La randonnée VTT des cyclos de Lamain est devenue une bonne tradition qui a regroupé 265 bikers par beau temps. Après un automne sec la pluie venait juste de revenir pour remplir de boue les ornières. Il paraît que les « vrais vttistes » aiment mieux cela.
N’empêche qu’en ces temps de tempête Picarde certains, comme le Laminois Michel Leroy, ont préféré revêtir la cape offerte par le Challenge des Transfrontalières. Tout un symbole.

01) Jean Paul Vanneste, secrétaire du club, accueille les bikers à Blandain. Parmi eux de nombreux cyclos qui, ayant clôturé la saison route, se retrouvent avec plaisir dans les champs.

02) On ne peut pas donner de noms car on ne sait pas comment ils rentreront. Pour l’instant, ils ont le corps propre et l’esprit sain des grands humanistes.

03) Aux inscriptions, Chantal et Lucien dans leur habituel et fréquent bénévolat.

04) Départ matinal sur un restant de pavés avec le clocher de Blandain à l’horizon.

05) Salutations d’usage, quand ce ne sont pas des remerciements.
Profitons-en pour quelques excuses : les photos qui paraissent dans le reportage ne représente qu’un tiers des clichés réalisés.
Le reste ? A la poubelle ! Un monde impitoyable !!

06) Ceux-là on ne peut pas les manquer, sous peine de représailles.

07) Des joyeux lurons et de sacrés sportifs. Si on les loupe … ils vont nous larguer dans la prochaine randonnée. Un monde sans pitié (bis) !

08) Il est donc grand temps d’atteindre le Reposoir, en mon pays de Kain, et sa vue bucolique sur Tournai.

09) Ah les braves chevaux.
Il n’y a pas que les vélos dans le paysage.
Rien à voir avec des bourricots.

10) L’Audax Philippe, à gauche, va être fâché : « Tu ne vas pas mettre une photo où je suis à pied sur 200m pour arriver au sommet du Mont St Aubert, alors que j’ai choisi le parcours de 50 km ! »
Le monde est impitoyable ?
Moi je suis sans pitié !

11) Pour soulager la conscience de Philippe, je dois certifier que personne n’a pu éviter de mettre à pied à terre à cet endroit. Alors tout le monde éprouve le besoin de souffler avant de plonger.

12) Celui-là, sans doute un peu moins lucide, avoue : « Oh, excusez ! J’ai pas eu le temps de me recoiffer pour la photo !! »

13) La descente conduit au ravitaillement de Kain, où se restaurent Bruno, Christian et Joel, les BCJ d’Estaimbourg qui organisent un VTT d’Enfer le 3e dimanche d’août.

14) Le président Marc Cossement qui distribue le ravitaillement aurait pu organiser le concours du plus beau sourire. Celui-là avec quelques taches.

15) Et celui-ci est loin d’être immaculé. Plein la face.

16) D’aucuns se soignent également le dos par des bains de boue.

17) N’en jetez plus, c’est l’arrivée massive au pied du Mont Saint-Aubert.

18) Même que c’est l’affluence pour le partage des biscuits.

19) Et revoilà la campagne de Kain, dans une parcelle qui a échappé au lotissement.
On se demande bien pourquoi.

20) C’est vrai que la route n’y est pas des plus carrossables. Mais la boue « ils » aiment cela, les vrais bikers que, pour un peu, on entendrait chanter « Nul vart com’ Kain … »

21) Et pourtant ils se retiennent de plonger dedans. « Vazy, saque d’in » que j’y diseos …

22) Descente vertigineuse et magistrale vers l’Escaut, en longeant le moulin ( ?) d’Obigies.

23) Puis deuxième arrêt ravitaillement, à Rumetz-gare, proche de Templeuve. Dans le garage du président Noullet qui a ouvert avant de partir la fête des Montagnardes organisée à Chimay.

24) Deux tandems amis se rejoignent, avec Sylvie et Tania ainsi que leurs hommes respectifs.

25) Reprise des machines pour la dernière étape qui ramène à Blandain.

26) D’abord c’est le long de la ligne de chemin de fer.

27) Sur le talus qui isole des champs de pomme de terre.

28) Mais aussi sur un sentier où il faut jouer les flaques.

29) Tout cela pour déboucher sur une ferme plutôt vasouillarde.

30) D’où un nettoyage bien mérité, à l’arrivée.

31) On voulait conclure sur ce magistral contre-jour réussi par Moustache.

32) Mais voilà que surgissent les hommes de notre première heure. Ils peuvent triompher car ils ont, comme tout le monde d’ailleurs, vaincu tous les obstacles.