Le RadMarathon, 138 km avec 4190m d’élévation début juillet, est tellement célèbre que les inscriptions sont closes en Novembre et que les candidatures sont tirées au sort. A la 3e demande, Willem et son copain Roger Detollenaere, ont eu la chance de pouvoir participer.

Ils en ont profité pour partir en vacances dans les superbes montagnes de l’Italie du Nord, en logeant d’abord à Corvara puis à Bormio, près du Stelvio, du Giau, du Mortirolo, etc … pour faire du vélo.

Mais Willem, qui travaille au Ministère de l’Equipement et des Travaux en Flandre ne manque pas d’admirer aussi les ouvrages d’art.

02) L’arrivée en Italie c’est via le Pont Europa et le col du Brenner (1375m) avec la voiture. Les vacances de montagne vont commencer.

03) Willem et madame, en parfaits touristes. Tous les deux sont équipés d’un appareil photo et vont ramener 1723 photos.

Ce reportage sera donc un résumé et une collection de sommets.

04) Roger Detollenaere accompagne Willem pour le retrait des dossards à La Villa-Corvara dans la région du Haut Adige (Alta Badia) puisqu’ils ont la chance d’avoir été acceptés dans les 10000 qui vont rouler le « Maratona dles Dolomites » le 02 Juillet 2006. Soit dans deux jours.

05) Les deux couples s’organisent pour reconnaître le parcours. Le jour du RadMarathon la route est interdite aux autos et les pédaleurs n’auront pas le temps de faire des photos.

06) C’est parti avec le paisible Passo Campolongo (1875m) pour une élévation de 353m en 6 km. Simple échauffement.

07) Premier sommet, première pose sommitale.

08) Puis on enchaîne avec le sommet du Passo Pordoï (2239m), 10 km plus loin.

09) Les monuments à la gloire de Fausto Coppi sont très nombreux en Italie. Voici celui du Pordoï.

10) La boucle se poursuit en direction du Passo Sella et de nombreux virages très serrés.

11) Inutile de préciser que les paysages sont superbes. En voici seulement un échantillon.

12) Encore 6 km d’ascension et c’est l’auberge au Passo Sella (2040m).

13) Les deux Flandriens s’attaquent alors au Passo di Gardena (2121m) avant de revenir à Corvara. La boucle fut courte (40 km) mais pentue (2205 m d’élévation) et superbe.

Tout va bien.

14) La veille de l’épreuve, une visite du Village Maratona s’impose. L’organisation est grandiose, comme les montagnes qui prêtent leur décor.

15) Le parcours n’est modeste que par la distance, 138 km mais pour 4190 d’élévation.

Particularité de l’épreuve, il faut arriver dans les délais de la première boucle pour être autorisé à entamer la seconde avec le Passo Falzarego (2477m), puis la troisième avec le Passo di Giau.

16) Parmi les nombreux stands et grands sponsors l’inoubliable Pinarello.

17) La carte de route (avec puce pour l’enregistrement des temps de passage) à mettre sur le guidon et le dossard 9266.

18) Les photos du Radmarathon sont tirées du site de l’organisation : www.maratona.it

Une petite idée de l’affluence car il faudra ¾ h pour que tout le monde s’élance.

19) Une véritable fourmilière cycliste dans le Campolongo !

20) Même chose dans le décours fantastique du Pordoï.

21) Retour au niveau du sol et à hauteur des cyclistes, dans le Passo Sella.

22) Et la majesté paysagère des lacets du Gardena.

23) Coup de chance, l’objectif de l’organisation fixe sur Willem qu’on reconnaît avec son maillot vert et jaune « Molécule ».

24) Arrivés à chaque embranchement dans les délais requis, Roger Detollenaere et Willem Penninck en terminent le RadMarathon des Dolomites 2006.

Heureux !

25) Les vacances vont se prolonger avec des expéditions cyclistes de Willem que madame escorte en voiture.

Journée Stelvio et Umbrail pass, après le premier des très nombreux virages.

26) Chaque virage, chaque « tornante » est numéroté dans l’ordre décroissant.

Il en reste 27 sur 41.

27) Au départ de Bormio, la longue montée de 22 km du Stelvio, avec 1561 m d’élévation, réserve quelques passages dont celui-ci sous un tunnel éclairé par des fenêtres en arcade.

28) Le col, le passo, c’est tout en haut avec des virages qui font rouler à gauche puis à droite, etc …

29) Au sommet, 2760, nouveau monument Coppi : la Cima Coppi.

30) Proche du Stelvio, l’Umbrail pass donne l’occasion d’une nouvelle mais courte (5,3 km) montée jusqu’à 2501 m au bout d’un tarmac qui s’arrête à la frontière suisse.

31) Le panneau tant convoité !

32) Au départ de Ponte di Legno, plus au sud dans le Trentin, nuages en haut du Gavia, un passo qui figure parmi les plus décisifs dans le Giro d’Italie.

33) Les pourcentages dépassent souvent la dizaine sur les 23 km qui conduisent à 2618 m avec 1302 m d’élévation.

34) Au sommet du Gavia, Willem offre ses services pour la photo d’usage demandée par des cyclos de Mandres, dans la région parisienne. On les reverra bientôt.

35) Tandis que madame fait ses courses dans les « free taxe » de cette région proche de la Suisse, à l’ouest de Bormio, Willem continue ses emplettes de sommets alpins.

Il commence par le Passo di Foscagno (2291m).

36) Puis dépasse Livigno pour atteindre, en 12 km, le Forcola di Levigno (2315m) à la frontière suisse.

37) Il roule alors en Suisse, sur la route qui mène à Saint Moritz, jusqu’au sommet du Passo di Bernina (2328 m) même si c’est la pluie qui est au rendez-vous.

38) Restait encore, au sud de Bormio via Grosio, une célèbre atrocité que Willem voulait découvrir : le Mortirolo (1852m) avec ses pourcentages terribles. Il y retrouve les cyclos de Mandres, très optimistes.

39) Les rampes sont rudes et la pédalée vaille que vaille.

40) Le monument Pantani est alors un bon prétexte pour une halte de cœur.

41) Surprise au sommet : Willem y retrouve par hasard des cyclos de Kaster.

Parmi eux un proche voisin qui lui donne donc des nouvelles du pays.

42) En guise de carte postale souvenir, voici une vue générale de Bormio qu’il faut quitter car les vacances se terminent.

43) Avant dernier coup d’œil sur les travaux publics du coin, avant de retrouver la Flandre natale.

Avec quelques bonnes idées, telles que des autoroutes qui passent au dessus des maisons ?

44) Dernier coup d’œil, avant de rentrer avec la musette bien remplie avec 19000m d’élévation et une dizaine de cols superbes à plus de 2000m.