Plus de 2300 inscrits au Paris-Roubaix Cyclos 2006. Très belle et bonne organisation du Vélo Club de Roubaix qui a obtenu le concours de clubs locaux pour soigner les lieux de contrôle et ravitaillements.

Impossible de tout montrer. Entamons ce reportage du côté de Valenciennes avec l’entrée en lice de cyclos, en tandem, de Roquetoire (Daniel et Jacqueline Cordiez). Ils sont méritants ces nordistes car en Enfer ils sont moins nombreux que les « étrangers » : reste de la France, Italie, Espagne, Grande Bretagne, Pays Bas, Belgique, etc …

02) Forza Italia !

Le groupe étranger le plus nombreux.

03) Jeunes parisiens (Courbevoie) dans un club de VTT mais bien présents sur route.

04) Et ce que l’on fait de mieux comme Nordistes.

De Willems, Didier qui avait fléché Lille-Val Joly … se retrouve sur les pavés !

05) Des pavés bien secs qu’on aborde donc en toute confiance. Surtout que le vent (faible) est plutôt favorable.

Mais il faut savoir qu’un Paris-Roubaix n’est jamais facile.

Cette année c’est la chaleur qui était … d’Enfer.

06) La route (200 km) est pavée des meilleures intentions : vaste campagne emblavée.

07) Et pourtant c’est sur cette route de Sepmeries que la triplette lilloise doit refaire la fuite. A trois pour deux roues !

08) Derrière le (petit) malheur, le défilé continue.

C’est interminable un peloton de 2200 cyclos qui sont partis tôt le matin pour 260 bornes.

09) Ce cyclo allemand, qui porte sur le maillot les tracs d’une chute, s’engage sur le « pavé 20 » d’Artres, 1200m.

Le 7e secteur sur les 27 du jour, pour un total de 46 km.

10) Virage pour rentrer sur le chemin d’un autre temps. Les secteurs pavés sont, aujourd’hui, des voies perdues à travers champs.

C’est ce qu’on appelle donc … « l’envers » du Nord.

11) Il faut s’y lancer à corps perdus !

12) Vaste espace d’accueil à la Base de Loisirs de Raismes qui sert aussi de départ pour les 120 derniers km de la Reine des Classiques.

13) Le Vélo Club n’a pas hésité à impliquer les amis locaux, comme ici les Cyclotouristes du Hainaut, le club de Raismes.

14) Avec les maillots jaunes d’Isigny, … la crème des cyclos.

15) Il fallait prévoir large pour 2200 cyclos. On avait prévu très large.

Cinq ravitaillements vraiment copieux.

16) Ceux de Chauvigny (Vienne) sont cyclos Chauvinois.

17) Et milieu de tous, en patron de l’organisation, le président du Vélo Club Cyclo de Roubaix, Francis Lajus.

18) Histoire d’eau.

Un tuyau d’eau et c’est la douche italienne :

« Mamma mia ! »

19) Et l’on reprend encore des forces : file devant la table.

20) Les pavés ?

Du très "Classique" pour les cyclos Flamands.

21) Très présents sur la route de Lille-Val Joly qui, le même jour, file vers l’est, les cyclos de Wasquehal ont délégué deux baroudeurs pour cette très longue distance.

22) Arrivée chez eux, mais seulement à mi-parcours, pour ces deux jeunes Cyclotouristes du Hainaut.

23) Voilà donc la fameuse Tranchée de Wallers-Arenberg, alias la Drève des Boules d'Hérin, la grande crainte des coureurs.

24) En l’absence de spectateurs, les cyclos prennent leurs aises sur la cendrée des bas-côtés.

25) Alors hommage à ceux qui daignent occuper le haut du pavé.

26) Même sur le bas-côté, la grimace est expressive.

27) Et puis le sourire du Quick Step est radieux :

C’est lui le « tonton Gianni » en question.

28) Robinets ouverts judicieusement installés à l’entrée de l’aire d’accueil.

29) Un peu sur les pieds, beaucoup sur le visage et tout plein le casque …

30) Dans la salle polyvalente on apprécie le ravitaillement solide (sandwiches) et la fraîcheur : cyclos britanniques « North Road ».

31) Et cyclos de Mazières en Mauges, cyclos costauds comme tous ceux qui naissent dans le Maine et Loire (49) Choletais.

32) Les Italiens, on les reconnaît vite car ils sont nombreux et expressifs.

Ceux-là ont pris la précaution de s’équiper avec le maillot de circonstance.

33) Deuxième photo pour avoir presque tout le groupe.

34) En solitaire car à l’ouvrage, Nicolas Moreau-Delacquis, le reporter action dans la revue Cyclo-Passion.

35) Responsable du poste de Beuvry la Forêt, Philippe Monpeurt a mis dans le coup les cyclos de Beuvry.

Il est ici au milieu du « mécano » des cycles Bondue à Roubaix et du président du Nord-Touriste qu’il a aussi recrutés.

36) Encore un petit coup de fraîcheur car il faut repartir pour les 13 derniers ( !) secteurs pavés et 66 km.

37) Comme le savent bien ces cyclos de Beuvry La Forêt, d’Orchies on pourrait joindre Roubaix en moins de 30 km.

Mais la route pavée en impose le double.

38) Notre reporter Cyclo passionnant s’abonne à l’Enfer.

Au vélodrome, il va prendre une douche … brûlante ( !) dans la cabine dédiée à Rik Van Looy.

Que d'Empereurs!

39) Et le Champion du Monde, année Domo-Farm Frites celui-là, dans le profil du pavé du Bar !

40) L’un des plus confortables secteurs pavés : pavé du Nouveau Monde (3000m).

41) Direction Bersée.

42) En fait ce n’est pas un vrai secteur pavé : c’est la route qui, se dégradant, laisse réapparaître le pavé d’antan …