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CARNET DE BORD DE LOIRE AVEC DON PEDRO ET DOUZE AUDAX TOURNAI 2017

Parmi les photos souvenirs d’Arthur et de Marc

du Samedi 17 au samedi 24 Juin 2017

Classique est devenu le périple de « la Loire à Vélo ». A l’invitation de Don Pedro 12 Audax Tournai l’ont réalisé sur 800 km en 7 jours. Furtive sélection de souvenirs photos via Arthur et Marc.

01) Photos de groupe Audax Tournai à Blois, sur les bords du plus long fleuve français qu’est la Loire.

Pour rappel, la Loire prend sa source au mont Gerbier de Jonc en Ardèche, traverse la France sur 1006 km.

Elle se jette dans l’Océan Atlantique via l’estuaire de Nantes à Saint-Nazaire.



02) A vélo c’est bien mais en bateau, sur une gabare qui plus est, ce n’est pas mal non plus.

Mais attendons la fin du voyage pour voir cela.

03) Puisqu’il s’agit d’un voyage itinérant, l’escorte d’un véhicule s’est révélée très pratique.

Tout le monde étant venu pour rouler, le groupe s’organisa pour se relayer au volant.



04) Le véhicule ne suivant pas les cyclos, le chauffeur disposait sa signalétique pour annoncer le ravitaillement à l’heure et au lieu convenus.

05) Si tout s’est passé selon le programme établi et sans incidents notables c’est que Don Pedro avait bien préparé son coup.

Avec une équipe de pédaleurs de niveau inégal et des machines diverses.

Tous pour une semaine de cyclotourisme en groupe sur un parcours choisi.


      BIEN MANGER


06) Comme il fallait bien pédaler les pauses de ravitaillement furent toujours bienvenues.

Avec l’agrément d’autant de pique-niques.

07) Et pas de danger de se sentir désorientés, la Loire n’étant jamais très éloignée.



08) Après avoir de nouveau bien pédalé il fallait une nouvelle pause ravitaillement.

Avec un menu nettement plus élaboré sur le coup de midi.

09) L’occasion de faire bonne chère avec des produits on ne plus locaux.

Ce que l’on appelle une friture de poiscaille ligérienne…



10) Vue générale d’une pédalée, a priori facile, sur les bords de la Loire.

Mais ne pas se fier aux clichés simplificateurs.

      BIEN VOIR

11) Pour veiller à l’harmonie du groupe il faut songer à se regrouper sur une route pas si bien balisée que cela.

Et, en tous cas, pas de manière uniforme.



12) Sans oublier de s’intéresser aux beautés naturelles ou architecturales du pays.

Ainsi le fameux pont canal de Briare qui permet à ceux qui le suivent ou l’empruntent… de passer au dessus de la Loire.

13) Pour évoquer cette prouesse architecturale, alors qu’il fait un temps très assoiffant, la halte au bar du Canal s’impose.



14) Puis c’est la Loire, toujours la Loire, qui s’élargit à force d’affluents. Dont, parmi les principaux, le Loiret, le Cher, l’Indre, la Vienne, la Maine et les Sèvres…

Essayez donc de les classer rive droite et rive gauche !

15) Halte au château de Sully, superbe exemple de forteresse médiévale, dans le département du Loiret.

Sur la rive gauche… donc au sud de la Loire, souvent cité comme limite météorologique.



16) Sachant qu’il fera beau partout et tout le temps de cette semaine en France, Don Pedro reste avec un souci.

Celui de bien enchaîner les tronçons inégalement balisés de cette « Loire à Vélo ».

17) Il eût été trop bête de ne pas voir et de ne pas s’arrêter devant le château de Chambord.

Une merveille de la Renaissance dans le département du Loir et Cher.


      BIEN DORMIR


18) Comme il est essentiel de bien dormir dans un périple sportif, l’organisateur avait prévu quelques surprises au niveau de l’hébergement du groupe.

D’où une nuitée en « roulottes », comme il sied pour des gens du voyage.

19) Et pour ceux qui rêvent de nomadisme dans les steppes arides d’Asie… rien moins qu’une yourte en bord de Loire.

Et l’on ne parle pas du sourire de la maîtresse des lieux.



20) N’eût-il pas été mieux séant de loger tout l’équipage en cette bâtisse seigneuriale qu’est le château de Rigny-Ussé ?

Rien moins que le château… de la Belle au Bois Dormant !

Une faille dans l’organisation ?

      BIEN S’EN SORTIR

21) On le pressentait, la Loire n’est pas qu’un long fleuve tranquille.

Du moins pour ceux qui se laissent « embarquer » (« mauvaise signalisation », diront-ils !) dans un mauvais chemin.



22) D’un coup le peloton s’égare dans une voie aussi broussailleuse qu’impossible.

23) Il faut se sortir de là en prenant de la hauteur.

Autant dire à hue et à dia !



24) A l’heure du bilan il y a ceux qui se souviendront de ce passage plein d’orties.

25) Selon Yves il y avait aussi des ronces, d’où ses avant-bras ensanglantés.

La Loire se mérite.



26) On peine tout de même à croire qu’il s’agisse bien de l’itinéraire de la fameuse « véloroute française ».

Route de vélos balisée pour relier l’Atlantique… à la Mer Noire !

      BIEN S’ORIENTER

27) Il faudra toute la diplomatie et le savoir faire de Don Pedro pour retrouver le droit chemin, celui qui conduit au Paradis des cyclos.



28) Arthur comprend que c’est la voie du salut.

« Sus à la Loire »

29) D’ailleurs tout le monde se retrouve à Angers, au pied des murailles du château du Roi René.

Durant ce périple, avant Angers puis Nantes, les villes de Nevers, Orléans , Blois, Tours et Saumur auront été traversées par les pédaleurs.



30) Désormais plus de doutes, la Loire est bien là, au pays d’Anjou connu comme le pays de « la douceur angevine ».

31) Rien n’est plus doux que de se laisser glisser au fil de l’eau dans un décor diaphane…


      BIEN FINIR


32) Au point que, faute de pouvoir rouler sur l’eau, le groupe s’embarque pour prendre l’eau.

33) D’un côté comme de l’autre, la gabare angevine transporte alors une marchandise des temps modernes.



34) A force de filer vers l’ouest, la mélancolie gagne les mollets, laissant glisser les esprits jusqu’à l’horizon.

Là où se soleil se couche…

35) Retour à la réalité quand le road book annonce la fin du périple.

Revenir les pieds sur terre.



36) Pour Marc comme pour les autres, le Pont de Saint-Nazaire c’est l’exploit des constructeurs… et des pédaleurs.

La Loire est franchie en 3356m de pont sur son estuaire et les vélos l’ont jouxtée sur 800 bornes.

37) Après quoi il reste à rentrer au pays et à la maison, au nord de la Loire.




Comme dans tout voyage cyclo en groupe, les aventures n’ont pas manqué…



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