01) Clin d’œil historique rappelant le 200e anniversaire d’invention de la Draisienne, par le baron Drais, en 1817.

Une exposition des ancêtres de nos vélos accueille les visiteurs dans le couloir central.

02) Entre le Michaud, doté de pédales sur la roue avant à partir de 1860 et le grand-bi sportif qui lui succéda, posent des Audax Tournai.

Ce qui permet d’annoncer que ce reportage n’est pas « technique ».

Il évoque l’ambiance d’une visite au milieu des machines et des hommes.

03) Parmi les 300 exposants annoncés on repère 60 sociétés « francophones » venus de Wallonie, du Grand Duché et de France.

Pour la présentation ils auront ici la priorité.

Ainsi le stand Sunn des vtt venus de Machecoul en Loire Atlantique.

04) Ou encore les illustres accessoires variés, y compris les pompes ou les bidons, de la marque Zéfal qui a son siège à Jargeau dans le Loiret.

05) Le « Premier guidon de vélo connecté », de la marque Velco venue de Paris, est présentée par Johnny Smith.

A partir d’une application gps sur smartphone, le cintre indique la direction à prendre et donc la route à suivre.

Bluffante « solution pour une mobilité plus intelligente et personnalisée ».

06) Le stand d’une société, surtout dans notre pays où les importateurs sont multicartes, peut abriter plusieurs marques.

Ainsi les fourches à suspension ne sont qu’un secteur des activités de Sabma à Eupen.

07) Le stand de la TransMaurienne invite à des activités vtt en Vanoise (22-27 juillet) ou en Lozère (3-5 août 2018).

08) Au stand des huiles Morgan Blue c’était à l’heure de l’habillage de l’hôtesse d’accueil…

09) On peut se trouver face à des accessoires inattendus comme ces « protège-mains » ( ?) MR Wolf à installer sur le cintre des guidons plats.

10) C’est au même stand que l’on propose l’inévitable « anti-crevaison »… grâce au pneu plein.

11) Et puis le vélo de course doté d’un petit moteur inséré dans le tube vertical.

Le Vivax se montre via la sacoche de selle qui contient la batterie.

12) On préfère vous montrer le vélo plaqué or de chez Origine, désormais installé à Somain dans le Nord.

Avec le trio des responsables qui ont lancé la marque nordiste.

13) Un vélo Origine, entièrement personnalisé, se commande uniquement par internet.

14) La firme Bike7 est basée à Olen (Anvers) mais son patron, Nicolas Verjans est de Mourcourt près de Tournai.

Bike7 c’est un assortiment complet pour « nettoyer, lubrifier et protéger » les vélos.

15) Le Team Vtt Bike7 a décroché en 2017 le titre de champion FCWB en catégorie masters via Géry Bradefer.

16) Sensations avec la découverte d’un nouveau venu au Velofollies qui expose diverses machines acier aussi sobres que bien pensées et bien fabriquées.

Les Cycles Noble sont faits main en Belgique, près d’Arlon.

17) Il aura fière allure ce « cyclosportif » de Dour qui découvre sa machine Noble.

Elle lui sera livré après le Velofollies.

18) Jeune artisan cadreur, Nicolas Noblet est pratiquement le dernier fabricant cycles de Wallonie.

Et il figure parmi les adeptes pratiquant le single speed.

Fabrication sur mesure, sport, course ou randonnée et voyage, avec un délai d’environ 2 mois.

19) Un tout autre esprit cycliste avec les Wattitud de e-trade.be basés à Kain, près de Tournai.

20) Machines pour les vastes horizons lointains qui ne négligent ni le décor… ni le confort.

21) Présentation intrigante des flacons britanniques Crankalicious qualifiés de « handmade cycle care ».

Ceux qui voulaient goûter sont surpris car il s’agit de produits de lavage, nettoyage, décapage et polissage.

Ainsi soigne-t-on son « bicycle in England ».

22) Action en cours au stand Cycling Vlaanderen, fédération cyclotouriste relevant de la RLVB.

23) Scène courante dans un salon que de voir un photographe en action face à un stand?

Mais il n’est pas banal de voir que Sven Nys, en personne, photographiant des amis dans le stand dédié au Sven Nys Center.

24) Le plus souvent, et il se prête volontiers au jeu, l’ancien champion de cyclo-cross est sollicité pour une photo… en sa présence.

25) Valeureux team professoral de Courtrai conduit par Francis, le directeur (à gauche), paré pour la photo.

Tous ne sont pas ardents pédaleurs…

26) Mais celui-là l’est bel et bien !

Il faut reconnaitre, en « tenue civile », Krystof Allegaert connu comme époustouflant randonneur international.

Il a à son actif des Raids Transcontinentaux, en autonomie, pédalés dans des temps… canon.

27) Au stand Olympia, cycles italiens importés par Bikes Parts à Lokeren, se tient le « Vlaming Bekende » (Flamand Connu), Hugo Suy.

28) Inventeur des « Fadas du Puy Mary » (dans le Cantal français) Hugo Suy travaille pour un challenge cyclo qui regrouperaient:

les Six phonnés du Mont Brouilly, les Fadas du Puy Mary en attendant d’autres Félés ou Cinglés.

Ne manquent plus que les Béberts du Mont Saint-Aubert.

29) Pour revenir sur terre ou du moins au Velofollies, voilà le guidon Ergotec (NL).

En plus d’être pliable, il est doté de poignées mobiles de bonne prise et grand confort.

30) Parmi les nombreux fabricants de tenues cyclistes présent au Velofollies, retenons le grand ducal Luxembourgeois G-Skin.

Avec des tenues personnalisées.

31) Un seul vélo dans le stand, mais on dirait une bête pour ne pas dire un monstre.

Un Bertin breton puisque c’est en Bretagne que la marque disparue dans le Pas de Calais est ressuscitée.

32) Ce fameux Bertin est équipé des non moins fameuses roues « RAR ».

Des roues artisanales fabriquées sur commande à Bavay.

33) Au regroupement des RAR et des Bertin s’ajoutent le regroupement, sur le stand, des patrons :

Adrien Gontier à gauche et Mikaël Bertin à droite.

34) Au Liégeois, c’est le vélociste bien connu de Dour qui, au Velofollies, présente des supports pour l’exposition des bicyclettes de la marque Neoxpro.

Mais, ici, c’est le Dragon Audax Mons Marc Menu qui nous interpelle.

35) Il lance un Raid Gravel en Espagne avec le concours de son vélociste :

du 24 au 28 septembre 2018 soit 5 jours d’aventures cyclistes dans l’esprit gravel, au prix de 495€.

36) Au stand des pneumatiques néerlandais Vredestein est organisé un concours de vitesse pour changer une chambre à air.

Beaucoup de candidats changent entre une et deux minutes.

Mais au soir de ce vendredi le record était de 56 secondes !

37) Les cadres Dedacciai… se veulent aussi décoratifs que performants.

38) Les Cominois, emmenés par le désormais « sudiste » Francis Provo, s’arrêtent au stand des cycles Kuota qui équipera l’équipe Cofidis en 2018.

39) Dans le même stand sont exposés les cintres Deda.

Ce mini prolongateur triathlon Carbon Blast, interdit aux coureurs routiers, pourrait convenir aux cyclos.

40) Des cyclos qui vérifient les calendriers de la prochaine saison.

Ainsi ce groupe des Audax Tournai posant sous le panneau du Challenge Proximus.

Avec leur Grinta ! Challenge programmé le samedi 28 Avril (plus tôt que l’an passé).

41) Moustache, le président des Audax Tournai, a fait son apparition en début d’après midi.

Soucieux d’être branché il s’arrête au stand Garmin pour manipuler le nouveau Edge 1030.

42) Puis il pose au milieu de cyclos de connaissance derrière un vélo Eddy Merckx.

Ainsi présentés les vélos du Cannibale, que l’on fêtera à Bruxelles en 2019, ont bien perdu de leur superbe !

43) En revanche s’il est un vélociste qui a toujours pignon sur rue, c’est « Capino ».

Son magasin est installé près de la ligne d’arrivée de Gent-Wevelgem, Vanackerestraat.

44) Peut-être la marque belge la plus connue, les vélos Ridley suscitent l’intérêt.

45a) Ceci alors que le très attendu Greg Van Avermaet répond aux questions de Frédérik Backelandt sur le podium central.

45b) La photo officielle montre de plus près les intervenants et laisse deviner le rassemblement de foule.

46) Les collègues et amis Jean Pierre et Pascal font leur apparition au stand Lapierre.

Et posent devant le Lapierre de la FDJ qui équipe le team du sprinter Arnaud Démare.

47) Les mêmes se retrouvent au stand des vélos électriques O2Feel.

Ceux-ci, installés près de leur atelier à Toufflers, vont bientôt s’installer à Wambrechies, au nord de Lille.

48) Un peu plus loin ce sont les vélos Look qui retiennent l’attention.

49) Comme en embuscade, se tiennent les patrons des Cycles Barelli à Croix aux côtés du représentant de la marque pour le Nord.

Les cyles Barelli sont parmi les plus gros vendeurs de Look (et autres !) en France.

50) Plus confidentielle, la marque Néo Mouv de La Flèche (Sarthe).

On voit ici un électrique acatène (pas de chaine et donc moins de problèmes) destiné aux collectivités.

51) Parmi les très nombreuses marques proposant des produits énergétiques solides ou liquides, la marque bretonne de Plescop,

Overstim’s. Désormais solidement distribués en Belgique.

52) C’est au stand des cycles Isaac que l’on rattrape les cyclos du club d’Escanafles.

53) Puis arrêt au stand de la célèbre marque Ekoï basée à Fréjus pour équiper, de la tête aux pieds les pédaleurs.

Et même pour les rendre visibles avec un petit feu rouge aimanté qui se pose facilement.

54) Le mannequin est installé sur le vélo de Romain Bardet, brillant second du Tour 2017.

Un casque spécial AG2R, d’allure vintage, a été préparé pour le champion qui doit s'imposer en 2018.

55) L’Ardéchoise, proposée de 1 à 5 jours, recrute de plus en plus large pour parcourir de plus en plus complètement l’Ardèche.

Un superbe et accueillant département français du Massif Central.

56) Son fondateur et patron, Gérard Mistler, est présent avec son équipe au Velofollies.

57) D’où cette rencontre avec les Audax Tournai sachant que les Belges sont de plus en plus nombreux à participer à cette organisation exceptionnelle.

58) Une organisation dont l’ampleur est inimaginable à la FFBC dont le stand est tenu, ce vendredi, par Yvette et Francis Naessens du Cyclo Club Mouscron.

Bonne humeur garantie.

59a) Au stand Basso, les machines ont les faveurs des cyclos de la Petite Reine de Condé sur l’Escaut.

Une équipe menée par Philippe Haudegand dont le reportage, quasi scientifique, se trouvera bientôt sur Cyclos59.com.

59b) Philippe a vérifié que ce Scuderia Ferrari, sur le stand Bianchi, est bien étiqueté à 15000€.

Donc (sans doute) le vélo le plus cher du Velofollies 2018.

Mais chez les Thiry, Michel (le père) hésite, tandis que le fils (Pascal)... est enthousiaste.

60) Un Salon est aussi l’occasion de soigner ses relations.

Ainsi Moustache, patron des Audax Tournai, tient-il à saluer les gens de la revue Grinta !

Et à se rappeler à leur bon souvenir.

61) Ce qui vaut aussi pour Frédérik Backeland.

L’ancien Rédacteur en chef est devenu patron de la société qui sort la revue Grinta ! et de publications annexes.

Avec les cyclistes actifs en ligne de mire :

« Grinta ! voor de actieve fietser ».

62) Le patron peut être sévère :

« Si tout le monde se trompe sur les routes de la Grinta ! je t’arrache… la moustache ! »

63) Sur le podium central l’équipe professionnelle WB Aqua Protect VeranClassic est présentée par Thierry Marichal, l’un des directeurs sportifs.

Parmi les six coureurs présentés, Kenny Dehaes, Franklin Six, Jimmy Duquennoy…

64) Au stand Pinarello de Carbone Bike à Waremme, apparaissent Christian et Didier, deux cyclos complices sportifs.

Est-ce par hasard qu'ils ont choisi de poser derrière le Nytro, soit le VAE "dynamite" du célèbre constructeur italien?

65) En prolongement de leur journée de travail ils profitent de la nocturne pour visiter jusqu’à 21h.

66) Avec un modèle vintage au premier plan, les vélos Peugeot, venant de Romilly sur Seine, confirment la renaissance de la célèbre marque française.

67) Moustache qui, décidément, veut rendre productive sa visite au Velofollies se met en quête d’un beau Vtt à assistance électrique.

Chez Cube il trouve un modèle qui pourrait lui convenir… puisqu’il est bleu, comme le maillot de son club.

68) Mais au stand Vosgien d’Epinal, « Moustache », l’attirance du nom risque d’être encore plus forte.

Sans compter que les explications commerciales sont lumineuses.

69) Mais dans le monde du vélo bien né, l’Origine n’a-t-il pas une place privilégiée ?

70) Encore mieux ici... avec ce qui devrait être le vélo le moins cher du Velofollies!

200 ans plus tard le concept du Baron Drais en 1817 est toujours d'actualité:

Deux roues en lignes reliées par une poutre... pour avancer plus vite qu'en marchant!