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Vtt la Galibotte à Noyelles sous Lens (2e PARTIE/2) terrils

« Monter ou descendre ? », that is the question !

le Dimanche 18 Novembre 2007

Pour le très modeste biker d’occasion en Galibotte, les montées impossibles sont suivies de descentes tout aussi impossibles. Heureusement qu’on ne craint pas de marcher et qu’il y a des échappatoires.

34) Vous aviez vu, première d’une longue série, la montée (quasi) impossible ? La descente est réservée à ceux qui n’ont pas froid aux yeux et/ou qui ont confiance dans leurs freins. Ce qui n’est pas mon cas !

Les jeunes bikers raffolent de cela. Et comme dit l’autre qui pense aux anciens galibots : « Nous on a payé pour le plaisir de descendre au fond. » Alors fermons les yeux…



35) Sur un tracé vraiment tortueux, le versant monté et descendu … présente une nouvelle rampe tout aussi impressionnante.

Courte certes, mais raide assurément.

36) On ne se lasse pas du spectacle et l’on prend le temps de mesurer ses chances de succès.



37) Ou alors on tergiverse. Le biker d’Oignies, qui connaît bien les particularités d’un parcours entre les terrils, imagine un problème technique.

L’échappatoire qui en découle … va nous priver de ravitaillement !

38) Ne demandez pas des nouvelles de cette descente.

Pour le coup, mieux vaut en effet foncer tout droit.



39) Le froid dans le dos qui en suivit, on ne pouvait pas l’éviter.

      Dans un monde inconnu

40) Le temps de passer des contours d’un terril à l’autre, le parcours devient plus humain mais toujours un peu acrobatique.



41) Le décor est celui d’un no man’s land avec une nature qui tente de reprendre ses droits.

42) Le mouvement est perpétuel tant à l’horizontal qu’à la verticale.

Et l’on ne vous montre pas les sentiers étroits et glissants de verglas.



43) Le problème du jour est aussi de l’encombrement.

Ceux qui accrochent ces bonnes roues passent sans encombre.

44) La tension est maximale. Le VTT est aussi un grand sport.



45) Et l’on s’en fait une raison déraisonnable : toute dure montée est suivie d’une violente descente.

      Bis (ou ter …) repetita

46) Croyez-le, cette entrée en tunnel, en haut et à droite de la rampe n’annonce rien de bon.

Emotions fortes garanties.



47) On retrouve, comme promis, les « Charlottes » VTT de Sains en Gohelle. Elles sont bien action, mais à réparer une crevaison.

Toutes seules et comme des grandes.

48) Bien sûr, les mecs manifestent (parfois) un peu de compassion, du genre : « Pas de problèmes les filles ? On arrêterait bien pour un coup de main, mais il y a la soupe chaude qui nous attend à l’arrivée. »



49) Ces (petits !) mecs sont trop préoccupés par la prochaine rampe qui se dresse encore devant eux.

50) C’est devant cela qu’ils bandent leurs muscles et mobilisent leur puissance.



51) Car cela doit se monter dans les plus brefs délais pour l’épatement de mon P.C.

      Patatras

52) La descente suivante, toute aussi raide, ne va pas conduire au plaisir suprême.

Voyez le VTT qui file plus loin que le biker.



53) Qu’à cela ne tienne ! Le courageux biker ne tarde pas à rejoindre sa machine.

54) Dans l’entourage on s’émeut : « Là, derrière toi, tu as perdu tes clefs de voiture ! »



55) Plus bas, après la séquence vécue en direct, c’est l’expectative :

quid de la machine et quid de l’homme ?

56) Rien de cassé, heureusement. Justement un peu sonné, avant de remettre le casque.

Un jeune Flandrien courageux.



57) Plus raisonnable, ce biker qui ne peut nier, vu les chardons accrochés dans la roue arrière, avoir fait la descente autrement :

à pied dans les herbes.

      Final en douceur

58) Dans la région des marais, une flèche capitale fut enlevée et jetée dans l’étang.

A cet endroit il y avait des bikers dans toutes les directions.



59) Dans ces cas-là il faut se fier aux petites flèches de secours.

60) Le « p’tiot » des Charlots de Sains en Gohelle aura droit à sa photo dans l’Avenir de l’Artois et au trophée du plus jeune :

« J’ai fait le 35 km, mais aussi des kilomètres en plus quand je me suis perdu ! »



61) Je ne serai pas dans le journal, mais moi aussi j’ai eu droit à ma photo, à l’heure de la soupe aux oignons. Photo gentiment envoyée par le « collègue » local, Maryan Musial.

62) A l’heure des récompenses, le président Manu distribue ses trophées, très « galibottains ».




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