01) En l’absence de Moustache, le président des Audax Tournai, dédions-lui ce rutilant vélo de facteur b-post qui, en son temps, lui aurait évité le mal de genou dont il souffre aujourd’hui !.

Après quoi on verra toutes sortes de vélo, aptes à guérir toutes sortes de maladie.

Y compris la folle envie de pédaler.

02) Bicyclette bleue qui, d’allure ordinaire pour la ville, scintille d’un bleu horizon et propose, sous la marque O2Feel, l’équipement d’assistance électrique.

Cet équipement faisant désormais fureur on le retrouvera dans tous les stands de machines.

03) A la vue de ce Van Nicholas on n’aura que l’embarras du choix dans les machines de haut de gamme.

Ici, on admire la sobriété de cet expert néerlandais du titane.

04) Autre exemple de la tendance actuelle, la « netteté » des machines.

Disparaissent dans le cadre, les câbles, mais aussi le compteur et même les éclairages.

05) Faute de pouvoir comparer et toucher toutes les machines, privilégions les rencontres.

Dont celles qui font s’arrêter aux stands.

Ainsi Stephen Roche qui invite à ses stages au soleil, par exemple à Majorque, aux Baléares.

06) Invitation à la randonnée, route et vtt, de La Forestière dans le Jura pour 3000 participants attendus les 16 et 17 septembre 2017.

Avec, ici, l’occasion de croiser l’ancienne présidente du club cyclo de Racquinghem très représentatif de la région audomaroise.

07) On recommande le compte-rendu technique de Philippe Haudegand qui alimente le site de son club La Petite Reine de Condé sur l’Escaut.

A l’affût des innovations techniques, il établit que ce Scoperta SR8 italien est apte aux « sublimes performances » annoncées./em>

08) Son flair lui dispense de se méprendre sur cette énigmatique machine KTM… au stand Vivax.

La sacoche de selle, peu courante sur les machines de course, cache quelque chose…

09) Si le Vivax cache parfois son jeu, avec la marque sur le cadre il annonce aussi la couleur :

un petit moteur installé dans le tube de selle fournit une assistance électrique.

10) Avec la disparition du Salon de Paris les firmes françaises découvrent les charmes du Velofollies malgré le problème de la langue.

Ainsi la firme Mavic dont on connaît les roues… et le service d’assistance dans les grandes organisations cyclistes.

11) « Follie », ou originalité bien française, que ce mini-vélo pliable et équipé de sacoches Berthoud en cuir.

Avec la mention pas franchouillarde du tout : « The French vélo électrique » !

12) Au stand Giant, doté d’une gamme très variée de machines, on rejoint la fine équipe de Marcel Cuvelier.

Soit le tout nouveau président, pour ne pas dire « repreneur » du club cyclotouriste de la Porte du Hainaut.

En lieu et place des Cyclotouristes du Hainaut à Raismes.

13) Faute de pouvoir revenir le lendemain, les amis Dédé et Robert posent aux côtés des effigies de Greg Van Avermaet et Fabian Cancellara.

14) Sur le podium, au milieu du palais 1, le nouveau patron de la revue Grinta !, Frederick Bakelandt, fait l’interview de Sep Vanmarcke.

Deux « champions », encore pleins de promesses.

15) Lui, n’osant pas se retourner ( !), a tout connu du cyclisme.

Lucien De Schepper avait lancé le Musée du Tour de France en haut de la côte de la Folie ( !), au-delà de Frasnes.

16) Nous, préférant découvrir la gamme des produits d’entretien et de massage Morgan Blue, on n’est pas restés longtemps en compagnie de Lucien.

On ne résiste pas aux hauts de gamme…

17) Retour au champion olympique avec l’équipe conduite par l’historien et écrivain roubaisien du cyclisme, Pascal Sergent.

18) Entre Borains, les compliments d’Arthur au patron du magasin de vélo Au Liégeois.

Le Dourois est aussi distributeur de présentoirs pour magasins de cycles.

Sous la marque polonaise Neoxpro.

19) Venus en force et en voisins, les cyclos d’Escanafles conduits par André Cloet.

Brève invasion du stand Merida, marque plus connue aux USA qu’en Europe.

20) Sans doute plus connu du côté de Quiévrain qu’aux States, l’ami Joseph Del Borello envahit, à lui tout seul, le stand des vélos Merckx.

21) Bien parti pour gagner la confiance de tous les vélocistes de Belgique et (au moins) du nord de la France, le tournaisien Nicolas Verjans.

Son kit de nettoyage et entretien « Bike 7 » gagne à être connu.

22) S’il en est un qui fait rouler les vélos, alors qu’il détient toujours le record de Belgique du 1500m, c’est Christophe Impens.

Directeur chez Golazo des épreuves cyclistes, dont les Granfondo, le Cycling Tour, le nouveau Cycling Heroes Tour, …

23) « We are cycling » regroupe ces épreuves récréatives dans un calendrier que les Audax Tournai reçoivent.

Ils sont dedans avec la Grinta ! Challenge La Tournay qui sera organisée le samedi 10 juin en 2017.

24) L’organisation à Tournai arrive donc après des grands noms comme la Chouffe Classic (20/05), la Flèche de Wallonie (27/05) et Tilff-Bastogne-Tilff (04/06)…

Les cyclos français sont de plus en plus friands de ces organisations "à la belge"!

25) Surprise que de découvrir, dans un salon qui méconnait la machine des « randonneurs français », la Randonneuse Berthoud.

Surprise d’autant plus grande que,au moment de notre passage, personne ne pouvait répondre… en français.

26) Il n’était pas peu fier, Ronny, lui qui travaille comme bénévole dans l’équipe de Marc Duquesnoy, de Dottignies !

Le voilà, encouragé par Sven Nys… en personne.

27) Il existe désormais une (très) bonne raison d’aller à Lourdes !

Un hôtel, l’hôtel Alba, s’est spécialisé dans l’accueil des cyclistes.

Aubaine pour, après un petit tour à la Grotte tout de même, se lancer à l’assaut des Pyrénées.

Ceci via le Tourmalet, Hautacam, Gavarnie, Aubisque, …

28) On peut aussi, tout en restant chez soi, éprouver «l’intense émotion » d’éprouver l’Enfer du Nord.

Puis de gagner le Paradis en arrivant à Roubaix.

Songez au Raid Paris-Roubaix VTT du vélo Club le 4 juin 2017.

29) En tous temps, mais particulièrement en cette période de froidure, le vélodrome couvert est ouvert à tous.

Que diriez-vous d’un baptême sur la piste en bois du Stab ?

30) L’entrainement passe parfois par les home-trainers.

De plus en plus sophistiqués quand un logiciel propose les conditions réelles de la route.

31) Les plus grandes marques de vêtement cyclistes, belges ou italiennes le plus souvent, sont bien représentées.

Elles se font, comme ici Doltcini, connaître via des équipes professionnelles.

32) Entre incongruité et œuvre d’art, cette présentation des freins à disque de la firme Magura.

De l’avis des professionnels, le frein à disque est amené à se généraliser dans le haut de gamme même si l’UCI est encore réticente.

33) Véritable produit miracle ( ?) que la gamme des produits énergétiques et compléments aliments de la marque venue de Bretagne, Overstim’s.

Ne demandez plus pourquoi les cyclos de Lomme sont réputés… costauds !

34) Collègues dans les ateliers des Pompes Hibon, à Toufflers, Pascal et Jean Pierre découvrent qu’ils ont pour voisins de locaux les vélos de la marque « O2 Feel ».

35) Dominique Lagneau, dont le cursus de mécanicien au service des équipes professionnelles est impressionnant, explique ce qu’il en est.

A Toufflers on met en état de marche et on distribue ces machines à assistance électrique d’origine coréenne.

36) Nos nouveaux guides nous conduisent alors à Marly, près de Valenciennes, où l’on propose des machines de route sous la marque Origine.

Montées à partir de commandes personnalisées via internet, exclusivement.

37) C’est sur vélos Origine que roulent les coureurs de l’équipe cycliste de Douai.

Et c’est sur un Origine à sa taille que Robert Marchand a établi (22,5 km) le record de l’heure sur piste des plus de 105 ans !

38) Parmi les vedettes cyclistes invitées au Velofollies, Johan Museeuw.

Parfaitement disponible, et même en sympathie avec Jean Pierre, malgré les nombreuses sollicitations.

39) L’équipement du vélo de longues distances et/ou voyages passent par de bonnes sacoches.

Très colorées, celles de la marque Vaude ont réputation d’efficacité.

40) Le calendrier de la Vlaamse WielerBond (VWB) est indispensable avec 1200 randonnées… en Flandre.

A noter que cette fédération compte plus de 10000 « dames » dans ses rangs !

41) Les Audax Tournai ont le stand de la revue Grinta ! comme base de rassemblement.

Pour partir à l’assaut des différents palais, puis pour se retrouver.

42) Dans leurs pérégrinations, ils se retrouvent inévitablement au stand de la Fédération Francophone de CycloTourisme et du Vtt.

Même si c’est plus pour des salutations à Gérard Masset que pour des informations.

43) Salutations aussi, au stand Cycling Vlaanderen, à Antoine Deborchgrave, le président des cyclos de l’aile flamande et de la coupole RLVB, section tourisme.

Un fameux cyclo qui roule depuis 1956 et qui a roulé dans les cinq continents.

Et même, via les Andes et l'Himalaya, sur les plus hauts sommets du monde !

44) Pas moins sympathique, le monde cycliste de Charlie, actuel Directeur Sportif du club de Dunkerque, est celui de la compète !

Sauf qu’il cherche au salon comment « électriser » son tandem de loisir.

Si rien trouvé au Velofollies conseillons-lui « Avectonvélo.com », 98 bd Victor Hugo à Lille.

45) Certes il faut sortir bien couverts, mais au stand Carbon Bike de Waremme il y a l’embarras du choix en… Kask !

46) Et il faut bien réfléchir devant le nouveau H10 de chez Pinarello, importé d’Italie par Carbon Bike.

47) De Bavay, zoning Trajan, la fabrication artisanale des roues R.A.R. de qualité.

Avec ici présentation par le patron Adrien Gontier du modèle Even50.

48) Des roues R.A.R. équipent et équiperont les cycles Bertin !

Par la volonté de Mickael Bertin la célèbre marque nordiste (Arras) est désormais (bien) relancée pour les vélos de route.

A suivre…

49) Par rapport aux régions voisines, le cyclisme en Flandre est sensationnel. Y compris pour le cyclisme féminin compétitif et récréatif puisque des clubs leur sont dédiés.

Ainsi ce team EPC Expo qui a les honneurs du podium.

50) Cette première journée de Velofollies se termine à 21h.

Il est temps de saluer et d’encourager les Mouscronnois qui, avec le renfort de Belinda, vont fermer la boutique fédérale FFBC.

51) Et le temps d’introniser, entre les vélos Merckx s’il vous plaît, Annabelle et Eric Gamblin, de Saint-Quentin (02).

Amateur des grandes organisations belges, Eric vient de s’affilier à la FFBC via le club des Audax Tournai.

52) En voilà deux qui, de manière préventive, ont découvert le moyen d’assurer leur salut.

Le cyclisme étant « religion », le stand du WielerMuseum de Roulers a ménagé un espace « Koers is religie ».

53) Après quoi, nos bons apôtres se rendent au bar Grinta ! pour vénérer la déesse païenne qu’est la divine Kwaremont.

54) Le mauvais exemple explique que d’autres, à l’instigation de Gino (le Pieux ?), en font autant.

55) Après quoi, les photos plein la musette, il est temps de fermer le premier jour du Velofollies 2017.