01) Impossible de tout voir et impossible de visiter les 300 stands d’exposants qui en proposent pour tous les goûts et toutes les pratiques du vélo.

Alors on retient surtout ce qui est un peu « fou », dont cette machine, quasi volante, de chez Klever.

Disponible chez Fun Mobility à Loos, près de Lille.

02) L’intérêt du chaland ou du visiteur peut se porter sur des accessoires plus modestes mais de vieille et bonne réputation.

Ainsi les accessoires, dont les pompes et les bidons avec porte-bidons ou garde-boue, de chez Zéfal, venant de Jargeau près d’Orléans.

03) Autres accessoires aussi nécessaires que bien connus, la guidoline et les pignons TA au stand Velox, venu lui d’Argenteuil, près de Paris.

Comprendre que, devant l’embarras du choix, nous avons donné la priorité aux stands francophones qui étaient au nombre de 62 au Velofollies.

04) Arrêt prolongé aussi devant certaines innovations… pas complètement folles.
Ainsi ces casques, chez Kronos, qui protègent la tête et font prendre le cycliste pour une lumière.

05) On peut aussi avoir l’intention de prendre de la hauteur.

C’est du sport que propose le stand de la Transmaurienne et Vanoise, aux vttistes partant de Saint-Jorioz près d’Annecy, du 21 au 26 juillet.

06) Les grandes marques, internationales, rivalisent de qualité et d’innovation en s’associant à la course cycliste.

Ainsi le S’Works de l’équipe Deceuninck-Quick Step au stand Specialized.

07) Ces grandes marques proposent aussi une gamme de Vélo Tout Terrain.

Lesquels, pourtant surtout dédié à la jeunesse (que l’on suppose sportive et fougueuse ?), se transforment déjà en … VTTAE.

08) La tendance aux épreuves au long cours en autonomie actuelle, telles que les Ultra Raids, impose de trouver un bel équipement avec bagages adaptés.

09) Si l’on s’en tient à la bonne machine mue par la seule force musculaire, on peut rêver de ce Scheiron Titanium de chez Van Nicholas.

Dans ce très haut de gamme il faut prévoir un budget tournant autour des 10000€.

10) Et, déjà à cause de ses couleurs, n’est-il pas superbe ce Cannondale doté de roues Vision ?

Il roule très bien… à condition de savoir pédaler !

11) De quoi rendre nostalgiques les plus grands, sinon les plus vieux, randonneurs.

Les célèbres selles anglaises, en cuir, Brooks, sont toujours d’actualité.

12) Un peu plus inattendu, mais on est au Velofollies de Courtrai, les « additifs » qui transforment un vélo ordinaire en un vélo de transport.

D’où le stand Addbikes, venant de Lyon.

13) Comme pour de nombreux autres marques, les Cycles Lapierre connotés d’origine française, sont présents au Velofollies via leurs importateurs implantés en Belgique ou aux Pays-Bas.

14) Parmi les équipementiers qui fournissent les tenues cyclistes, la marque G Skin, basé au Luxembourg, confirme sa place de choix.

15) Avec des matériaux et du design adaptés, la personnalisation est totale.

Au service des clubs et des particuliers.

16) Nouvelle surprise quand on repère sur un stand néerlandais les bonnes vieilles sacoches de l’artisan français de la marque Berthoud.

Avec leur « look » de plus en plus caractéristique.

17) La renaissance de la marque Peugeot, basée à Romilly sur Seine, se confirme avec un large stand pour une gamme de tous styles.

Ainsi ce VAE, à 3599€, qui pourrait convenir à un ancien coureur ayant, jadis, gagné des courses sur son vélo Peugeot.

18) Et puisque la nostalgie est permise, cette modeste machine aux couleurs mythiques est plus abordable puisque proposée à 749€.

19) Ne pas manquer le stand des chaussettes DeFeet.

Rien à voir avec les socquettes uniformément blanches d’il n’y a pourtant pas si longtemps !

Tellement plus beau et plus confortable.

20a) Parmi les nombreuses (au moins cinq dont Cyclelive Magazine) revues cyclistes en Flandre, donc en néerlandais, la revue Cycling.be qui est issue du groupe Golazo.

La revue francophone O2 Bikers, de Gembloux, était bien présente, mais nous avons loupé la photo du stand.

20b) La revue Grinta !, en néerlandais, a un nom célèbre en Wallonie depuis qu’elle a donné son nom à la Grinta ! Challenge chère aux Audax Tournai.

21) D’ailleurs à l’appel de l’ancien et du nouveau président du club, les Audax Tournai ont rendez-vous au stand Grinta !, près du podium au palais 1.

22) Comme tout le monde n’est pas à l’heure, on jette un coup d’œil sur un stand voisin bien connu.

Hélas, les « Morgan Blue » ont du retard… dans l’habillage.

23) Ensuite c’est la pose devant les panneaux qui donnent le calendrier des 40 organisations cyclotouristes belges, réparties en divers challenges, proposés par le groupe Peloton.

24) Inscrite dans le Proximus Cycling Challenge, la Grinta ! Challenge des Audax Tournai (Doornik), se déroulera cette année le samedi 11 mai.

A noter la nouveauté d’une « Mons Cyclo » le 10 août…

25) Rencontre au stand de Pascal Poncet, alias Pascalou, avec le site www.vtt-hautsdefrance.fr .

Il fait référence pour le Vtt en Hauts de France et Belgique voisine.

26) Parmi les services rendus il y a surtout l’Agenda Vtt fournissant le calendrier des organisations clubs régionaux.

27) Belle nouveauté, signé Vtt-hautsdefrance, avec un Salon Vélo et Running le dimanche 3 mars à l’Arena Pévèle d’Orchies, de 10 à 18h.

La salle Davo sera occupée par trente exposants. Entrée gratuite.

28) Comme pour se réjouir de l’événement et pour profiter du calendrier, nouvelle photos de famille.

29) Au stand Giant on rattrape le champion Greg Van Avermaet se prêtant, de bonne grâce, à une séance de dédicaces pour autant de selfies.

Ensuite il se rendra au podium pour une interview en public.

30) Devant un stand de customisation portant son nom, Johan Museeuw se prête à une interview enregistrée.

31) Quelques stands plus loin on se fige devant l’embarras du choix pour qui se positionne sur une selle, italienne, MP.

32) Puis devant cette machine quelque peu insolite, voyez sa batterie et son mode de transmission.

Pas une raison pour rouler… comme un cowboy !

33) On se retrouve entre gens de bonne composition au stand de la Fédération Francophone Belge de Cyclotourisme et Vtt (FFBC).

Au stand des bénévoles distribuent le calendrier des organisations, route et vtt, de la Fédération.

34) Et que pensez-vous de ce Bianchi VAE qui intrigue tant les visiteurs ?

35) Pour Moustache, c’est beau un VTTAE de la marque Moustache, installée à Golbey près d’Epinal.

36) Or à ce moment interviennent Gérard Colin et Erick Mizzi les repreneurs du site www.cyclos59.com.

A voir sur la nouvelle appellation www.cycloshdf.fr .

37) La réputation de l’Ardéchoise ne cesse de grandir.

Quel cyclo n’a pas souhaité en découvrir l’ambiance à nulle autre pareille ?

Rendez-vous-y du 19 au 22 juin 2019.

38) Le vélo Origine, uniquement par internet, est entièrement personnalisable.

Avec grande réussite, c’est une innovation nordiste avec un montage assuré dans de nouveaux locaux à Somain (59).

39) Pour les produits d’entretien, la gamme Bike 7, présentée par son patron Nicolas Verjans, est disponible chez de nombreux détaillants.

40) Fidèle au poste, Antoine Deborchgrave l’ancien président de l’aile flamande cyclo de la RLVB, Cycling Vlaanderen.

Il a favorisé la réputation du cyclotourisme.

A titre personnel il peut se targuer d’avoir roulé dans les cinq continents.

41) Au stand des huiles Bardahl, avec son secteur cycliste dans une gamme industrielle, c’est l’accueil de Gino.

Avec son enthousiasme habituel.

Par ailleurs, sachez que les huiles Bardahl (pour toutes sortes de moteurs) sont produites en usine dans le Zoning Ouest de Tournai.

42) Désormais en compagnie de Jean Pierre et de son collègue ERTP Hibon (Toufflers) Pascal.

Un peu d’air frais avec les séjours cyclos, en Lozère, à l’hôtel Terrasses du Lac, à Naussac.

43) Quand le fantastique Andréa Tafi, vainqueur entre autres du Paris-Roubaix, se plait à poser.

Ici aux côtés de travailleurs Roubaisiens et d’une tenue cycliste de sa marque.

44) Le vainqueur du Paris-Roubaix 1999 retrouve son collègue Johan Museeuw, vainqueur en 1996 puis 2000 et 2002.

Ils encouragent Cameron Vandenbroucke devenue professionnelle Lotto-Soudal Ladies.

45) De Soignies (B), Maxxus Pro est un distributeur d’accessoires cyclistes.

Dont des éclairages comme la lampe arrière USB LOVE qui, en forme de cœur, passe du blanc (de jour) au rouge (de nuit).

46) Toujours parmi les stands de fournisseurs francophone et toujours dans l’esprit Velofollies, le stand de Douze Factory.

L’entreprise, à Ladoix-Serigny près de Dijon, se dit spécialiste Français des vélos-cargo modulaires et configurables.

47) Au stand de la marque e-bike O2 Feel, installé maintenant à Wambrechies, près de Lille, on fête son ambassadeur.

En l'occurrence, Miguel Martinez, champion du Monde et Champion Olympique VTT en 2000.

48) Toujours compétiteur sur son Karma Bikes, Miguel (fils du routier Mariano Martinez) est aux côtés de Romain Neauport qui teste les O2 Feel destinés aux longs raids VAE.

Ce qui permet de proposer des machines de ville très fiables.

49) Après avoir beaucoup marché dans les allées des 6 palais de l’Xpo Kortrijk, l’occasion est donnée de se tester sur home-trainer par la firme Elite.

Avec, devant soi, une route… comme si on y était.

50) Au soir du vendredi d’ouverture, rencontre avec le groupe des cyclos du club d’Escanafles-Mont de l’Enclus, venus en groupe et en voisins.

Toujours aussi dynamiques posant avec leur président (à gauche) André Cloet,devant le vélo Cube de l'équipe Wanty-Groupe Gobert.

51) Encore une surprise bienvenue avec le stand Battery Street qui se propose de renouveler tout type de batteries :

« ce qui donne une nouvelle batterie à 50% du prix de l’ancienne ».

Battery Street a un magasin au boulevard des Nerviens 44 à Tournai.

52) Si certains stands francophones ont été oubliés, on ne voulait pas manquer celui des Roues Artisanales RAR, faites à la main, à Bavay (59).

Entièrement personnalisables.

53) A l’heure de la fermeture, le stand RAR se présente… comme une œuvre d’art.

C'est alors que je dus sortir car atteint de palpitations, suite au défilé de toutes ces belles choses...

Comme dirait l'autre, j'étais gagné... par le syndrome de Stendahl !