55) Ce n’est pas une partie de plaisir, quoique…

On est tout de même venu pour cela et tout s'y passe bien !

56) Dans la plaine de Cysoing on pédale entre les champs de blé, de betteraves, de maïs quand ce n’est pas de pommes de terres.

57) Ici pas de patates mais un virage délicat à prendre par les cyclos de Livarot.

On n’en fera pourtant pas tout un fromage !

58) Ce deux britanniques, qui n’ont pas vu la fléchage à droite, qui filent… « all right » !

S’ils avaient continué ils auraient évité Bourghelles et profité d’un bon raccourci !

59) Car, après celui de Bourghelles, c’est le secteur pavé du Calvaire qui se termine pour notre ami Randonneur de Douai.

60) A celui de Mouvaux de calculer la distance totale si Paris est à 228 km et Roubaix à 25 km.

61) Pour l’instant ce qui compte ce sont les 25 km restants alors qu’on arrive à Wannehain.

62) Arrive Camphin en Pévèle et son pavé de la Justice.

C’est mieux quand on parvient à rester sur le haut du pavé.

63) C’est moins bien quand on est victime d’une crevaison, ici sur le secteur de l’Arbre.

64) Pas la peine d’espérer, il n’y aura pas de voiture de dépannage.

Alors on répare soi-même !

65) Le porteur du maillot Pralines Leonidas (!) utilise une technique très courante... du bas-côté.

66) Ce qui donne donc l’image de deux techniques rivales et valables pour les cyclos.

67) L’inconvénient du bas côté, surtout s’il est étroit, c’est qu’il envoie rapidement dans le champ de blé voisin.

68) Pas de mal, la chérie se relève vite pour rassurer sa maman qui a tout vu de la chute !

69) Normalement cela passe sans autre tourments que les secousses.

70) Dans son style de grand baroudeur, Jean René Decq, en maillot de la SMCA, se joue des pavés les plus disjoints.

La classe !

71) On y est au Carrefour de l’Arbre.

Il ne peut plus rien arriver de fâcheux aux Livarotais du Calvados.

72) Avec une belle performance familiale puisque la photo rassemble le père, le fils, la fille et la (grande) petite fille.

73) Puis l’entrée triomphale au vélodrome après le passage sous le portique du Vélo Club Roubaix Cyclotourisme.

74) Bientôt homme à tout faire du Vélo Club cyclo à Roubaix :

Gérard Colin tout heureux de sa nouvelle fonction d’homme-cloche !

75) Le fameux slogan dont on ne se lasse pas :

« L’Enfer du Nord mène au Paradis ».

76) Tour de piste (mythique) pour tous les arrivants.

Ici le groupe des Anglais au maillot perso de leur Paris-Roubaix 2016.

77) Autre groupe britannique heureux d’en avoir fini après le sprint victorieux de leur « Cavendish », à droite.

78) C’est beau quand les plus téméraires décident d’en découdre en montant dans les virages.

79) Encore plus beau quand on se tire un peu la bourre en groupe de club.

80) Puis les « congratulations » les plus cordiales :

« On l’a fait, on est au Paradis ! »

81) Sensationnelle cette équipe italienne en vélos et tenue « vintage ».

82) Au-delà du look, c’est aussi la performance cycliste sur des machines d’antan.

83) Récupération en profitant de la pelouse laissée libre par les joueurs de rugby de l’équipe roubaisienne.

84) Belle et sympathique idée que de mettre à disposition, pour la photo souvenir, le podium et la coupe des vainqueurs.

Victoire des Mayennais!

85) Et triomphe des E. S. Livarotais, dont le club est riche d’équipes de compétition et une école de cyclisme.

86) Le pavé souvenir fait figure de grande attraction.

Ceux qui l’ont réservé n’ont que l’embarras du choix.

87) La boutique souvenir est riche aussi de maillots, polos, casquettes, gants et autres bidons.

88) Puis, selon la bonne tradition cyclo dans le Nord-Pas de Calais, un sandwich et une boisson pour chaque arrivant.

89) La « coupe » pour les clubs les plus nombreux.

Autant dire que les pavés du Nord s’exportent !

90) La petite bière, en blonde ou en ambrée, c’est de la Ch’ti de chez Castelain.

91) Ambiance d’un Paris-Roubaix sans problèmes, donc en douceur, sur la terrasse couverte dans l’enceinte du stade-vélodrome.