32) Alors vivement le dimanche … qui est fait pour se reposer. Ou pour rouler.

Ne soyez donc pas surpris de retrouver Marc Waymel dans la convivialité des cyclos. Comme ici à Antoing, lors du week-End Fédéral.

Après l’effort, le réconfort, bien entendu

31) Et il suffit de passer au bureau pour apprendre que Team Waymel c’est aussi la possibilité de commander du « marquage » sur support de toutes dimensions et de tous types.

30) Quand on a bien discuté, c’est l’heure du devis. Et même de la commande.

En moins de cinq minutes vous obtiendrez le devis d’une commande personnalisée de vêtements ou de machine.

29) Chez Waymel on ne peut manquer, en guise de décoration, la photo souvenir d’un 10e anniversaire du magasin fêté en grandes pompes.

Et en présence d’Eddy Merckx. Ce jour-là on ne pouvait plus rentrer dans le magasin !

28) Trèves de plaisanterie, il faut aussi répondre aux besoins de la clientèle qui n’est pas que de cyclos routinés ou de coureurs chevronnés.

Il y a aussi la première bicyclette qui fait rêver, du moins on l’espère, les plus jeunes.

27) Voilà au moins un vélo qui n’est pas à vendre. C’est le Colnago du patron. Du tout beau !

A noter que le mécano qui préfère ne pas rester seul à tenir la boutique … en a démonté les pédales !: « Je les remettrai pour l’entraînement de dimanche ! »

26) A croire que Jean Philippe songe à sa reconversion. Qu’il verrait en effet très bien dans le vélo. A commencer dans le coaching.

Avis.

Et, autre avis, Decca France fait appel à des représentants motivés pour répondre aux demandes des clubs.

25) En France, comme en Belgique, le cuissard, avec ou sans bretelles, peut être équipé de la peau dite « en Y » pour un confort optimal, moyennant un supplément de 4€.

Compter 30€ comme prix de base , en 4 couleurs et 150 pièces, pour un cuissard club avec bretelles et peau Y. Un peu plus pour des quantités moindres. Et un peu moins en 2 et 3 couleurs.

24) Jean Philippe Loy, client du Team Waymel, est coureur Elite sans contrat dans le club Entente Cycliste de Raismes-Petite Forêt et la Porte du Hainaut (Valenciennois). Encore pour une saison à 38 ans.

Il a été le premier « belge » de l’équipe française mais beaucoup d’autres l’ont suivi, tels les anciens pros comme Marc Streel, Manu Lhoir …

23) Salle de fitness, à l’étage du magasin, car la tenue c’est bien beau.

Mais, comme dit Moustache qui visite les lieux : « Il faut soigner sa condition physique. »

22) Mais, avec Jean Philippe Loy qui est arrivé à la rescousse, il va demander à Decca de prévoir aussi de telles petites tenues de rêve.

Imaginez les Audaxettes en pareils débardeurs et tops ! A leurs couleurs bien entendu.

21) Waymel c’est en effet aussi Decca France. Donc une filiale du fabricant belge de Zottegem Decca, spécialisé dans le vêtement sportif en petites quantités et selon la commande des clubs.

A preuve le maillot, avec en dessin la Tour baroque locale ( !), du Team Waymel sponsorisé par Leclerc.

Rassurez-vous le mannequin (à la retraite) ne va pas entamer une carrière de coursier !

20) Les vélos prenant toute la place, les vêtements cyclistes réclament une meilleure exposition.

On verra que Marc Waymel, n’est pas insensible à proposer la variété du choix. Y compris pour l’habillement des bikers, des cyclistes en vacances.

Et des clubs, comme vous allez le voir.

19) Daniel Pruvot, reconverti en chef d’entreprise dans l’électricité et restauration de bâtiments, est de passage. Dans une tenue de travail allant à ravir à l’imposant athlète qui tint la dragée haute à l’ami Waymel :

« C’était un rouleur. Si, comme à Gommegnies en 1976, on avait le tort de le laisser filer … on ne le revoyait plus avant l’arrivée. »

18) De marque moins connue, mais sans doute d’un excellent rapport qualité prix, ce top de chez Q-Bikes, à 1250€. Cadre alu, fourche et wishbone carbone.

Q-Bikes, de Marly près de Valenciennes, c’est la dernière entreprise nordiste d’assemblage, sachant qu’il n’y a plus les fabricants comme Starnord. Ou Delcroix, jadis à Saint-Amand les Eaux.

17) Puis une « réplique » Liquigas de chez Bianchi, en série limitée, pour le prix de 1049€. Avec triple plateau.

Malgré l’embarras du choix, il y a toujours moyen de faire dans le haut de gamme à un prix modéré.

16) Marco Waymel (mais on pense aussi à Pantani) a un faible pour la gamme Bianchi.

Ici une belle machine de grimpeurs pour 1349€, avec les couleurs mythiques.

15) Manu arrive en renfort pour montrer un Specialized qui fait la fierté de la maison.

Dans l’état, c’est un vélo à près de 3500€

14) On commence par le plus beau, Orbea full carbone, moins de 8 kg, disponible en magasin. Couleurs chatoyantes pour une marque qui a le vent en poupe.

Plus de 5000€ pour ce modèle mais tout dépend des équipements.

13) Nous on est là pour voir et pour causer…

Manu remet la main à la pâte.

12) Mécano et homme à tout faire dans le magasin, Manu Landas est aussi un compétiteur (28 ans) qui milite au Vélo Club de Liévin.

On le connaît comme spécialiste du Cyclo-Cross et comme « champion régional » du VTT.

11) Nicolas se prête au jeu de la pose quand on rejoint l’atelier où officie le mécano, Manu Landas.

10) La conversation c’était entre le patron, qui sera bientôt à nous, et Nicolas Patoux qui le visite pour présenter la gamme 2006 de pneus et chambres à air Hutchinson.

09) Moustache arrive déjà, ou enfin (!) au comptoir. Il s’excuse d’interrompre la conversation et demande à faire des photos.

08) Une rangée de cadres c’est toujours impressionnant. A ce moment, hormis les marques et les couleurs, tous les vélos se ressemblent.

Pourtant, à l’arrivée, ils seront bien différents.

C’est pour cela qu’il faut déjà bien choisir son cadre ou en commander un sur mesure.

07) Notre premier cycliste c’est donc celui-ci qui vient de récupérer une roue qu’il avait mise en réparation.

Et voilà comment cela tourne.

06) Et une cliente n’est que de passage à travers les vélos.

Le magasin Waymel est en effet aussi un Colis Shop, faisant partie des réseaux de la vente par correspondance.

05) D’entrée nous rencontrons Robert, dit « Sabena » compte tenu de ses anciennes activités.

La conversation est sympa mais elle est de voisinage et non cycliste. Sabena voulait voler plus haut.

04) C’est un peu la caverne de Marco Vélo.

Avec deux niveaux d’exposition.

03) Ce reportage est réalisé avec la complicité de Moustache qui, pour fournir ses photos, invite à le suivre dans le magasin Amandinois dont les activités sont plus variées qu’il n’y paraît.

02) Pour situer Saint-Amand les Eaux, songez au Parc Naturel Transfrontalier des Plaines de l’Escaut, à l’eau de Saint-Amand, à la proximité de la Tranchée de Wallers-Arenberg … Ainsi vous éviterez les tentations de son Casino.

Comme le dit le maillot du cyclo club local, la Tour (chef d’œuvre d’art baroque en cours de restauration) vaut le détour.

01) La voiture « course » devant le magasin montre l’implication du vélociste. A noter que ce n’est pas lui qui conduit la voiture du team. Et surtout pas lors des entraînements, car là il roule avec les gars.

A son côté sur la photo, l’ancien champion Thierry Marie qui le visite comme représentant des compléments énergétiques Fenioux.

Marc avait déjà 30 ans. Il était amateur 1e Catégorie avec 54 victoires depuis ses débuts. Il signa même un contrat professionnel qu’il préféra ne pas honorer (Chez « Carlos »). Quand son père le mit face à ses responsabilités « Mon garçon, quand est-ce que tu vas commencer à travailler ? »

Et voilà comment Marc Waymel est devenu vélociste voilà une vingtaine d’année. Il a désormais pignon sur rue à Saint Amand les Eaux. Et il a le chic pour drainer le public vers lui. A preuve l’affluence dans son stand du Salon de La Bassée où on le voit entre Jean Luc Vandenbroucke et Freddy Maertens.