39) Nous étions arrivés au sommet du Paterberg. Avec le besoin de souffler.

40) C’est le moment de récupérer des forces et de se regrouper avant de continuer sur le 147 km.

41) Dans le petit groupe B’Twin, on se concerte. Victime de pépin mécanique, le maillot Wasquehal n’est pas très chaud pour continuer.

42) Le plus souvent on ne se pose pas de question. Et l’on repart pour les 70 derniers kilomètres. Il est midi.

43) D’ailleurs le décor vaut le déplacement. On ne se dirige plus vers le Koppenberg, devenu indésirable tellement la route (pavée) est pentue et étroite.

44) Pas très ressemblant mais très évocateur : à gauche les vieilles gloires, au centre Van Petegem et Boonen …

45) Paysage de campagne de fond de vallée : chemin bordé de saules.

Pas op!

Au milieu de la photo: le 22987 de Saint Grégoire (dans l'Eure 27 ou l'Ile et Vilaine 35 ?) roule avec une prothèse de jambe ... et de bras !!!

46) Les trois B’Twin ont repris la route. Avec bonheur.

47) L’un des très nombreux virages d’un parcours qui zig-zague pour chercher un maximum de bergs. Savoir se positionner est aussi un des éléments clefs de la course.

48) La course sera plus régulière, mais le Kortekeer, N° 7, est moins spectaculaire : 1000m à 6,4% avec maximum 17,1%.

49) Pleine confiance car, de plus, cette montée est sur tarmac.

50) La côte est marquée par un « S » très prononcé : un lacet de montagne !

51) Ce qui fait l’affaire des riverains qui se préparent au spectacle du lendemain.

52) Dans le peloton on en profite pour faire de la pub sur le maillot : Championnat de Belgique 2007 à Renaix.

53) Le champion du monde fait semblant de dédaigner un (bon) produit local.

54) La Ename, de la brasserie Romy à Maarkedal.

55) S’annonce alors le Steenbeekdries, N° 8, qui ne serait pas très dur, 700 m à 5,3%, si …

56) Le Steenbeekberg est pavé, en montée comme en descente.

57) D’où l’application pour attaquer la rampe, pourtant modeste.

58) Avec les salutations des « 92 », dans le pavé montant.

59) En fait c’est la descente que la pente est raide et que les choses se corsent.

60) Au point que le petit gamin se fait une fête de collectionner les bidons qui vont quitter par centaines ( !) les porte-bidons.

61) A toute allure, mais les mains sur les poignées de frein.

62) Après la longue portion pavée, on retrouve une bonne route de campagne qui conduit au pied du Taaienberg :

530 m à 6,6% avec maximum 15,8%, sur pavé encore mais restauré.

63) Rude montée mais avec de bonnes conditions, y compris climatiques.

64) Alors on se soulève autant que l’on peut.

65) Et parfois, astucieusement, on « rigole ».

66) Pourtant la foule des participants oblige aussi à rouler de front.

67) Comme on pense à la course de demain, on remarque que les Rabobank sont bien présents…

68) Ainsi que la Française des Jeux de Philippe Gilbert …

Un peu trop esseulé ?