Quand, à la veille du rendez-vous, la météo annonce pluie et tempête et que ces deux indésirables sont au rendez-vous, les illusions ne sont pas de mise : certains cyclos se recouchent ! Les Tournaisiens espèrent donc des jours meilleurs.

Mais le travail de préparation était fait et les bénévoles en place. Alors, en moins grand nombre, les courageux participants n’en furent que mieux chouchoutés. D’où l’impression que le succès et la satisfaction générale de la Tournaisienne seront au rendez-vous… l’an prochain.

02) Au lieu des longues distances difficiles « cyclo-côteur », bon nombre de cyclos ont choisi de rentrer tôt.

03) On rêvait « Montagnarde », on se contente d’avoir participé et d’avoir lutté contre les éléments.

04) Parfois on est présent aussi par amitié. Ainsi les cyclos de Villeneuve d’Ascq, représentés par le webmaster de leur site.

05) Ces deux cyclos de Saint-Saulve ont limité leurs efforts mais ne sont pas déçus de rencontrer leur « reporter » préféré qui, lui aussi, a limité ses déplacements.

06) Voilà le moment le plus difficile : quitter le véhicule, même en profitant d’une accalmie.

07) Julien Loy, président des Seniors Relax ( !), s’est souvenu qu’il fut Audax et même leur secrétaire. Alors il est venu.

08) De même son fils Jean Philippe Loy, accompagné de son beau frère Michael Jedewreski, qui vont s’inscrire … pour s’entraîner. Toujours coureur à Raismes, Jean Philippe fit ses débuts cyclistes chez les cyclos (on s’en souvient !) en avril 1985. A l’occasion de l’inauguration du col de la Croix Jubaru.

09) Pour Roger Martens, d’Escanafles, le dilemme est celui de tous les cyclos du jour : quelle distance retenir ? Un Cyclo-Côteur ? Un Brevet à Dénivelé ? Quoiqu’il en soit, ce sera une Picarde.

10) D’autres « Picards » ont choisi de patienter et de partir en début d’après midi, sous un ciel plus clément. Voyez le maillot jaune.

11) L’organisation tient ses promesses : cadeau de bienvenue pour chacun, à commencer par le maillot jaune.

12) Ces quatre jeunes hollandais sont en goguette. Cyclos pourtant convaincus, ils ont choisi de rester dans la salle avant de regagner leur mobilhome. Dommage car l’un d’entre eux fut appelé pour un vélo de la tombola !

13) Ce n’est pas à Germain Geenens, représentant belge du Club des Cent Cols, que le mauvais temps peut faire peur.

14) La participation est moindre qu’escomptée mais la qualité de l’accueil n’est pas diminuée. Mathilde donne les cartes tandis que Guy prévoit les bidons.

15) Voilà une partie de la table des inscriptions : on fait face à toutes les demandes.

16) Membre du Bureau Directeur de la FBC et Déléguée de la Province de Liège, Anne Marie Michel rehausse de sa présence, sous les couleurs de son club de Hamoir, l’organisation tournaisienne malheureusement programmée en même temps que la Flèche de Wallonie.

17) Son collègue au Bureau Directeur, Christian Noullet est, lui, le créateur et promoteur de la Tournaisienne. Il relève, heure par heure, les chiffres d’inscription.

18) Charline Moulin est chargée de répartir les cartes d’inscription par clubs. En l’absence des Audax Tournai ( !), les cyclos d’Antoing sont les plus nombreux.

19) Au bar, en attendant Emile, Marcel et Christian font la conversion. En toute décontraction avant le coup de feu.

20) Le service en salle est déterminant. Voir, sur le plateau, le succès de la Bush.

21) La Tournaisienne s’appuie sur les deux jambes puisque le club Audax compte désormais deux sections : route-vtt et marche. Alors on s’inscrit pour un parcours pédestre allant de 6 à 43 km.

22) Il ne l’apprécie pas plus, mais le marcheur craint moins la pluie que le cyclo. D’où le départ, bien couvert, joyeux et plein d’entrain pour le groupe familial de Cholet.

23) L’organisation d’une marche est proche de celle des vélos. Au Pas du Roc, les Audax de service, en compagnie de Moustache qui officie comme responsable, attendent les marcheurs.

24) A l’écart des routes cyclos, les marcheurs auront le plaisir de traverser l’Escaut et de visiter les anciens fours à chaux du site voisin.

25) Le contrôle-ravitaillement y est tenu par Don Pedro et son équipe qui ont pris position dans ce vestige industriel où l’on faisait cuire la pierre calcaire extraite des carrières voisines. Aujourd’hui la pierre est toujours exploitée mais les fours sont très techniques.

26) Astuce inattendue avec ces Vttistes qui ont profité du 43 km « marche » pour s’adonner à leur sport favori !

27) Les fours, désormais inactifs mais conservés, offrent des porches débouchant sur le village de Vaulx.

28) La famille choletaise arrive à son tour sur le site où elle rencontre le président des Audax veillant au bon déroulement de la journée.

29) On quitte les lieux, non sans un regard sur cette construction gigantesque et très marquée par le travail manuel du siècle dernier.

30) La marche, sur un parcours déniché par Marcus Varvennes, fut bien digérée. Le stress ? Ils ne connaissent pas, ces marcheurs.

31) Présent aux fours et aux moulins, Moustache est revenu avec aussi des photos de ravitaillements cyclos. L’Aquarius est bienvenue pour l’apport calorique.

32) C’était « l’Enfer dans le Dieu des Monts » titra avec pertinence le Courrier de l’Escaut pour évoquer le périple des cyclos dans les Monts de Frasnes dont une rue est baptisée Dieu des Monts.

33) Après le vent de face, vient le vent de dos. Retour à Tournai dans de meilleures conditions.

Les frangins Copins (dont Christian en rouge), du Cyclo Club de Râches (59) se sont reconnus sur cette belle photo: "Nous étions partis pour le 125 mais nous avons opté pour le 100, vu les conditions... Mais quelle belle organisation!"

34) D’où le passage par le repas grillades.

35) Puis ambiance festive comme dans tous les grands rendez-vous cyclos bien organisés.

36) Ce reportage sera dédié à l’Audax Michel Bisamme qui nous revient, avec le même entrain, même si c’est sur chaise roulante.