38) Au large de Bouvines on s’écarte de la Marque pour gagner un terrain qui évoque des batailles.

C’est parce qu’elles voulaient éviter le marécage, que les troupes du roi de France et du Comte de Flandres se rencontrèrent, fort peu courtoisement, en vue du pont de Bouvines en 1214. Victoire de ?

39) Derrière Donat, voyez les restes de l’un des nombreux Blockhaus construits en France dans les années 30 pour fortifier la frontière sans contrarier la Belgique qui avait proclamé sa neutralité.

Pas servi à grand chose, sauf que celui-ci a été habité (!) après guerre, comme en atteste le noir autour de la fenêtre de droite qui servait de cheminée.

40) Sport de jeunes, le vtt a conquis le secrétaire des cyclos d’Antoing. Mais la semaine prochaine (2 Décembre) on ne le verra pas à Rumes, car qui va à la chasse perd sa place.

41) Il suffit d’avoir le cœur bien accroché. Droit devant et en plein dedans.

42) Les passages un peu plus secs sont rares. Christian s’en contente.

43) Quitte à perdre une nouvelle fois sa trousse de secours, Joêl tente de refaire son retard.

44) Que dire de plus ? Si un gamin pataugeait ainsi … on l’engueulerait non ?

La tête de sa mère !

45) Le Chemin du Mont des Tombes c’est comme un bonheur sur ce parcours plat.

46) Surtout qu’on peut garder les mêmes pignons sur ce faux plat… montant.

47) Une aimable montée en ligne droite qui cache un piège.

48) D’un coup c’est la montée suprême … extatique.

49) Evidemment il y a de quoi faire sourire les Galibots.

Ici le tumulus, rien d’autre qu’une vieille motte, élève de cinq ou six mètres.

50) Certains, pas sujets au vertige, vont descendre à « tombeau » ouvert.

51) La pente est abrupte et les ornières, « quadées », profondes.

52) C’est donc une belle (petite) plongée pour regagner la plaine.

53) Désormais, tout près de l’autoroute conduisant à Lille, il ne devrait plus rien arriver de fâcheux.

Mais voir que le parcours prend à gauche car, tout droit, le chemin est en trop bon état!

54) On veut croire que la campagne est comme apprivoisée, à proximité de la civilisation urbaine.

55) Un pont au dessus de l’autoroute est même franchi, sur le tarmac, pour rejoindre Tressin.

56) Mais il faut se méfier des bikers.

Ici la preuve est faite qu’il y avait moyen de contourner la falque.

57) Hé bien ces chenapans de garnements ont préféré rouler dans la flaque. Comme des grands !

58) Ils s’en sortent tout content. C’est maman qui va être heureuse.

59) Cahin-caha, la balade à travers des chemins toujours glissants à travers champs.

60) Et pourtant à Antoing … on prie. On souhaite un bon rétablissement à Jean Paul F.

61) Les quads sont de sortie, eux aussi.

62) Il n’y a plus qu’à partager les mêmes sentiers.

63) Sauf quand c’est « singletrack » à travers … la savane.

64) Retour à la case départ. Avec une soupe chaude offerte tandis qu’on fait la file.


Pourquoi donc ?

65) C’est l’heure, et l’obligation, de laver les vélos, pardi !

66) C’est aussi l’heure du réconfort. Toujours en souplesse.

67) Il fait beau. Les mains sont propres ( ?) mais ni les pieds ni la tête.

68) Voilà d’où viennent les sandwiches. C’est le bon accueil du club de Willems.

69) Sur la terrasse on se relaie pour déguster.

70) Propres comme des bikers neufs, voilà que se présentent Hervé Delfosse et Cédric Meurisse.

Ce dernier, à droite, devenu inspecteur des écoles, se souvient de son bon lycée roubaisien.

... Oui, je sais, encore un élève qui a dépassé le maître.

71) On est content de retrouver Jean Dujardin. Toujours fidèle à son club cyclo de Willems et occupé, avec le moral soutenu par son ami Victor, à se sortir d’un grave accident.

72) Parfait clubman, Jean est assuré aussi du soutien des compagnons de route willemmois.

73) Voici une photo-cadeau dédiée aux bénévoles … qui ont aussi la vie belle.