Roland Bacconnier, Ardéchois de naissance et de cœur, a fait carrière dans le Nord et s’y est fait de nombreux amis. A commencer par des cyclos de l’agglomération Lilloise (club de Marcq en Baroeul) qu’il a entraîné au pays natal pour l’Ardéchoise : Alain, Dominique, Eric, Francis et Roland en personne.

Après un coup de main pour l’Ardéchoise des jeunes, les « Nordistes » se sont élancés sur l’Ardéchoise en 3 jours. Roland a laissé partir ses équipiers et pris le temps de ce reportage photos qui n’est qu’un extrait de ce qu’il a vu et vécu.

02) C’est beau la jeunesse qui se lance à vélo.

L’équipe du Nord participait à la sécurité des 590 jeunes (du CE2 à 18 ans) qui allaient profiter du soleil et du relief ardéchois.

03) Sérieux et appliqués, mais surtout impatients d’en découdre, sur une route privatisée, comme pour le final des adultes et comme sur les étapes du Tour de France.

04) Car cela démarre évidemment sur les chapeaux de roue.

Tête dans le guidon, dès le premier kilomètre.

05) Faut dire que les encouragements n’ont pas manqué en présence de la Directrice de l’Académie, de Gérard Mistler patron de l’organisation et Bernard Vallet le parrain de l’épreuve.

06) Premier ravitaillement des jeunes au col du Buisson, où l’on visite un village miniature.

C’est ce qu’on appelle « l’école buissonnière » ?

07) L’encadrement veille à l’application des maître-mots d’une bonne randonnée cycliste : sécurité, éducation, ravitaillement … et festivité.

08) D’où l’arrivée victorieuse de tous ceux qui sont bien arrivés.

09) Le jeudi c’est le départ matinal de nos Nordistes qui vont découvrir l’Ardèche en trois étapes :
- Alain Lessart sur le parcours « La Châtaigne », 580 km, 40 cols et 10000m d’élévation.
- Eric Blanquart et Francis Dubois, 345 km, 20 cols et 6700m d’élévation.
- Roland Bacconnier, le Vétéran, sur « les Sucs », 223 km, 14 cols et 4100m d’élévation.

10) Au premier col, les ambitions de chacun sont telles que Roland prend le soin de soigner son reportage et profite de la randonnée sur ses terres de cœur.

Il est originaire de Bruen-Bas.

11) Les retrouvailles avec des gens de connaissance donnent un agrément supplémentaire à la randonnée touristique.

12) Pose et pause au col des Nonédières (671m), au cœur de l’Ardèchoise.

13) Le sommet de l’Ardèche et donc de l’Ardèchoise c’est le Mont Gerbier de Jonc (1417m) qui donne sa source à la Loire, le plus long fleuve de France (1020km).

Ambiance des grands jours.

14) En montagne, un sommet n’est jamais très loin. Mais qu’est ce qu’on peut encore souffrir avant d’en terminer avec les 3 derniers kilomètres.

Puis figurer dans la légende du Cycle.

15) Les vaches de là-bas, du genre Aubrac, n’ont jamais vu passer de train.

Alors elles se contentent de voir passer des Nordistes.

En commençant par Roland.

16) L’organisation qui favorise la fête dans les villages, s’amuse aussi à distraire les pédaleurs en pleine campagne.

Avec ici un peu de provocation.

Pas question de rentrer à la maison avant d’en avoir terminé.

17) Pourtant quand la fatigue se fait sentir … la tentation est forte de sympathiser avec les « Vélos-couchés ».

Notre reporter imagine déjà : « des vélos dodo ???? » .

Il déchantera quand on lui dira qu'il faut malgré tout pédaler.

18) Son vélo privé, est un « Vélo-debout », de chez Lapierre.

Un bon vélo, très patient, capable d’attendre son maître et de le porter jusqu’à l’arrivée.

19) Une arrivée qui pour tout le monde (1, 2 ou 3 jours) se fait le samedi.

Parti bien à temps, Roland arrive dès 11h. Avec la satisfaction de savoir qu’il en reste au moins 13000 derrière lui.

A chacun sa victoire.

20) A l’heure du bilan, il suffit de gonfler les bulles.

21) L’Ardéchoise c’est aussi tout un contexte extérieur.

Pour Roland c’est l’ambiance du pays natal, et de Bruen-Bas, qui se souvient et accueille.

22) S’il fallait trouver une bonne raison d’aimer l’Ardèche : en voilà une toute trouvée.

Symbole d’un art d’y vivre … qui ne demande qu’à s’exporter.