21) On avait bien remarqué que le fléchage, sur poteaux, du Cyclo Club Mouscron indiquait la même route que les flèches d’Anstaing peintes sur le tarmac.

Le poste de ravitaillement mouscronnois nous donna l’envie de filer jusqu’au delà de la frontière.

22) On y est précédé par de valeureux roubaisiens qui étaient donc représentés tant à Mouscron qu’à Anstaing.

23) Pour les cyclos d’Estaimbourg le choix allait de soi, car de proche voisinage.

24) Soucieux d’accueillir au mieux leurs voisins flamands et français, les Mouscronnois offrent un sandwich aux arrivants.

Mais pour la boisson, où les bonnes bières rivalisent avec le coca, il faut, évidemment, passer à la caisse.

25) L’accueil mouscronnois est chaleureux avec une fine équipe de bénévoles autour du président Francis Naessens.

26) Et il suffisait de se pointer au bar pour y saluer Philippe Coisne, au milieu du trio de service.

Il était le responsable de l’organisation du jour.

Organisation dédiée à la mémoire de Marcel Opsomer.

27) La randonnée mouscronnoise fait partie du challenge flandrien « Leiedal ».

D’où la présence des cyclos de Rekkem qui sont aussi proches voisins.

Que le soleil est parfois gênant !

28) Les cyclos d’Estaimbourg se sont installés un peu plus loin.

29) Les cyclos de Menin qui se sont regroupés à la demande du photographe « officiel », Christophe Dewulf.

30) Et si votre coeur penche pour l’équipe du bar, rien n’interdit d’y retourner.

31) Puis de s’installer, le temps de refaire la course du jour :

c’était dans le final de Paris-Roubaix, mais sans les pavés !

32) La salle du Foyer Chez Nous est joliment décoré pour créer une ambiance à la Pierre Breughel.

Mais c‘est la présence de l’illustre randonneur, Willy Demeulenaere, qui retient notre attention.

33) Mais c’est l’arrivée de Régis, le Roubaisien, qui relance l’attrait de la kermesse breughelienne.

34) Que dire, l’appareil photo ayant été kidnappé, de ce duo tournaisien d’ordinaire familier du Mont Saint-Aubert ?

35) Tout cela fait que l’on se retrouve vite à la même table.

36) Et pour un peu on y serait resté longtemps.

Car les Roubaisiens se sont rappelés à notre bon souvenir.

37) Il n’est pas de bonne compagnie, ni de beau décor, surtout sous le soleil, qui ne se quitte.