102) Le point Km0, à l’entrée du Village Fédéral, est pratique pour les rendez-vous matinaux.

Sauf que, situé sur les hauteurs d’Epinal, il sera peu prisé par ceux qui logent dans les hôtels et chez les habitants de la ville ou dans le camping fédéral à Dogneville.

103) Après une traversée de la ville, encombrée ce vendredi matin, des milliers de pédaleurs marquent un arrêt au Fort d’Uxegney daté 1884.

Donc construit à cette date pour protéger Epinal puis modernisé jusqu’en 1910 et actuellement restauré par l’association ARFUPE.

104) Après une visite des installations couvertes, les cyclos déambulent dans la cour intérieure du fort.

105) La visite se termine avec une vue panoramique auprès d’une tourelle abritant un canon de 155.

106) Les détails de cette visite se retrouveront dans le montage vidéo à paraitre sur le facebook d’André Lacombe.

Un travail toujours de grande qualité mais qui demande du temps avant de paraître.

107) Le parcours du jour est très campagnard avec des routes se jouant de pentes modérées.

108) Petite bizarrerie de la semaine avec ce chemin très fraîchement gravillonné.

Mieux vaut ne pas trop s’intéresser à la scierie faisant partie des activités de la région et donc du décor.

109) Tempo aussi soutenu que joyeux sur tous les terrains avec ce trio du Vélo Club de Roubaix.

110) Passage devant le Musée de la Brasserie de Ville sur Illon.

111) Une visite rapide rappelle l’historique de cette brasserie qui a cessé de produire en 1975.

Le site de la « Vosgienne » est devenu musée à partir de 1987.

112) Un peu plus loin, une sympathique animation annonce le point d’accueil de Lerrain.

Attention à la balayeuse cycliste immortalisée pour le site du VC Sancéen de Saint Julien les Villas, dans l’Aube.

113) malgré ou à cause ( !) de l’étroitesse des lieux par rapport à la foule des cyclos, le point d’accueil de Lerrain a laissé une bonne impression.

114) L’animation y était assurée par un orchestre invitant à la danse.

115) Le service restauration proposait, entre autres, une assiette chaude avec frites et viande grillée.

116) Pour faire plus vite ou plus facile, les sandwiches ont beaucoup de succès.

Alors les bénévoles s’employent à les préparer.

117) Pour la bonne odeur de la grillade en plein air rien ne vaut le vieux barbecue artisanal.

118) Puisque c’est bon profitons-en pour montrer que le système des poubelles de la SF n’est pas au point.

Les sacs plastiques à proximité du lieu de distribution ne remplissent pas bien leur office.

Mieux vaudrait des poubelles en dur réparties dans l’espace des consommateurs.

119) En voilà deux qui ont (en partie !) résolu le problème des déchets :

une assiette pour deux mais chacun son gobelet !

120) Ces deux-mêmes ayant cheminé de concert, Epinal est regagnée sans que le photographe ne trouve de prétexte à photographie.

L’idée revient avec l’arrêt à l’un des feux spinaliens.

121) Puis c’est la traversée de la Moselle au coeur même d’Epinal qui retient l’attention.

122) Vous l’avez compris, l’Audax Tournai Marcelino est de retour pour deux mois d’été.

Le reste de l’année il le passe à rouler les BRM dans sa Thaïlande de cœur.

Il y enchaine les Brevets au point d’avoir bouclé l’année 2017 avec le plus grand nombre de km parmi les Audax Randonneurs de Thaïlande.

123) Les parcours du samedi ont la bonne idée de faire passer de nouveau devant le camping fédéral.

Camping immense avec une majorité de mobil homes ou caravanes installés autour de la piste en herbe du terrain d’aviation.

124) L’occasion de croiser des Vttistes qui vont prendre le départ de leur circuit du jour.

Ce reportage est en effet incomplet puisqu’il oublie les autres activités de la SF, comme le VTT, les Cyclo-Découvertes, les Marches et même les Excursions en car…

Sans compter les activités dédiées aux jeunes et aux handicapés...

125) Encore une belle journée de route à travers la campagne vosgienne en vue.

Mais la dernière avant le défilé du dimanche dans les rues d’Epinal qu'on ne verra pas ici.

126) Surprise d’une offre sympathique au bord de la roue :

« Goûtez-moi ces prunes de mon jardin. Je viens de les cueillir pour vous ! »

127) Face à l’espace du point d’accueil, l’église de Padoux ne va pas manquer de visiteurs.

Même pas dédiée à Saint-Antoine puisque c’est Sainte Libaire (!) qu’on vénère à Padoux, la bâtisse est en pleine restauration extérieure.

128) L’accueil est soigné dans cette petite bourgade de 512 habitants et les cuistots sont à l’ouvrage.

129) Les tables sont mises et envahies par une horde d’affamés.

130) Parmi eux, Séverine et Didier qui ne vivent pas que d’amour et d’eau fraîche.

Ils ont aussi en commun les grandes randonnées préparant au Paris-Brest-Paris 2019.

131) Bien assis et déjà prêts à rentrer au camping pour le repas de midi avec les accompagnantes, des cyclos du Béthunois.

132) Les mêmes, debout pour qu’on reconnaisse mieux, avec :

« Jules » des cyclos de Roquetoire et Alain Marescaux (2e à droite), le président du Cyclo Club de Lapugnoy.

133) Au dernier jour de route partagée c’est le moment de faire la photo de groupe.

A condition qu’un cyclo se dévoue…

134) Ou sauf si un photographe propose ses services pour le plus grand plaisir du club omnisports La Détente Ricamandoise.

Donc des cyclos et cyclotes de La Ricamarie dans le département de la Loire.

135) Tout travail méritant salaire, le pré-tendu photographe est joliment récompensé par les Ricamandoises.

Et déjà… détendu !

136) Cocasse on ne peut plus, le duo de soldats franco-allemand qui semblait ignorer que la Grande Guerre, et même la suivante, était finie.

Une "trêve de Noël" après l'heure!

137) Les choses deviennent encore plus amicales et plus sérieuses quand un cyclo se présente comme collectionneur patenté.

Et donc connaisseur intéressé.

138) Sans aller jusqu’à Raon l’Etape ou Saint Dié des Vosges via Etival, prenons le P2 qui passe par Rambervillers.

Gérald Paillard remarque qu’un bananier évoque au mieux le Café du Nord faisant face.

139) Un petit tour hors circuit est nécessaire pour découvrir le centre ville de Rambervillers.

Avec ici le bâtiment remarquable de la mairie, également doté de son bananier décoratif.

140) Le fléchage, souvent décrié dans les journées caniculaires au début de la semaine s’est notablement amélioré.

Les flèches papiers ne se décollent plus et une peinture rouge est venue en renfort.

141) Donc du beau boulot mais quel travail !

Avec la conviction qu’à l’avenir il faudra prévoir une colle résistant à la chaleur caniculaire et/ou au sol surchauffé !

142) Le mieux est de rendre grâce à Notre Dame, en l’abbaye d’Autrey fondée au XIIe et son jardin botanique…

La semaine d'Epinal fut sans accident irrémédiable et finalement réussie.

143) Le final de l’étape file vers la forêt domaniale d’Epinal.

D’où les scieries qui décorent le bord d’une route ici descendante.

144) Rien n’est jamais gagné d’avance.

Surtout si, comme ici, il faut traverser le village dénommé La Baffe.

Et décoré en conséquence tant ses 600 habitants sont habitués à évoquer les claques.

145) C’est donc en tête que se portent les mains qui promettent… la baffe intempestive.

146) Marcelino y échappe de peu.

Faut dire qu’à La Baffe l’accueil était des plus festifs.

Quoique non inscrit dans le programme officiel.

147) Alors adieu La Baffe et merci pour ce (bon) moment inattendu.

148) Retour au Village fédéral avec une tablée de cyclos d’Arras, dont (au fond à droite) Gérard Dumetz, délégué formation FFV pour la Région Hauts de France.

Avec le renfort de Claude Meurisse, de Carvin, ancien président de Ligue 59-62 et président du Cosfic 2009 à Saint-Omer.

Tous en attente du solde des bracelets de crédit.

149) Dans le hall d’exposition rencontre chaleureuse d’Henri Bosc qui, à 83 ans, termine sa 59e Semaine Fédérale.

Homme de conviction, mais d’arrière garde, Henri s’est résolu à adopter l’assistance électrique.

Concernant la Fédération Française du Vélo on l’entendra défendre sa chère FFCT lors de la prochaine A.G.

150) Revoilà la compagnie d’Alain et Jean Paul Maurice, l’une des cinq équipes de flécheurs.

Marcel Lefebvre et moi bouclons avec eux, à Epinal, cette 80e Semaine Fédérale.

151) Nous la dédions aux cyclos et cyclotes dont les soucis physiques et moraux sont atténués par le recours à l’assistance électrique.

Ils étaient plus nombreux que l’an passé à Mortagne au Perche et sans doute moins qu’à Cognac l’an prochain.

152) Patrick Pitois, du club des Amis de Vélocio d’Epinal, nous adresse ce cliché présentant l’équipe complète des flécheurs sus-mentionnés.

Donc avec Joël Baradel (polo rouge) aux côtés des frères Maurice.

Hommage à eux et à tous ceux qui ont contribué à la réussite de la SF2018.