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A ANTOING LA CARRIERE PRINCIPALE DU VTT DES CARRIERES 2018

Toujours le 11 Novembre jour férié et commémorations.

le Dimanche 11 Novembre 2011

Par temps correct mais sur terrain gras 852 bikers ont bénéficié du décor exceptionnel de la carrière de pierre et cimenterie d’Antoing. Les photos se limitent à la traversée, parfois acrobatique, de la principale carrière.

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01) Vue partielle, car impossible de l’avoir générale, du site des carrières d’Antoing.

Avec passage autorisée des VTT en ce jour (d’autant plus férié qu’il tombe un dimanche) de commémoration de l’Armistice de 1918.



02) Le site de la carrière d’Antoing est précédé par un espace de « no man land »… où les bikers trouvent de bons sentiers en sous bois.

D’où les couleurs d’automne pour agrémenter la pédalée.

03) Si la pluie du jour ne surviendra que l’après midi, celles de la veille ont laissé des traces.



04) Arrive ensuite les premières traces de l’exploitation du site carrier.

De quoi intéresser les bikers de l’Avenir Ouvrier de Sallaumines.

05) Au niveau de la surface, les installations techniques abritent les machines broyant les roches ramenées du fond.



06) Il faut s’arrêter et s’approcher du bord du site d’extraction pour ce type de vue impressionnante.

07) Nos amis bikers de Wasquehal et Hénin-Beaumont ne s’y trompent pas.


      SITE INDUSTRIEL


08) Les chemins s’entrecroisant, les services d’un signaleur sont bienvenus en plus du fléchage.

Surtout que ce service est rendu par un ancien « roctier » qui a travaillé au fond puis en surface de la carrière.

09 Service même indispensable puisque le biker du fond se dirigeait tout droit… vers l’usine !



10) Le plaisir de pédaler entre les monts de granulats de différents calibres.

De quoi penser aux travailleurs qui ont passé leur « carrière »… à y casser des cailloux !

11) Enfin ce métier pénible c’était dans le temps, car aujourd’hui les machines font le boulot.



12) Parfois c’est l’attirance photographe qui induit en erreur.

Ainsi le premier « Renard des Sables de Flines les Raches » devra-t-il être remis dans le droit chemin par son compagnon, Renard plus rusé.

13) Les installations de broyage sont alimentées par des tapis roulants qui véhicule la roche en surface.


      CARRIERE EN VUE


14) Les consignes de circulation sont précises.

Fidèles à la légende cycliste, les bikers les contrediront en restant souvent… à droite.

15) D’ailleurs les camions sont bien rangés.

Avec Erick Mizzi qui ne manquera pas d’en témoigner dans son « reportage photos » à voir, sur www.cyclos59.com



16) Camions de transport des roches destinés à remonter les blocs de pierre à la surface.

17) Le chemin des bikers se poursuit en bordure de la carrière.



18) Donc comme en balade sur terrain plat encore à ce moment.

19) L’envie est parfois forte de s’arrêter et de s’approcher du bord pour mieux voir.

Ainsi ce vert biker du club (FFCT) de Dainville, près d’Arras.



20) Cela roule bien et la météo se montre très clémente.

      DESCENTE EN VUE

21) Avec leur président Jean Marc Delannoy, les Renards des Sables sont, comme de coutume, aussi de la fête antoinienne.



22) Revoici le paysage à l’entame d’une première descente vers le fonds des roches.

23) Le photographe n’est pas seul à trouver un point de vue d’exception.



24) On peut aussi s’intéresser au déboulé de Renards sortant de leur tanière.

25) En pleine traversée de la flaque car ce n’est pas tous les jours qu’on roule dans les carrières d’Antoing.



26) D’ailleurs les bikers suivants en font tout autant.

27) Au risque de se retrouver plus vite que prévu dans l’usine… si l’on file tout droit.


      DENTITION


28) Sur un caillou perché, un biker s’en mettait plein la vue.

29) Avec son compagnon de route il avait admiré le « canyon du Pays Blanc » qui vaut (presque) celui du Colorado.



30) Ceci dit avec une dentition à vous rendre jaloux ?

      TERRIL

31) Voici l’entame d’une boucle conduisant au sommet d’un terril constitué par les terres de découverture.

Un premier choix laisse la montée facultative en optant pour le 25 km.



32) Pour les distances plus longues un croisement se produit sur une centaine de mètres.

33) La montée dans un décor de nature ayant reconquis ses droits est franchement sévère.

Mais attendez la suite.



34) Pour beaucoup, un moment de réflexion, pour ne pas dire récupération, s’impose.

C’est le pied du « hard ».

Ne pas confondre avec une « harde », par exemple de sangliers, quoique…

35) Le virage à gauche entraine une belle pagaille car, sur 75m, c’est la montée (presque) impossible.



36) Aux grands maux, les grands remèdes quand on a plein le dos… du vélo.

      VICTOIRES

37) Lesa photos en témoignent, ils sont quelques uns (4-5 % sur le coup de 10h) à avoir vaincu l’obstacle.

Ainsi Julien du club de Lys lez Lannoy.



38) De même ce « fateux » alors que les gros pneus ne sont pas forcément un avantage en l’occurrence.

39) Bien concentré et posé sur sa machine, on reconnaît Pascal Poncet, webmaster du siteVtt-Hauts de France…



40) On ne s’étonne plus mais il nous épate le Pascal-Pascalou du facebook… en se jouant du hard dans le terril d’Antoing.

A la seule force musculaire, bien entendu, alors que les autres remontent en machine.

41) Tout le monde n’a pas la même réussite.

C’était bien parti… mais fallait pas se laisser tomber !



42) Même récompense pour tout le monde avec un point de vue quasi circulaire au sommet.

      AU FOND

43) On entame alors une descente qui mènera jusqu’à l’avant dernier niveau de la carrière.



44) Bien entendu c’est rapide avec quelques passages techniques.

45) Endroit très attendu que l’espace où stationnent les engins d’extraction avec des pelles grand format.



46) La pelle ne fait qu’une bouchée du Team Vtt Mouscron, par ailleurs bien sympathique.

47) Visage mouchetée du Red Bull qui en a pris plein la vue.



48) Puis l’occasion de se faire une photo-souvenir unique.

49) Occasion de larrons qui profitent d’un nettoyeur haute pression pour remettre la machine en état.



50) Reste à regagner la surface au prix d’une rude remontée.

51) Ce qui laisse le temps de revoir les engins toujours sollicités.

Mais de haut, cette fois.



52) Remontée en douceur quand c’est encore le moment de l’écolage.

      SORTIE

53) Sortie de carrière et retour aux règles de circulation habituelles.



54) C’est là que les Cyclotouristes d’Antoing ont installé leur principal ravitaillement.

Ravito assorti d’un poste de lavage des vélos car la boue calcaire des carrières est collante et érosive comme du ciment.

55) Abritée par précaution, la table est mise toute en largeur.

D'un côté pour le solide.



56) Et le liquide de l’autre côté.

Alors que se présentent des bikers… qui en ont plein le dos.

57) Belle et bonne équipe antoinienne de service, animée par Thierry Moulin.



58) Un petit jet d’eau sur la machine et nous terminons notre traversée du site de la Carrière d’Antoing, ce dimanche 11 Novembre 2018.

59) D’autres aventures attendent les bikers des longues distances comme le 35/45 et 55km.

Ainsi cette sortie acrobatique de la friche du Vignoble, près des boulevards de Tournai.

Ceci avant de passer d’une rive à l’autre de l’Escaut.


      ARMISTICE


60) Changement de sujet avec notre prolongation de parcours via le monument aux Morts de la Ville de Tournai.

Sur le coup de 11h11, ce 11 Novembre, c’est la commémoration de l’Armistice terminant la Grande Guerre.

61) Commémoration particulièrement solennelle, avec nombreuse assistance, en cette année du centenaire…



62) Hommage à soldats morts au front et respect envers les roctiers des carrières, tout en travaillant à un monde de paix.



En plus des roulements de tambours, que roulent nos vélos…


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