86) Selon notre longue présentation, les 7000 participants du Lille-Hardelot 2018 sont bien partis relever leur défi.

Retrouvons-les au ravitaillement de Fauquembergues vers 9h puis à l’arrivée après 16h, car rien n’est simple.

87) Fauquembergues ( bourgade d’un millier d’habitants près de Saint-Omer et traversée par l’Aa) se fait une fête d’accueillir le 2e arrêt-ravitaillement du Lille-Hardelot 2018 au km91.

Le géant Amoric est présent comme de nombreux bénévoles, dont le maire Alain Méquignon.

88) L’accueil est même chaleureux car la spécialité du boulanger local est offerte de bon cœur.

89) La tranche de gâteau garnie de confiture s’arrache… comme des petits pains.

90) Sur la place d’accueil à deux pas de l’église l’ambiance est musicale.

91) De quoi ravir les cyclos du Vélo-Club Roubaix qui, le dimanche 10 juin, accueilleront le peloton du Paris-Roubaix cyclo.

92) Bonne initiative que la mise à disposition de cette fontaine mobile.

Pour remplir les bidons et, très vite, pour rafraîchir les têtes et les jambes.

93) Aucune grande organisation ne peut se passer de cet équipement sanitaire.

Ici c’est plutôt modeste, mais les toilettes sont en place.

94) Du club de Wizernes, ces cyclos sont venus en touristes voir ce qui se passe chez leurs voisins de Fauquembergues.

Ils connaissent bien LH car leur club y est toujours bien représenté.

95) Si les tables sont bien dressées et achalandées on ne peut s’empêcher de considérer que la disposition reste à revoir.

Il faudrait s'installer en double carré, dissocier tables des solides et des liquides pour sortir du schéma des organisations... ordinaires

Revoir aussi le système des poubelles car 7000 cyclos cela « déchette » !

96) Mais l’accueil est souriant avec un service inattendu :

les bananes sont proposées entières et épluchées !

97) Un peu complexe aussi est la répartition entre deux espaces de ravitaillement.

Même si l’accueil au Collège Monsigny (du nom d’un compositeur local) est tout à fait à la hauteur.

98) Avant de reprendre la route pour un final de 68 km corsés, mieux vaut se fier à une machine en forme.

D’où le dépannage au stand Shimano.

Ceci pour le vélo, mais pour l’auto ?

99) La sortie de Fauquembergues, après le pont sur l’Aa, annonce la couleur.

On teste le relief du Boulonnais.

100) Et nous voilà rue de Renty, entre la maison du maire et face au numéro 293, grimpant vers la commune de Renty.

Tout va bien pour les vélos de DigestScience… mais pas pour l’auto du reporter.

101) Il faut alors faire appel au garage RD126, basé à Maninghem, pour un transport de véhicule.

102) Tandis que le défilé des pédaleurs se poursuit sans désemparer, le reporter va se débrouiller sans sa voiture !

103) Sur le coup de 16h, Hardelot rime, comme Hinault, avec vélos, costauds et même repos.

Animation du groupe « Chasse Patates » sur le podium près de la ligne d’arrivée.

104) L’animation du moment consiste à célébrer la réussite du jour.

En commençant par un « Hymne au Blaireau » qui rime avec Bernard Hinault.
Lequel n’a pas forcé son talent pour rouler LH à un bon 30 km/h de moyenne.

105) Au premier rang des spectateurs, Noël Deffontaines qui fut président de l’Urfa-Lille en son temps.

Et, à ce titre, l’inventeur du Lille-Hardelot d’antan.

Contre vents et marées, en 1981.

106) Avec son lyrisme très France Bleue, Christian Palka présente les invités.

Dont la marraine Ophélie David et le parrain Bernard Hinault.

107) Philippe Crépel laisse le mot de la fin à la maire de Neufchatel-Hardelot :

« Lille-Hardelot est un événement majeur dans notre station. On se réjouit de vous accueillir toujours et encore ! »

108) Si certains rentrent à Hardelot avant midi, la majorité des arrivées s’étale dans l’après midi, jusque vers 17h.

109) Le passage sous le portique d’arrivée marque la fin d’une nouvelle belle aventure.

110) C’est l’heure des commentaires :

« J’ai bien souffert cette année même si la dénivellation ne dépassait pas les 1300m et si le vent était plutôt favorable ! Serait-ce le poids d’un an de plus ? »

111) Passage sous le tunnel d’arrivée avec une boisson ou un petit pain de premier réconfort.

112) Passage au parking des vélos gardé par le team DSO.

Nombreux sont ceux qui vont prolonger la randonnée sur place, en ville ou à la plage.

113) L’occasion de se retrouver en milieu de connaissances, gardien, rouleur et reporter.

114) Puis ceux qui bossent autour de Muriel, pour les bagages et les retours en car…

115) L’occasion d’un massage de réconfort pour qui le souhaite.

116) Passage aux toilettes et douches mobiles, installées à proximité.

117) Puis étalage du corps fourbu devant la plage alors que la mer est à marée basse.

118) Les vélos ont pris place, avachis, sur le sable.

119) Victoire pour Catherine, alias Belle au Bois Dormant du club de Drancy, qui a convaincu Juan et Pascale de l’accompagner dans cette traversée Hauts de France.

Elle conclut le compte-rendu pour son club par : « bref tout pour rendre un cyclo heureux. »

120) Pleine satisfaction aussi pour les cyclos de l’ACT Caudry.

121) Déambulation sur la digue pour le groupe SMCA qui attendent des nouvelles de l’un d’entre eux ayant chuté.

Pas d’accident grave mais quelques belles chutes et des défaillances carabinées dans une pédalée de cette importance.

122) Le décor souvenir de Lille-Hardelot 2018 arrive à point nommé pour le groupe UCLN de Dunkerque.

123) De même pour les retrouvailles entre dirigeants de la FFCT du 62.

124) Des années que l’on se s’était plus vus, Josselinette et André Boussemart (8 PBP dans la musette) et moi…

125) D’où, comme tant d’autres, une bonne petite prolongation amicale en terrasse.

126) Parmi les nombreuses photos du jour prises par de nombreux photographes, dont l’officiel Jadis Flash, un échantillon de 3 clichés fournis par Laurent Sanson.

Ici ambiance de routes pentues.

127) Là la certitude que Lille-Hardelot est devenu un mythe.

128) Enfin la satisfaction avec la réussite.

Merci à Laurent Sanson, relations Presse de Lille-Hardelot et du team Lille-Roubaix-Métropole.