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LA " ROUTE 66 ", OU CHICAGO - LOS ANGELES, A VELO
Une Traversée mythique des Etats-Unis, dans la roue d’André Binon
en Juillet-Août 2001
« Get your kicks on Route sixty six », disait la chanson des années 50 et 60. « Prendre son pied sur la Route 66 » ? André Binon l’a fait en 2001, en participant à une organisation de Marc Bouet.
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00) Cette petite carte permet de visualiser la « Conquête de l’Ouest » du cyclo qui participait à une organisation de Marc Bouet. Soit une traversée de 25 jours, avec des étapes de 200 bornes, en compagnie d’une trentaine de cyclos et cyclotes français(es). La troupe progressait librement, avec le soutien de quelques voitures conduites par les accompagnant(e)s. |
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02) Le mélange architectural d’une ville qui a grandi à la vitesse d’un champignon lui donne l’occasion d’honorer « la vache sacrée » (Holy Cow) qui finissait tout de même sa carrière dans les anciens et célèbres abattoirs de l’état d’Illinois. |
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04) Célèbres aussi sont les pompiers de Chicago (et d’ailleurs). D’où un musée qui leur est consacré. Le cyclo nordiste Francis Provo, n’oublie pas que … dans le civil, il est pompier. |
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Suivre les panneaux quand ils existent. | |
06) Et c’est parti. Les panneaux « Historic Route » ne manquent pas d’émouvoir. Il faut en profiter car la route est désormais constamment interrompue, voire disparue. André Binon, cyclotouriste, était bien, en 2001, sur la « Road Mother ». Ce mot est de John Steinbeck dans « Les Raisins de la colère ». |
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08) Scène cocasse qui rappelle ce que nous avancions. La route 66 n’existe plus vraiment. On l’a sacrifiée au profit de l’autoroute (InterState 40) qui contourne les villes. |
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10) L’autoroute a rendu inutiles les stations services, les motels et autres lieux de ravitaillement pour les voyageurs et les automobiles des années 50-60. D’où les villages « fantômes » du bord de route. |
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12) Et Anita qui lui fait le coup de la nostalgie : « A quand la Route 66, en Harley Davidson ? » Or la réponse c’est « On est là pour pédaler ». |
Le souci de découvrir l’Amérique. | |
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14) Etonnement européen envers la maison de l’Amerloque qui a pris la précaution d’installer sa bicoque sur pilotis. En deux temps et trois mouvements il l’installe sur un camion et s’en va vivre ailleurs, s’il le faut. |
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16) Puis c’est la « prairie » (pétrolière) de l’Oklahoma. Nature sauvage. |
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18) Dans la troupe, André fait connaissance avec Yves Yau, sous son grand chapeau, un cyclo de Valenciennes bien connu dans le Tournaisis. Un amateur d’un cyclotourisme de larges horizons. |
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A l’assaut du Far West | |
20) Car la route est longue… ainsi que large. Et, après la plaine, viennent les premières rampes annonçant les Montagnes Rocheuses. |
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22) Au sommet, la mention « Divide Continental » indique qu’on se trouve sur la ligne de partage des eaux. D’un côté l’eau coule vers l’Atlantique, de l’autre vers le Pacifique. |
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24) Et encore un cliché. Celui-ci a l’avantage de montrer comment l’homme, et encore mieux le cyclo, peut parfois se sentir tout petit. |
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26) Le plus brave des cyclos peut subir la plus mesquine des crevaisons dans les sites les plus sublimes. |
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L’ultime extrémité. | |
28) D’où la nécessaire motivation, après un détour « touristique » par Las Vegas. André adopte la ferme attitude des anciens conquérants de l’Ouest. |
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30) Puis c’est le désert de Mojave. L’arbre de Josua ne fournit pas l’ombrage sollicité par le cyclo. |
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32) Le groupe est bien arrivé à bon port. Pose générale et calumet de la paix. |
Quelques souvenirs plus personnels | |
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34) Lequel apprécie trop Charlie Chaplin pour jouer les Charlots. |
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36) L’Amérique c’était hier. Avec des conditions extrêmes auxquels notre cyclo s’était bien préparé. Aujourd’hui c’est la sérénité et la tranquillité de ceux qui fleurissent lu jardin familial, à Beloeil. |
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Si pas motivés, s’abstenir. | |
38) Pour ceux que l’aventure tenterait : voici l’article de présentation qu’on trouve dans Cyclo-Passion. Marc Bouet organise en effet une nouvelle traversée du 25 juillet au 21 août 2005. |
L’aventure est exceptionnelle. N’empêche qu’elle a été vécue par un cyclo qui est des nôtres. Et qui reste modeste. On lui sait gré d’avoir fourni ce reportage pour un site … qui s’enorgueillit.
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