lampes avant : un boitier qu’on mettait ensuite en poche

04) La boue est souvent présente, mais c’est tant pis pour cette cyclote qui s’efforce de tenir le haut du pavé.



05) La longue remontée vers le Nord, n’exclut pas des paysages pittoresques. C’est « Wacheux » qu’on lirait si la photo avait été développée à l’endroit.



N’empêche que cette chevauchée fantastique, maintes fois répétées, nous a valu quelques clichés fantastiques.


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